Introduction Série newsletters fiction
Comme prévu, nous abordons un autre thème ce mois-ci autour des business models informels dans les entreprises connues. Nous nous appuyons sur une série d’Afrique du Sud présente sur la plateforme Netflix depuis le mois de mai 2022. Elle a été créé par L. Mogashoa.
Pour résumer rapidement, elle raconte une intrigue liée à une famille riche qui avait pour habitude de recueillir des orphelins pour pouvoir tester des produits illégaux sur un marché informel. Cette filière était semble-t-il la source de leur richesse alors que leur empire des cosmétique bien légal et bien connu était déficitaire.
Cette fiction nous a amenés à nous poser également certaines questions sur les modèles d’affaires occultes parallèles qui pouvaient coexister dans les organisations avec ceux qui étaient présentés au public et aux employés. Ayant effectué une thèse sur les business models en entrepreneuriat féminin et comme la newsletter qui a obtenu le plus de lectures depuis que nous en écrivons est celle qui a pour titre : « fiction intelligence artificielle constructivisme », nous avons essayé de lier les deux pour en faire notre thème de ce mois.
Nous voulons essayer d’aller plus loin avec la fiction que nous avions alors proposé en suggérant une suite qui met en scène une usurpation d’identité non pas seulement dans un domaine comme ce fut le cas pour le travail doctoral mais dans tous les toutes les sphères de la vie du personnage de A.
Ainsi le thème est : Business Modèles (BM) fictionnels dont les titres sont les suivants :
- Application clone, corruption, études
- Podcast-double, propriété intellectuelle, commerce international
- ,
- Projet d’entreprise, ingénierie juridique, vente illégale
La conclusion pourra émettre des hypothèses sur les types d’entreprises qui pourraient se servir de ces procédés et spécialement pour imaginer dans quels buts à moyen terme et pour quels objectifs finaux à long terme.
A bientôt sur la plateforme ZS Conseils et l’application Or en pépites.
Otage de 3.0, transformation numérique, audiovisuel
Comme nous l’avons annoncé dans la newsletter précédente, nous souhaitons aborder le thème suivant : business modèles (BM) fictionnels afin d’essayer de mettre en lumière que les modèles d’affaires gagnants ne sont pas toujours ceux qui nous sont présentés et que parallèlement d’autres formes de modèles de revenus plus lucratifs existent.
Nous avons choisi la fiction car elle nous permet également d’expliquer des dimensions humaines politiques et économiques qui peuvent expliquer que de tels modèles existent. Nous essayerons de comprendre à la fin de la série ce que cela peut signifier pour tout créateur d’entreprise en création.
Nous allons mobiliser les composantes du modèle d’affaires de Laclé (2020) CCERE ( capital humain et financier connaissance et connaissance spécifique entrepreneure (son organisation interne et externe) entreprise créée (création de valeur) pour analyser chaque modèle à la fin de la série.
Mais avant de commencer puisque nous allons conter l’histoire de ces différentes créations, nous souhaitons d’abord présenter les personnages de notre fiction que vous allez retrouver tout au long de la semaine ainsi que l’environnement qui leur permet de se mouvoir et de proposer de tels modèles de revenus.
En ce qui concerne les personnages ils sont les suivants : X. que nous avions déjà évoqué dans la newsletter initiale sur l’intelligence artificielle et la fiction et A. la victime présumée. Ces personnages évoluant dans des univers bien à eux nous allons donc présenter les personnages principaux qui reviendront souvent dans ces récits. Pour ce qui est de X, il a un travail bien établi cependant il exerce d’autres activités extra professionnelles liées à la politique et appartient à un groupe d’actions qui occupent activement les réseaux sociaux. Ainsi nous avons K.S. , Lady de Belgrade, Lady de Londres qui font partie de son réseau et qui jouissent d’une forte audience dans les réseaux sociaux. Dans le cas de A. C’est tout son réseau qui s’est mobilisé pour lui relayer les informations.
Pour expliquer le contexte dans lesquels se meuvent des modèles d’affaires occultes, nous faisons appel à la politique. Il y a habituellement des partis politiques traditionnels qui briguent des mandats et occupent des postes bien connus. Dans le cas de X et ses amis, ils se sont organisés autrement.
N’ayant trouvé de territoire intellectuel sur aucun territoire géographique, ils se sont érigés en leaders politiques des réseaux sociaux se targuant de pouvoir faire vaciller des pouvoirs en place dans certains pays du sud dans lesquels la démocratie peine à s’épanouir et dans lesquels le chômage et la pauvreté permettent de gagner des âmes qui souffrent à des idéologies guerrières, d’affrontement, clivant fortement les populations.
A présent que les personnages et contexte ont été présentés, nous allons continuer le récit tel que nous l’avons commencé dans l’autre newsletter afin de produire le récit autour duquel l’analyse par le BM sera effectué à la fin. Ce que nous faisons également dans les prochaines newsletters.
« Une fois que X a découvert que A. n’était pas coupable, il a décidé de garder ses informations pour lui et d’en faire profiter son groupe d’amis qui peine à exister dans l’échiquier politique international et particulièrement de leurs pays respectifs. Ils se mirent à imaginer un plan qui consistait à rendre A. encore plus coupable qu’elle n’en avait l’air afin de la déposséder de tout ce qu’elle avait. Ils avaient décidé de commencer par une page qu’elle possédait depuis de longues années sur un réseau social célèbre en lui ôtant la propriété intellectuelle d’une manière bien subtile. Voulant construire une image de respectabilité à leur leader K.S qui souhaitait se présenter aux prochaines élections dans le pays dans lequel il était installé dont ses parents étaient originaires, ils ont d’abord écrit un ouvrage sur le modèle de travail doctoral de A. toujours pour la rendre plus coupable, ils entreprirent de créer une chaine de télévision privée et marginale en se servant du contenu de la page personnelle et privée de A. Dès qu’elle entendit dans les réseaux sociaux qu’une entreprise audiovisuelle allait voir le jour, elle se rendit dans un commissariat de police pour y déposer une main courante afin de se dissocier de cette initiative au cas où elle y serait mêlée étant donné qu’elle considérait désormais X comme un ennemi potentiel. Elle ne comprenait pas très bien ce qui se passait mais choisit de se protéger par tous les moyens. Voyant qu’ils avaient échoué à la rallier à leur organisation décriée de tous, ils entreprirent une autre stratégie. En rentrant chez lui après un déplacement professionnel alors qu’il avait pris les transports en commun le mari de A se fit agresser dans le métro et y perdit son portefeuille. Il alla aussitôt faire une déclaration de perte et c’est ce qui par la suite le sauvera de ce complot honteux. Et heureusement qu’il l’avait fait à ce moment-là car plusieurs semaines plus tard, ces personnes se sont mises à les écouter via un système d’écoute élaboré qui passait par le téléphone et se mirent à voir ce que A. écrivait désormais sur son ordinateur via la connexion internet dite wifi.
A qui n’avait jamais vu sa page autrement que comme une page ressources ou une page de distraction qu’elle avait créé à un moment où ce qui existait alors ne lui plaisait pas plus que cela, fut à la fois en colère qu’une telle action puisse se produire si facilement mais également étonnée qu’une tel projet émane de sa personne et de sa page. Ceci étant, les personnes auxquelles étaient adossées ces entreprises ne lui inspirant aucune confiance, elle choisit de ne jamais adhérer à leurs actions ni mouvement malgré les nombreuses intimidations, menaces de mort, humiliations affichées sur la page publique puis que ces personnes disposaient d’un réseau puissant de blogueurs à leur solde. Ils n’avaient pas non plus hésité à faire ressusciter une ancienne entreprise créée par A. pour proposer des services étranges en choisissant un adepte de leur groupe qui se faisait passer pour l’associée de A. De l’autre côté, un des anciens supérieurs de A. étant au courant de la supercherie choisit de lutter contre cette organisation en mettant le réseau de A à contribution. Ils devaient discrètement lui faire passer des messages via des contenus banals et passe partout en utilisant ses propres méthodes. Ils ne pouvaient pas lui parler ouvertement puisqu’elle était écoutée et surveillée de près dans ses moindres faits et gestes, appels téléphoniques , mails rendez médicaux etc . »
Chaque tentative d’usurpation ayant échoué malgré cette prise en otage virtuelle, nous raconterons le récit de toutes les autres tentatives et l’ingéniosité des procédés dans les jours à venir. Mais la question qui nous taraude concerne les BM. Comment ces personnes comptaient-ils gagner des revenus à travers un projet de TV, une entreprise de bien être ressuscitée alors que A. qui connaissait la littérature sur les BM ne le pensait pas ? quelles activités annexes étaient rajoutées à celles crées par A. Dans la mesure où ils n’avaient pas la même vision des choses et que quand elle voyait page ressources, ils voyaient TV, comment percevaient ils les autres activités qu’ils avaient essayé de subtiliser ? Quels modèles ont-ils alors appliqué à ce que A avait mis en place ? La perception du produit de l’offre de services ne change-t-il pas le modèle d’affaires proposé finalement ?
Pour connaitre la suite de cette fiction et l’analyse de la fin, nous vous donnons rendez-vous sur notre page ZS Conseils et notre application Or en pépites.
Application clone, corruption, études
Nous poursuivons dans cette newsletter 34 l’histoire de création d’activités et de modèles d’affaires occultes dérivés d’une usurpation d’identité. Si nous nous efforçons de mobiliser la fiction pour mieux situer les contextes et expliquer dans quels cadres ces choses peuvent être amenées à exister ; c’est également pour prévoir les scénarios possibles en contexte de création d’entreprise et ainsi augmenter l’intensité de la phase de préparation.
Toujours à travers le récit, nous allons nous pencher sur un autre aspect de l’usurpation d’identité susceptible de produire des revenus aux protagonistes de l’histoire.
« A. qui ne voulait pas se laisser abattre pour tout ce qui lui arrivait, avait décidé que son parcours doctoral ne se limitait pas à sa thèse de doctorat. Elle avait également effectué des séminaires qui lui permettaient d’avoir une certaine réflexivité sur son parcours et se demander comment elle pouvait en faire un travail. L’ayant rendue chômeuse et sans identité professionnelle suite à cet acte crapuleux, elle choisit de ne pas se comporter en victime. C’est ainsi qu’elle décida de conceptualiser une composante de son modèle de revenu en le déclinant sous forme d’application. Mais dès que X se rendit compte de cela étant donné qu’il mettait tout en œuvre pour tout connaitre de ses faits et gestes, de ses allées et venues, des personnes qui l’appelaient souvent ou qu’elle côtoyait dans les activités de sa ville, il découvrit qu’elle était en train de mettre au point une application avec l’aide d’une tierce personne pour la partie technique. Elle voulait adosser cet outil au cabinet qu’elle ambitionnait de créer bien avant sa thèse. Étant donné que le projet initial n’était plus possible à cause de ce vol, elle choisit alors de le transformer en se basant sur son propre parcours. Puisqu’au départ, elle avait hésité entre écrire sur son propre parcours et écrire sur d’autres entrepreneurs dans la même situation qu’elle-même. Si elle choisit la seconde solution, elle disposait toujours de ce plan B dont elle pouvait se toujours se servir. A. préféra faire de son parcours un ouvrage. X de son côté avait réussi grâce à son statut professionnel prestigieux à se présenter à l’entourage de A. entrant dans ses contacts sur le net sur les différents réseaux sociaux. Il se servait de son statut connu de tous et respectable pour se faire passer pour l’amant de A.
Il déclara qu’il était le père de son fils cadet pour avoir la confiance de ces derniers et tenter de vendre son application. Ces derniers qui n’avaient pas vu A. depuis longtemps l’ont crû ! par quel miracle par quel procédé ! A. ne peut l’expliquer. Elle constata simplement que par la suite l’un d’entre eux fit entrer en première année d’université sa fille dans la prestigieuse institution de X et qu’en contrepartie il présenterait l’application de A. dans son activité de cadre supérieur d’une banque comme le sien. X a certainement réduit les frais d’inscription de cette enfant afin de lui-même empocher la différence. A. qui était sans cesse narguée sur les réseaux sociaux par cet entourage devenu encombrant a finalement décidé d’aller modifier un premier document qu’elle avait mis sous copyright en présentant une nouvelle version d’application et en enlevant toutes les vidéos disponibles gratuitement provenant de la chaine de tv web de X. En fait ils avaient encore essayé de la faire passer pour la voleuse de l’application en déposant une plainte contre elle via Interpol pour qu’elle se fasse arrêter par la police des frontières lors de son voyage à l’étranger en été. Heureusement pour A. celui qui luttait contre ces malfrats l’avait sortie d’affaire sans qu’elle le sache. Elle ne le découvrit que plus tard à son retour dans son pays de résidence. Ce protecteur lui-même avait usé de moyens discutables pour protéger le travail de A. puisque la crédibilité de sa propre organisation était en jeu. Il avait lui-même essayé de faire passer cet outil pour le leur et confié la gestion à une tierce personne. A. se retrouva donc en face de deux ennemis bien que l’un agissait au départ pour la protéger mais celui-ci s’est vite rendu compte qu’il pouvait en tirer davantage que la simple reconnaissance. L’action que A. posa pour leur enlever à tous la propriété intellectuelle fonctionna pour son protecteur de circonstance qui avait d’autres comptes à régler avec X et ceux-ci n’avaient rien à voir avec A. Cependant X. et son organisation refusaient de rendre l’application malgré le fait que la propriétaire avait montré son mécontentement. A. avait commencé à écrire des newsletters mais comme elle n’arrivait pas à mettre son application sur Google Play car ils avaient bloqué son compte de développeur qui lui permettait de publier. Elle a écrit à Google pour signaler la situation. Elle a choisi de publier ses newsletters sur sa page LinkedIn au fur et à mesure. X. continua de se connecter sur son wifi pour les imiter et les envoyer insidieusement à ses clients d’Afrique jusqu’à ce que le modèle de boîte permettant d’obtenir la connexion internet soit changée. Dans la foulée, elle changea de téléphone et se déconnecta de toutes les applications qui permettaient à cette organisation de l’écouter tous les jours. »
Il parait même que l’application a été donnée à l’un de ses fils pour qu’il s’en serve dans son propre travail doctoral dans le domaine de l’agribusiness mais un autre récit comptera cette partie plus tard. Ce qui nous intéresse ici c’est l’environnement interne et externe de A. que X et ses amis ont choisi d’investir pour se remplir les poches et ainsi rassembler un certain capital financier pour leurs besoins politiques. De même le coût caché derrière la réduction des frais de scolarité qu’ils ont empoché. Et certainement une promesse à ce contact des réseaux sociaux de A. dont elle ignore tout. Seraient-ce des études doctorales qui le feraient passer pour le créateur de cette application ?
En termes de management et de business modèles, nous constatons que les produits ou services ne sont pas toujours achetés mais plutôt échangés dans certains cas lorsque les valeurs qui leur sont attribuées par les protagonistes sont équivalentes. Nous souhaitons questionner cet aspect dans les business modèles non dévoilés afin de véritablement connaitre les coûts cachés des entreprises qui déclarent peu de revenus ou peu de ressources financières mais qui arrivent tout de même à réaliser leurs objectifs. Il est possible également de dire que le manque de ressources financières ne signifie pas forcément manque de ressources et que celles-ci peuvent souvent être compensées par d’autres atouts que possède l’organisation. Dans cette situation, comment évaluons nous la capture de la création de valeur ?
Podcast-double, propriété intellectuelle, commerce international
Dans cette newsletter 35, nous continuons la série qui a débuté dans la newsletter 32 sur les BM prédictifs qui peuvent être proposés sous forme de fiction afin de réfléchir à des aspects qui passent souvent inaperçus dans les analyses rationnelles quantitatives et chiffrées. Nous avons insisté sur l’importance de l’environnement externe dans lequel peuvent se développer de tels modèles. Nous nous focalisons principalement sur les personnages féminins dans cette newsletter avec A. lady de Londres et la compagne du protecteur.
Nous poursuivons notre histoire liée à l’usurpation d’identité du personnage A. Les malfaiteurs ne se sont pas contentés de dupliquer son travail dans le domaine universitaire. Ils l’ont également fait dans les autres sphères de la vie de A. En pénétrant son cercle intime celui de la famille et des contacts des réseaux sociaux. Pour mieux comprendre le travail créationniste brouillon auquel les malfaiteurs ont voulu s’adonner, nous allons d’abord présenter A. puis le récit qui va suivre va montrer comment les malfaiteurs ont voulu la transformer pour carrément donner sa vie à Lady de Londres.
« A. est une mère de famille de deux enfants mariée à un homme qu’elle connait depuis plus de vingt-cinq ans, ils vivent ensemble, sont propriétaires de leur appartement, sont citoyens français bien qu’originaires d’un pays du sud. A. fit la connaissance de X et de son protecteur lors de son entrée à l’université pour y faire son doctorat. Ils ont alors décidé de changer son histoire pour la faire rentrer dans ce groupe de politiciens du net d’abord en volant son travail, en la faisant passer pour coupable, en la faisant passer pour une ennemie de la France afin qu’elle perde sa citoyenneté en allant mettre la tv marginale au nom de son papier pour leur faire porter les dettes, en faisant pression sur les établissements de leurs enfants pour qu’ils soient mis en échec et correspondent au profil de ceux qui appartiennent à ces organisations….. A. qui ne souhaitait pas intégrer ce groupe et qui l’avait fait savoir à maintes reprises n’a eu de cesse de clamer son innocence et de démentir toutes les histoires folles qui étaient dites à son sujet. A présent il s’agit de podcast.
En ce qui concerne le podcast, le protecteur de A. qui était à l’origine de toute cette affaire et qui s’est sans doute repenti par la suite pour lui venir en aide était en binôme avec X. pour lui ravir son podcast.
Ce protecteur qui a participé au plagiat de son travail universitaire pour la détourner de sa supérieur hiérarchique et lui faire faire un autre travail qui aurait servi à ce groupe dans le domaine éducatif puisqu’il leur fallait un programme. Une fois le premier travail volé pour la partie managériale, la page volée pour la partie marketing et communication, ils voulaient la garder aussi pour l’éducation comme une prisonnière qui n’avait pas son mot à dire. Voyant qu’elle refusait de jouer le jeu après des mois et des mois de harcèlement moral médiatique, ils ont démantelé l’application et pris le podcast basée sur l’ouvrage authentique qu’elle avait fait de son parcours et transformé en podcast pour aller à la rencontre d’autres profils pour le donner à leurs compagnes respectives.
Pour ce protecteur il l’a donné à sa compagne d’origine sud-américaine pour qu’elle le représente. Ils en font une traduction en espagnol et en anglais pour le commercialiser directement. Ils ont ouvert un compte en Suisse pour ne pas se faire repérer par leur pays d’accueil. Mais la guerre qui les a opposés à X par la suite a permis de découvrir le pot aux roses. Ils ont d’abord essayé de trouver des clients dans les pays d’Afrique du nord et subsaharienne et comme ces pays n’ont pas adhéré, ils ont préféré trouver d’autres moyens et d’autres marchés internationaux. Pour ce qui est de X. Il n’a pas hésité à donner le podcast à sa maitresse et mère de ses enfants illégitimes lady de Londres.
Il semblerait qu’il cherchait à lui donner une image respectable puisqu’elle aussi se pavanait sur les réseaux sociaux en hurlant à tue-tête contre les occidentaux qui pilleraient d’autres contrées du sud. Cette personne étant non grata dans le cercle très sérieux de X. il décida de lui donner mon identité en lui permettant même d’aller déposer le nom de A. comme le sien pour pouvoir s’emparer du podcast. Pour aller plus loin, ils se sont introduits dans la congrégation religieuse de A. pour salir sa réputation et la faire passer pour la faire passer pour une femme adultère et infidèle dont le fils cadet avait pour père X. Alors que A est mariée avec l’homme qui est le père de ses enfants depuis vingt ans. Ils ont essayé de ressusciter son entreprise de bien être pour y proposer des services de prostitution et d’escorting à des clients aisés en faisant passer un membre de sa congrégation religieuse l’une de leurs adeptes pour son associée alors que cette société s’occupait de risque sociaux et prévention du stress à travers la remise en forme et les soins ayurvédiques et qu’elle avait été fermée depuis bien longtemps.
Ils sont allés jusqu’à dire sur la place publique que A est une prostituée, issue d’une famille monoparentale donc déséquilibrée, ayant eu un burnout et qu’elle avait une maladie sexuellement transmissible alors que tout cela est faux. Cette partie a été faite par la compagne du protecteur. Elle vivait dans un pays à l’étranger et son compagnon n’a rien trouvé d’autre que de lui donner le travail de A. lorsqu’elle est arrivée dans le pays et dans son institution en temps de covid-19. Ils se sont tous partagés le travail de A.
Ce travail de sape de la réputation de A. avait en réalité pour objectif de lui donner l’identité de lady de Londres à A. et inversement. Ils sont allés jusqu’à violer l’intégrité numérique de A. en créant une application web du nom de l’application et du podcast qu’elle avait déposé à l’inpi. L’ayant découvert A. mis fin à toute cette mascarade en supprimant cette application fantôme de sa console firebase ».
A travers ce récit, nous pouvons que les malfaiteurs ont essayé de donner de la concurrence à A. sur le marché qu’elle souhaitait créer et faire grandir. Ils se sont empressés d’investir le marché international et y faisant un simple commerce alors que le podcast fait entièrement partie de l’application. En la démantelant ils ont créé un autre produit que celui que A. voulait initialement et donc en quelque sorte montré à A. qu’elle pouvait avoir deux marchés parallèles une fois qu’elle aurait prouvé leur supercherie et malhonnête et surtout usurpation d’identité.
Cette histoire, nous interroge la décomposabilité des modèles d’affaires. Lorsqu’ils sont décomposés, ne deviennent-ils pas un autre business model différent du premier tout simplement ? Pouvons-nous encore les associer à celui qui a d’abord été proposé ? S’ils sont dissociés que peut faire l’organisation des parties démantelées non utilisées ?
Ouvrage mimétique, droit d’auteur, travail universitaire
Dans le prolongement de la série commencée cette semaine qui traite de business modèles (BM) fictionnels à l’aide de récits de vie, nous avons interrogé un certain nombre de paramètres qui ne sont pas toujours soulignés dans l’analyse des BM que nous lisons. Nous avons raconté une histoire en nous appuyant sur une fiction proposée il y a quelques mois « intelligence artificielle, fiction, constructivisme » pour poser les questions qui nous semblaient pertinentes et qui pouvaient de près ou de loin influencer la mise en place d’un BM parallèle à celui qui est d’abord proposé. L’environnement interne ou externe du créateur d’entreprise est alors très important dans cette mise en scène.
Nous poursuivons le récit de A. qui depuis le début de la semaine subit les assauts répétés d’un groupe de politiciens extrémistes déterminer à lui voler sa vie pour atteindre leurs objectifs. Ce groupe a des ambitions de prise de pouvoir dans certains pays du sud mais ne disposent pas de savoir ni de technologie suffisante pour y parvenir. Ils ont pourtant en leur sein des taupes ou des infiltrés de pays occidentaux, des intellectuels et personnalités publiques qui les aident et jouent avec le masque d’infiltré ou de taupe.
Dans cette partie, nous racontons comment A. a également failli se faire usurper son ouvrage autobiographique issu de son parcours personnel et professionnel alors qu’elle l’avait écrit suite au vol de son travail initial.
« Il faut préciser que A. n’est pas restée inactive. Elle a déposé plusieurs mains courantes, écrit aux autorités de son pays de résidence avec ses mains courantes, écrit aux autorités universitaires pour signaler le constat de plagiat de la thèse d’un côté et la transformation de sa page privée et personnelle en tv marginale. Voyant qu’ils étaient sans recours et que A. refusait de céder devant le chantage. Les deux protagonistes de l’université, X et le protecteur autodésigné qui avaient obtenu le travail de A. en regardant son écran par un système élaboré de piratage et d’espionnage digne d’un état ont alors donné son travail à une Française d’origine Indienne qui serait brillante d’un point de vue académique et aurait produit le même travail que celui de A. Ils se sont empressés d’antidater la date d’inscription de cette personne à l’année précédant l’année du copyright étant alors persuadés d’avoir enfin cloué A. au pilori puisque toutes leurs tentatives s’étaient alors avérées infructueuses jusqu’alors. Le problème avec ces pères dans la recherche, est qu’ils n’ont pas une vision à 360°. Ils se sont arrêtés au copyright puisque c’est cela que A faisait souvent valoir avec autorité et à juste titre.
Ils avaient oublié d’aller regarder son profil LinkedIn pour savoir si ce projet pouvait avoir une antériorité. Il se trouve que A. avait écrit sous forme de tableau ce projet dès l’année où elle a commencé ses recherches pour son travail doctoral, raison pour laquelle elle avait hésité entre faire un travail sur son propre parcours ou alors celui d’autres entrepreneurs. Elle avait ensuite eu à utiliser ce travail pour une institution dont ils étaient partenaires. Ils n’avaient pas pris le temps de vérifier tout cela avant de proférer leurs menaces de retrait de la nationalité française contre A. Dans la foulée, ils ont fait annuler un rendez-vous téléphonique qu’elle avait avec un conseiller pour l’emploi dans son agence locale et un rendez-vous pour un accompagnement au baptême de sa congrégation religieuse a également été annulée le même jour.
Voyant que A. avait finalement répondu à leurs menaces d’une façon autoritaire mais ferme, ils ont décidé de menacer son fils cadet via son professeur principal lors d’une réunion qui a eu lieu la semaine d’après.
Ils ont même fait passer un message via manuel de devoir en choisissant une page dont le titre était tel est pris qui croyait prendre. Ils avaient évidemment décidé de tout cela bien avant que les choses ne se passent mal pour eux. A. leur avait pourtant dit qu’ils ne gagneraient jamais puisque son travail initial était dédicacé à Dieu. Elle était croyante et était persuadée tout en étant sérieuse et prudente que les malfaiteurs ne pourraient jamais avoir gain de cause. Ils n’ont pas tardé à en venir aux mains quelques jours plus tard et cela était déjà arrivé depuis le début avec moi alors qu’ils avaient déjà enterré bon nombres d’étudiants étrangers de cette façon. Au-delà de cela, A. se demanda si ce protecteur qui prônait partout l’importance du terrain, des profils atypiques et l’expérience réelle comme pouvant rivaliser avec les diplômes était sincère dans sa démarche et dans ses propos puisqu’il lui opposait une immigrée comme elle mais qui semblait montrer une excellence académique. A. qui n’avait pas à rougir de son parcours qui a obtenu tous ses diplômes par elle-même de la première année jusqu’au doctorat malgré deux années difficiles dans sa jeunesse pensait que sa valeur ajoutée n’était pas dans l’excellence académique mais dans l’excellence du comportement obtenue à travers l’éducation familiale scolaire professionnelle qui permet d’atteindre aussi ses objectifs.
De même, les compétences qu’elle avait n’étaient pas volées puisqu’ils n’ont pas hésité à commercialiser son travail. Qui achète ce qui est nul ? Et surtout pourquoi donne t-ils le travail de A qu’ils ne jugent pas digne du monde universitaire à un extrémiste qui n’a pas brillé par ses études lorsqu’il vivait en occident tout en interdisant à celle qui le produit d’y accéder ? A. se posait toutes ces questions sans y comprendre les agissements de ces personnes qui ressemblaient davantage à des commerçants ou marchands de tapis que des professeurs d’université ».
Nous sommes confrontés à la décomposabilité des BM. D’un côté nous avons un ouvrage qui devient cabinet, application, podcast et de l’autre ils ont voulu en faire un travail universitaire, avec logiquement des articles et un poste à la clé si cela fonctionne pour les deux parcours.
La question que nous pourrions poser ici concerne la mise en relation de ces BM parallèles qui coexistent. Comment est-il possible de créer des passerelles, des interactions pour faire communiquer ces modèles de développement d’affaires liées à un seul produit ou une seule offre de services ?
Projet d’entreprise, ingénierie juridique, vente illégale
Nous entamons la dernière de la série de newsletters commencée cette semaine qui aborde les récits fictifs de création d’entreprise ou d’activités à visée lucrative permettant de poser des problématiques liées aux business modèles illicites. L’environnement a été mis en avant pour justifier la présence de ces doublons cependant d’autres raisons pourraient également l’expliquer. Nous nous sommes focalisés sur la politique et ses liens avec le monde universitaire pour notre récit de fiction mais nous aurions pu en choisir un autre.
Pour ce qui touche aux malheurs de A. avec ce groupuscule dont la présence politique ne se trouve que sur l’internet et non dans des pays bien localisés, ils se sont poursuivis une fois de plus à travers une péripétie qui va être relatée ci-dessous.
« A. qui n’était pas au bout de ses surprises découvrit sur le net comme d’habitude l’existence d’un cabinet de conseils avec un nom étrange qui apporterait la vision du sud aux grands de ce monde. Ce cabinet avait été recruté par son pays d’origine dans un premier temps pensant que ses représentants travaillaient avec elle. En effet X. et son organisation politique avaient infiltré également la famille de A. dans ce pays du sud et présenté les membres de ce cabinet comme ses partenaires. C’est ainsi qu’ils voulaient s’introduire là-bas pour y recueillir des informations précieuses à la présidence afin de pouvoir les exploiter pour les déstabiliser plus tard puisque des vagues de coup d’état se produisaient dans cette région du monde et qu’ils estimaient que le pays de A. devait en faire partie. Ils sont allés jusqu’à mettre la mère de A. en danger puisqu’elle a été menacée d’arrestation dès que l’identité de ce groupe a été connu par les services de renseignement de ce pays. Tout cela pour la pousser à rejoindre leurs rangs et devenir une paria de la communauté internationale comme eux et surtout afin que X continue à jouir de tout ce qu’elle produisait comme travail intellectuel. Il avait réservé un autre travail à A. c’était celui de nourrice de l’enfant illégitime eu avec la lady de Londres qui serait atteint d’un handicap et qu’il jugeait qu’elle serait mieux à vendre le podcast de A. et A. mieux pour prendre soin de cet enfant comme si le lien maternel était marchand et que l’amour se décrétait sur commande pour un enfant dont on ignore tout surtout que A. était elle-même mère et avait ses propres responsabilités.
Il n’a pu vendre ce premier concept de cabinet que grâce à une entourloupe juridique bien huilée.
Etant donné qu’il a participé au vol du travail doctoral de A. avec le protecteur, et qu’ils voulaient la faire travailler toujours gratuitement sur un autre projet, ils n’ont pas fermé sa plateforme de formation, son espace personnel d’étudiante. Ce qui signifiait qu’elle faisait toujours partie de leurs effectifs, ils pouvaient alors s’emparer de tout le travail intellectuel de A par ce biais. Ainsi ils ont pris la page puis plus tard mis le nom de son époux, pris le concept de cabinet qu’elle a été obligée de changer puis de protéger en même temps que le podcast. Cette tv n’a été fermée que lorsqu’elle a demandé que son institution lui remettre une attestation de fin de formation. Il n’a eu de cesse de proférer des menaces pour pouvoir récupérer de l’argent. Il a alors menacé les frères de A. spécialement celui qui vit dans le même pays qu’elle réclamant l’appartement qu’il voulait s’acheter sur un prêt bancaire alors qu’il a un travail régulier et déclaré. Ils menacent de le kidnapper et réclamer une rançon. Il a menacé aussi le fils ainé de A. de le faire mettre dans une formation d’apprenti puisqu’il vient d’avoir seize ans. Il s’imagine que son statut et le fait de connaitre des personnes du gouvernement lui donnent le droit de menacer comme il le fait. Par ailleurs ils prétendent lutter contre l’impérialisme et la domination dans les pays du Sud mais il est important de leur demander s’ils sont murs pour la démocratie dans la mesure où les vols, les intimidations, le racket sont leurs armes de prédilection. Car la démocratie implique la divergence d’opinion et l’existence de personnes comme A. pouvant les contredire.
De même il s’est rendu au service des diplômes pour aller voir le nom complet de A. afin de permettre à lady de Londres de l’emprunter et de l’endosser pour commercialiser le podcast jusqu’à ce que subitement A. le supprime de sa plateforme et décide de protéger son nom. De quel droit peuvent s’emparer des identités des uns et des autres de cette façon sans que personne ne les questionne et que personne ne les inquiète ? Surtout qu’ils prennent des dettes et des emprunts en utilisant nos noms.
Ils se sont mis à menacer via leurs blogueurs lorsque leur tv marginale a été fermée en disant , nous voulons vivre de notre métier notre fin sera votre faim. En réalité X. leur avait fait croire que A. les avait pris comme terrain de recherche pour son travail doctoral et que lui était son superviseur alors qu’il n’était même pas dans son laboratoire et surtout c’est une femme qui supervisait A. Il n’a jamais été supervisé par X ou par le protecteur. A. ne les connaissait même pas avant son entrée à l’université et n’aurait jamais croisé X. s’il n’avait pas été invité parmi les intervenants. Une fois la TV fermée, l’identité reprise, l’ouvrage mis en newsletter pour présentation publique, le podcast publié régulièrement, que peuvent-ils encore imaginer sans que la police n’intervienne cette fois ci ?
Ce groupe dissident qui paraissait propre sur les réseaux sociaux surtout à travers lady de Belgrade qui semblait avoir au début de sa carrière le profil que A. affectionnait. Un vrai travail, un vrai ancrage géographique, une famille et des activités politiques réelles jusqu’à ce qu’elle se mette à critiquer ouvertement et de façon agressive le pays qui avait colonisé la plupart des pays du sud dont ils parlaient la langue. A ce moment-là, elle est passée du côté extrême en se rapprochant de KS lady de Londres et d’autres. Leur combat particulier concerne une monnaie qu’on va appeler la monnaie de pacotille et qui était arrimée aux devises étrangères.
Leur argument consistait à dire que son existence empêche le développement des pays du sud bien qu’elle permette leur stabilité en temps de crise. Dans la mesure où selon ces personnes une monnaie empêche l’épanouissement économique de certains états pauvres et maintient leur sous-développement économique dixit KS et ses acolytes, comment A. doit -elle les appeler dans la mesure où leur existence permet à certaines obédiences académiques d’empêcher les immigrés de certaines origines de s’épanouir dans la recherche ? le groupe de pacotille ? Cette question est posée car A. s’est entendue dire que c’est son groupe de recherche et le patron de ce groupe qui est à l’origine du scandale et qui a demandé qu’il fasse appel à ses amis pour les faire passer pour coupable. D’autres disent que le protecteur et X brigueraient le même poste à responsabilités et que leur affrontement avec A. comme « terrain de conflit » en est la conséquence ».
Dans ce récit, il est souvent question de droit de procédure et du flou qu’il subsiste lorsque ceux-ci ne sont pas respectés scrupuleusement. La question que nous souhaitons poser ici : comment le droit influence-t-il les BM à internationalisation précoce ?
Identité numérique, agribusiness, blanchiment de fonds
Nous terminons notre série débutée il y a quelques jours sur les BM de fictions capables de proposer des circonstances complexes qui peuvent se produire également dans la vie afin de permettre aux spécialistes de la création d’entreprise et aux créateurs de mieux s’armer d’un point de vue pédagogique. Dans cette newsletter 38, nous allons aborder la question de la diversification toujours à travers le récit mêlant usurpation d’identité, politique, propriété intellectuelle et création d’entreprise.
Le cauchemar de A. est peut-être sur le point de s’achever mais avant cela, quelques informations données par des tiers d’une façon anonyme et informelle lui sont parvenues sans qu’elle y soit confrontée personnellement comme dans les autres cas de figure.
« A. se rendit dans un bureau de transfert d’argent pour l’étranger comme elle le faisait quelques fois, lorsque pour une fois son regard fut attiré par l’adresse y était indiqué, le métier qu’elle faisait. Il y était inscrit qu’elle était une cuisinière, qu’elle vivait bien dans la ville habituelle mais l’adresse lui était totalement inconnue. Lorsqu’elle fit remarquer cela aux personnes travaillant dans ce lieu, ils lui répondirent laconiquement qu’il s’agissait d’une banale erreur et l’une d’entre elle s’empressa de corriger illico presto les informations que A. jugeait erronées. Plus tard, elle constata un restaurant africain qui portait un nom ressemblant fortement à la marque qu’elle avait déposé pour son application auprès de l’inpi à un mot près. Ce qui est étonnant c’est que cet établissement était fermé après seulement quelques semaines de travail. A. comprit que cette nouvelle tentative pour se diversifier dans d’autres domaines que celui de la recherche mais toujours dans l’entrepreneuriat pour faire le blanchiment de fonds n’avait pas fonctionné. Cependant il lui manquait une information, elle ne savait pas si celui-ci était fait à son nom à elle ou celui de son époux. X. n’arrêtait pas de dire à travers ses vidéos qu’elle devait perdre quelque chose de tout ce qu’elle avait. Pour vulgariser tu dois perdre soit ton mari, soit ton diplôme, soit ta maison soit ta nationalité française. En gros il montrait une image qui disait tu dois maigrir, tu as trop de choses. Tu accumules trop de choses. Tu crois que tu vas jamais mourir ? Ces remarques laissaient toujours A. dubitative et perplexe quant à la santé mentale de X et sur l’origine de cette vendetta qui semblait personnelle avant toute chose alors qu’ils ne se connaissaient de nulle part à part à l’université.
Cette diversification s’est tout de même prolongée dans le domaine de la recherche mais cette fois ci dans le secteur de l’agribusiness ou encore une fois X. a permis à un jeune homme d’apparence étrangère portant le même nom que l’une de ses maitresses selon les rumeurs s’est approprié. Il semblerait que ce soit ce jeune homme qui était chargé de surveiller A. sur son ordinateur car le travail n’étant pas le sien, il n’avait aucune inspiration pour le produire. Il lui a alors été demandé de se poster tous les jours via ce procédé illégal comme on se pointe dans une usine pour copier au fur et à mesure tout ce qu’elle faisait. Ayant compris qu’une personne essayait de prendre le contrôle de son écran un jour par hasard, elle décida de publier ses newsletters au jour le jour aussitôt terminés quitte à oublier des fautes de frappe et à les rectifier plus tard. La diversification contrairement aux autres méthodes n’a pas été ingénieuse ni même bien pensée comme les autres tentatives d’usurpation, ce fut même une perte de temps pour ceux qui furent charger d’effectuer ce travail.
En dehors de cela, A. avait échappé à des menaces de mort, des promesses d’agression de la part de ce groupe qui lui envoyait des cercueils qui brûlent pour lui promettre le même sort. Ils lui promettaient de l’attaquer dans la rue de la faire violer de filmer la scène et la mettre sur les réseaux sociaux. Ils promettaient qu’ils feraient en sorte que ses enfants soient harcelés à l’école. Ils ont même fait en sorte qu’un ami du fils ainé de A. dont le père fait partie de leur groupe pousse celui-ci à commettre des fautes et fasse de plus en plus de bêtises. Heureusement qu’il a un bon fonds et qu’il n’a jamais rien fait de contraire à la loi bien que les adolescents fassent des bêtises. Ils l’inondaient de mails de publicités en tout genre avec à chaque fois des insultes et mots vulgaires à son encontre.
Leurs blogueurs sur les réseaux sociaux étaient chargés de jouer la vie de A. sous forme de sketchs dont certains portaient les mêmes couleurs qu’elle dès qu’une photo était publiée. Le mot d’ordre était de faire en sorte que le monde académique, sa famille, ses amis, ses voisins, les membres de sa congrégation religieuse la croient entrer dans ce groupe et la fuient comme la peste afin de l’isoler et de pouvoir poursuivre leur travail de sape. Ils sont allés jusqu’à essayer de faire briser son mariage en allant dire à sa belle-famille qu’elle cherchait à déposséder leur fils de leur bien commun afin qu’ils l’incitent à divorcer. Ils menaçaient systématiquement tous les membres de sa famille qui s’approchaient d’elle pour qu’ils arrêtent de le faire. Tout ce harcèlement moral a duré presque deux ans à trois mois près. Une fois ses affaires récupérées et sa réputation restaurée en racontant ce cauchemar, comment A. pourra-t-elle transformer ce malheur en expérience éducative ? »
A l’issue de cet épisode, nous souhaitons aborder la question de la résolution de problèmes qui permettent la croissance pour toute entreprise en création mais cette fois nous la posons au chef d’entreprise. Comment un chef d’entreprise qui a surmonté des obstacles pour faire croitre son activité peut-il transformer les passages creux en compétences et en faire profiter son activité ? Comment la transformation personnelle du chef d’entreprise impacte-t-elle la transformation du BM ? Avec quelles compétences une diversification durable s’opère-t-elle ? Celle du cœur de métier ? ou Celles qui ont permis de surmonter les obstacles ?
Ambidextrie créatrice
Au terme de cette semaine dédiée à la création d’une fiction pour aborder un certain nombre de problématiques qui peuvent se retrouver dans plusieurs secteurs d’activité puisque les hommes sont les mêmes en fonction des situations. Cependant la résolution de celles-ci ne pourra vraisemblablement pas donner les mêmes résultats à quelques exceptions près. Ainsi cette méthode d’illustration permet de produire des environnements différenciés pour la formation d’une part et d’autre part permet aux entrepreneurs ou dirigeants d’améliorer leur flexibilité mentale, leur excellence opérationnelle ainsi que leur réactivité en temps de crise en s’entraînant. Les interrogations qui ont été soulevées tournent autour des thèmes suivants :
- La perception du créateur et l’élaboration du BM
- La capture de création de valeur ( coûts cachés)
- La décomposabilité du BM
- Les BM visibles et non visibles
- Le droit et l’internationalisation précoce des BM
- L’impact de la transformation personnelle du créateur sur le BM
Si nous reprenons les composantes du modèle CCERE de Laclé (2020) pour essayer de comprendre ce que cette organisation a essayé d’accomplir. Nous pouvons dire qu’en termes de capital humain, ils semblent avoir une armée de personnes travaillant pour eux sur les réseaux sociaux et prêts à relayer leurs idées. Par contre, en ce qui concerne le capital financier, cette organisation semble en manquer et chercher dans l’urgence à commercialiser rapidement sur un marché parallèle des biens qui ne lui appartiennent pas vraiment. Ce qui signifie que peut être ils ne disposent pas de la crédibilité nécessaire pour obtenir des emprunts bancaires auprès des banques qui financent habituellement les campagnes électorales. En ce qui concerne l’acteur principal, ses connaissances et connaissances spécifiques, il est possible de dire qu’il ne s’adresse pas vraiment aux bonnes personnes pour lui proposer un programme puisqu’il veut briguer un mandat dans un pays du sud et cherche le travail ailleurs que dans le pays concerné. De même, leur cible qui est A. n’ayant pas la même perception des choses qu’eux et n’étant pas de ce monde n’a pas pu concevoir un outil qui leur convienne complètement puisqu’elle ignorait tout de leur complot et du but final. Ils semblent agir sans son accord et prennent le risque de perdre beaucoup de temps. En revanche, leur réseau externe semble bien organisé dans le virtuel bien que non implanté sur le terrain.
L’organisation interne de l’acteur principal semble peu connu par A. Elle ne l’évoque pas vraiment. Pour ce qui touche à l’entreprise d’audiovisuel qu’ils ont essayé de créer, elle n’était pas faite pour durer puisque le système sur lequel ils l’avaient bâtie était peu solide, dépendant de A. qui n’a pas eu l’air d’adhérer une seule seconde à leurs manœuvres malgré toutes leurs tentatives pour la convaincre même avec la force. Pour finir, nous pouvons dire qu’ils semblent avoir construit leur projet sur la vie de A. les produits le parcours le travail la famille de A et pourtant ce n’était pas elle qui était candidate à cette élection présidentielle. Elle devait finir comme une assistante maternelle alors que ce n’était pas son métier. Est-ce bien raisonnable ?
Heureusement qu’il s’agissait d’une fiction !
Quant au récit proposé, l’environnement et les personnages, si nous devions nous adresser à eux bien que ce soit une fiction, nous pouvons constater que ce groupe dissident a traité le personnage principal comme une ennemie potentielle. Ils ne semblent pourtant élus nulle part et ne sont reconnus institutionnellement par personne mais la magie d’internet leur a donné une illusion de pouvoir qu’ils ne possèdent pas. Nous avons plutôt l’impression qu’ils ont essayé de transférer leur poids dans les réseaux sociaux au monde réel, ce qui n’a pas été possible puisque le virtuel reste le virtuel et que le réel reste le réel. Cela laisse supposer une certaine confusion entre légitimité et notoriété virtuelle. De plus, jusqu’à ce qu’Internet créée les métiers du futur et permette à certains de gagner leur vie dignement, la vie réelle implique encore des contrats de travail, des vrais documents administratifs, des vrais patrons et des vraies relations humaines.
Connaitre une page Facebook ne donne pas le droit de s’immiscer dans la vie de qui que ce soit.
Bien qu’internet soit considéré comme la technologie du siècle du point de vue de l’abolition des frontières du gain de temps et d’espace pour de nombreux utilisateurs, il ne faudrait pas oublier que les frontières réelles existent toujours, que les lois et les règles restent en vigueur sur le net et que nul n’est censé les ignorer.
Réflexions, éthique, authenticité
Dans cette newsletter 40, nous souhaitons nous appuyer sur un monologue de A. en la faisant parler afin de comprendre son point de vue sur tout ce qui a pu lui arriver et des conséquences qui en découlent. Nous ne pouvions pas finir la série sans faire parler le personnage principal étant donné que nous lui avons donné un rôle de spectateur attentiste dans les textes précédents.
Après cette aventure désagréable qui a pour point de départ l’université dans un pays occidental pour finir dans la politique des pays du sud et la lutte contre l’impérialisme, elle prit un temps pour se retrouver afin de réfléchir avec calme à tout ce qui lui était arrivé et qui semblait sorti tout droit d’un thriller d’action mêlant nord et sud, université politique, commerce, usurpation d’identité, rivalités mimétiques.
« A. partit en vacances avec son époux et compagnon fidèle de longue date et ses deux enfants dans une région de leur pays de résidence peuplée de forêts dans lesquels elle aimait parfois se balader avec de la musique classique ou du jazz moderne pour se retrouver. Tout au long de cette balade qui avait un goût de délivrance et de liberté retrouvée bien que la prise d’otage ait été numérique et virtuelle, elle se mit à penser à ses bourreaux des deux côtés de l’atlantique en se demandant comment ils avaient pu en arriver là. Cette introspection silencieuse au son des oiseaux qui chantent au cours d’une journée ensoleillée l’amena d’abord à repenser à toute sa vie et à l’éducation qu’elle avait reçu. Loin d’être amère ou en colère contre ces personnes désespérées, elle se demanda :
comment ces personnes ont pu établir un programme électoral sur la base de ce que j’ai produit ? si j’étais à ma place ces gens là auraient ils eu autant de facilité à agir comme ils l’ont fait ? Où étaient mes semblables ? Où était cette majorité silencieuse qui vit dans les pays du nord qui a été éduquée et formée dans ce pays ? pourquoi n’ont-ils pas compris que ce problème n’était pas uniquement celui de A. mais celui de tous ? Comment peuvent ils se désintéresser autant de ce qui arrive à leur prochain parce qu’ils ont peur de perdre un confort acquis sur le sacrifice et la liberté d’autres qui en leur temps ont combattu pour la liberté, les droits les plus élémentaires ? Comment peuvent ils tolérer que des pays qui vivent une paix sociale après des siècles de lutte de conflits de combats la perdent et donc de ce fait ne puissent plus accueillir d’autres comme eux à l’avenir ?
Pourquoi acceptent ils que des politiciens autoproclamés déplacent les débats de politique liés à d’autres territoires géographiques dans le pays dans lequel ils vivent et inversement pourquoi ceux qui vivent dans ces pays acceptent que des transferts en tout genre tels que celui de la connaissance les partenaires de travail proviennent de pays étrangers ?
Lorsqu’un candidat souhaite faire de la politique pourquoi il ne choisit un prof de son pays, un doctorant de son pays pour l’aider à réaliser son programme. Pourquoi parlent-ils de pillage dans un sens et pas dans l’autre ? Dans la mesure où ils n’ont pas fourni l’infrastructure pour produire ce travail peuvent ils l’acheter et aller le proposer bêtement ailleurs sans se demander si cela pourra convenir ? Comment peuvent-ils prendre le travail d’une personne dont on ignore tout et qu’on ne connait qu’à travers une page des réseaux sociaux ? Depuis quand les réseaux sociaux remplacent la connaissance réelle ?
Ce ne sont que des question évidemment. Mais A savait que quelque chose avait changé en elle. Elle croit que les gens comme elle qui ont bénéficié d’une certaine éducation à la fois à travers leurs familles et pays d’origine aussi bien que de l’éducation et du savoir des pays d’accueil ont plus que jamais un rôle à jouer. A. n’avait jamais aimé la politique. Elle a souvent vu des personnes de son entourage se sacrifier, perdre tout ce qu’ils avaient, partir en exil, tout recommencer, aller en prison, perdre leur vie pour leurs idées et elle se disait depuis longtemps qu’elle n’en ferait jamais. Cependant, cet évènement lui fit comprendre que ne pas en faire est tout aussi dangereux qu’en faire. Alors la question générale qu’elle a envie de poser à ceux qui ont connu des parcours similaires où qu’ils vivent dans un pays du nord ou du sud, vont-ils continuer à laisser la place vacante et vide à ceux qui n’ont trouvé de refuge que sur le net et qui viendront un jour leur disputer ce qu’ils auront passé leurs vies à construire ? Car A. savait que ses malfaiteurs pourraient recommencer dès qu’ils auraient un autre angle d’attaque, un autre candidat comme elle, une autre proie à dépouiller et encore une fois le monde regardera sans bouger pour ne pas perdre son confort. Une fois qu’ils auront pris votre travail qu’ils viendront prendre votre maison et que vous vous retrouverez à vivre sur le net et en paria comme ils le sont alors vous comprendrez que l’affaire d’un seul est l’affaire de tous surtout lorsqu’une injustice flagrante comme celle-ci se produit devant vous.
Il ne s’agit pas simplement de doctorat ou d’orgueil mais de liberté, de justice et de démocratie. On ne peut pas lutter contre les autocrates le jour et tuer la nuit dans le noir. Les deux sont incompatibles. La nature même du combat ainsi que les motivations qui y sont liées sont suspectes. Cet épisode malheureux pourrait arriver à n’importe qui dans toute autre situation, il n’est pas juste de blâmer les fautifs sans poser de questions à ceux qui ont regardé faire, et pire encore à ceux qui ont voulu en profiter tirer leurs épingles du jeu.
A. finit tranquillement sa promenade sur cette réflexion.»
A l’issue de tous ces questionnements, nous pourrions demander à A. si d’un point de vue éthique elle pourrait rester la même sans s’engager officiellement contre certaines pratiques qui pullulent partout comme les fake news, la corruption au sens large, les discriminations, le sexisme, le droit à la connaissance, à la formation, l’acquisition de la connaissance sous quelque forme que ce soit. Afin de pouvoir transmettre à son tour le monde qu’elle a reçu de ses ainés, ne doit-elle pas occuper la place qui est la sienne? L’éthique et l’authenticité sont indissociables.
Ceci étant, en s’engageant, ne se mettrait -elle pas à faire de la politique ? Bien que le personnage de A. ne semble pas apprécier ce monde, peut-être est-il temps pour elle de redéfinir ce qu’elle entend par là afin de la faire à sa façon. On nous dit souvent que la recherche est politique, qu’en est-il de l’entrepreneuriat ?
Newsletter spéciale « intelligence relationnelle » n° 1 : exploitation de réseau, management, technologie de l’information
Nous abordons dans cette newsletter un aspect du management que nous avons ignoré jusqu’à présent. Nous avons évoqué à plusieurs reprises le management dans sa globalité, dans sa spécificité, à travers la connaissance réelle et le fait historique mais également à travers les ressources éducatives et le développement du capital humain. Nous souhaitons nous focaliser dans cette newsletter spéciale « fiction » sur l’aspect relationnel du management.
Nous avions proposé une histoire fictive afin de proposer un environnement réel à la simulation de jeux de création d’entreprise. Nous souhaitons regarder cette organisation par le prisme des relations qu’ils nouent les uns avec les autres et à travers les liens qu’ils tentent d’établir avec le personnage principal A.
Nous rappelons qu’il y avait quelques personnages principaux dont l’objectif principal était de permettre à l’un des leurs de pouvoir participer à une élection présidentielle qui doit se dérouler dans les deux années à venir dans un pays du sud. Nous avons alors évoqué : Lady de Londres, Lady de Belgrade, K.S et un personnage issu du monde académique que nous nommerons dans cette newsletter R. Nous situons le passage qui va suivre aux découvertes survenues après l’échec des nombreuses tentatives contre A et sa famille. Nous allons que le personnage de A. a poursuivi ces investigations en écoutant de près leurs communications surtout celles qui lui étaient destinées et essayait à chaque fois de faire des recoupages avec les dialogues qu’elle avait eu avec certaines personnes dans les semaines précédentes.
« Après leur échec, un règlement de compte mettant en lumière les responsabilités des uns et des autres s’ensuivit ».
« A. qui pensait en avoir terminé avec les criminels déguisés en activistes décida de comprendre les embranchements qui pouvaient mener ces personnes jusqu’à elle étant donné qu’ils avaient réussi à infiltrer sa famille, sa belle-famille, sa congrégation religieuse, l’université, bref chaque pan de sa vie. En regardant la vie des personnes qu’ils avaient contacté de part et d’autre et la particularité de chacun d’entre eux, elle comprit ce que chacun d’entre eux pouvait gérer dans le marché informel, illégal, illicite. Ainsi R. gérait naturellement le trafic de faux diplômes, Lady de Belgrade gérait un réseau de prostitution certaines blogueuses du sud. De même K.S s’occupait de trafic de stupéfiants et d’armes et Lady de Londres avait la mission d’aider les couples en mal d’enfants à adopter sur le marché informel et non reconnu.
Ils avaient certainement d’autres spécialités mais A. n’avait pas eu l’occasion de le découvrir.
Elle découvrit qu’une personne avait bénéficié des services de lady de Londres pour devenir parent et qu’en échange et au lieu de payer, elle devait donner la vie d’une personne que les mafieux activistes avaient choisi. A. supposa qu’elle avait été choisi car l’un d’entre eux l’avait déjà croisé lors de sa formation doctorale. N’ayant réussi à lui prendre aucune de ses affaires, ouvrage autobiographique, podcast, application, thèse… ils entreprirent de s’emparer de ses papiers d’origine. Ceux qu’elle n’avait pas renouvelés depuis plus de douze années pour que l’une de leurs blogueuses sans papiers puisse s’en servir. De même ils ont réclamé sa carte vitale pour faire suivre médicalement une personne fragile et vulnérable qui attendait un enfant mais qui n’avait pas de droits à la sécurité sociale du pays de résidence.
La télévision privée qu’ils avaient créé avait occasionné beaucoup de dettes, ils s’étaient servis des papiers de A. pour demander un logement social dont ils ont été expulsés plus tard. Ils avaient occasionné des dettes monstrueuses sur le compte en banque de cette télévision : voyages à Tahiti. Ils ont également équipé leur logement social avec des produits de luxe, vêtements de marques, produits électroniques et électro-ménagers, vélos d’appartement, téléphones portables. Ils n’avaient payé aucun employé ni même réglé les impôts. A la fin, ils espéraient voir A. saisie par les huissiers, virée de son appartement pour régler ses dettes dont elle ne connaissait rien.
A. a supposé que cette personne n’avait pas réglé l’intégralité de ses dettes envers eux et qu’ils avaient commencé à la faire chanter dans le but de lui soutirer d’autres choses que de l’argent.
Bien que l’histoire ait commencé à l’université, R. voyant son incapacité à prouver la culpabilité de A, s’est empressé de faire appel à son réseau criminel pour lui prêter main forte et faire main basse sur la vie de cette dernière afin de la soumettre et la contraindre à accepter ce deal sorti tout droit d’un film d’horreur. Il semblerait aussi que les personnes « respectables » avec des titres responsables de ce désastre, voulaient pouvoir désigner des bouc émissaires en cas d’échec.
En dehors de la belle famille, ils ont réussi à corrompre des jeunes de la famille de A. souhaitant pouvoir faire leurs études en Europe à collaborer avec eux à travers des faux témoignages et des inventions qu’ils ont eux même mis en place.
Ils sont allés jusqu’à modifier sa feuille de retraite pour dire aux personnes qu’elle n’avait jamais travaillé et qu’elle vivait dans le mensonge et qu’ils feraient mieux qu’elle en Europe, qu’elle n’y avait pas sa place, qu’elle devait devenir assistante maternelle à leur service suscitant ainsi la jalousie, le ressentiment et la convoitise présents chez n’importe quel jeune en situation de chômage et avec une envie de réussir qui pousse à agir contre une personne comme A. qui serait inutile.
Bien que rien de tout cela n’ait fonctionné, A. se posait des questions sur l’authenticité et la qualité des relations qu’elle entretenait avec certains proches et leur facilité à dissimuler leur appartenance à un groupe politique de ce type même s’ils étaient libres de leur choix.
En ce qui concerne les relations que chaque membre de ce groupuscule entretient les uns avec les autres, nous pouvons dire qu’ils font le contraire de la fidélisation. En effet, la fidélisation consiste à proposer sur une plus longue durée le même service à un client ou alors à lui procurer des prestations annexes afin de le garder le plus longtemps possible. Dans le cas de ces activistes de 2.0, il s’agit plutôt d’amener un partenaire ou un client à puiser dans son réseau proche ou élargi à donner plus que ce qui était prévu en mobilisant la peur, la menace, l’intimidation, le chantage. Ils font de la rétention forcée plutôt que de la fidélisation.
De plus, plutôt que de créer de la cohésion, ils sèment la division entre les membres d’une même famille afin de pouvoir faire régner le chaos et la terreur. Là où il y avait de la confiance et une bonne entente, ils créent de la méfiance en diffusant des preuves falsifiées et ainsi de la mésentente.
Ce qui peut amener une jeune personne à manquer de respect à ses ainés et ainsi conduire à son isolement le rendant ainsi vulnérable puisque seul parmi des loups. Les fondements des familles sont renversés et ils se présentent comme des familles de substitution ou des amis jusqu’à ce que les choses tournent en leur défaveur puisqu’ils menacent et intimident à la fin.
Dans la mesure où ils écoutent les conversations téléphoniques et espionnent comme indiqué dans la série spéciale fiction, nous pouvons supposer qu’ils choisissent les membres que les personnes apprécient le moins, en mettant l’accent sur les blessures afin d’inciter les personnes à réagir avec la haine nécessaire pour « détruire » un membre proche ou lointain d’une famille.
Il est possible qu’ils choisissent aussi ceux qui semblent avoir un besoin particulier, une dette qu’ils se proposent de régler afin de pouvoir ensuite demander un dédommagement financier ou d’une autre nature.
Toute cette habileté « relationnelle » non dans l’optique de fidéliser par l’adhésion mais de retenir par la crainte et l’intimidation permettent de penser que peut être des intellectuels sont à leur service, car tous leurs procédés semblent être ritualisés ou routiniers.
La question que nous aimerions poser est la suivante : est il possible de parler d’intelligence de rétention par l’exploitation de réseau ? Dans ce cas, comment A. pourra-t-elle s’inspirer de cette façon de faire à des fins plus nobles pour sa technologie de l’information par exemple ?
Nous vous remercions de continuer à lire nos newsletter sur notre page Zs Conseils et sur notre application « or en pépites ».
Special “relational intelligence” newsletter No. 1: network operation, management, information technology
In this newsletter, we address an aspect of management that we have ignored until now. We have repeatedly mentioned management in its entirety, in its specificity, through real knowledge and historical fact but also through educational resources and the development of human capital. We would like to focus in this special “fiction” newsletter on the relational aspect of management.
We proposed a fictional story in order to provide a real environment for simulating business creation games. We want to look at this organization through the prism of the relationships they form with each other and through the connections they attempt to establish with the main character A.
We recall that there were a few main characters whose main objective was to enable one of their number to participate in a presidential election which is to take place in the next two years in a southern country. We then mentioned: Lady of London, Lady of Belgrade, K.S and a character from the academic world who we will name in this newsletter R. We situate the passage which follows to the discoveries that occurred after the failure of the numerous attempts against A and his family. We know that the character of A. continued these investigations by listening closely to their communications, especially those intended for her, and each time tried to cross-reference the dialogues she had had with certain people in the previous weeks.
“After their failure, a settling of scores highlighting the responsibilities of everyone ensued.”
“A. who thought she had finished with criminals disguised as activists decided to understand the connections that could lead these people to her given that they had succeeded in infiltrating her family, her in-laws, her religious congregation, university, in short every part of his life. Looking at the lives of the people they had contacted on both sides and the particularity of each of them, she understood what each of them could manage in the informal, illegal, illicit market. Thus R. naturally managed the trafficking of false diplomas, Lady of Belgrade managed a prostitution network for certain bloggers from the south. Likewise, K.S dealt with drug and arms trafficking and Lady de Londres had the mission of helping couples in need of children to adopt on the informal and unrecognized market.
They certainly had other specialties but A. had not had the opportunity to discover them.
She discovered that a person had benefited from the services of a lady from London to become a parent and that in exchange and instead of paying, she had to give the life of a person that the mafia activists had chosen. A. assumed that she had been chosen because one of them had already met her during his doctoral training. Having failed to take any of his belongings, autobiographical work, podcast, application, thesis… they began to seize his original papers. Those that she had not renewed for more than twelve years so that one of their undocumented bloggers could use them. Likewise, they requested his vital card to provide medical care to a fragile and vulnerable person who was expecting a child but who did not have social security rights in the country of residence.
The private television they had created had caused a lot of debt, they had used A.’s papers to apply for social housing from which they were later evicted. They had caused monstrous debts on the bank account of this television: trips to Tahiti. They have also equipped their social housing with luxury products, designer clothing, electronic products and household appliances, exercise bikes, mobile phones. They had not paid any employees or even paid taxes. In the end, they hoped to see A. seized by the bailiffs, kicked out of her apartment to settle her debts of which she knew nothing.
A. assumed that this person had not paid all of her debts to them and that they had started to blackmail her in order to extract things other than money from her.
Although the story began at university, R. seeing his inability to prove A’s guilt, hastened to call on his criminal network to lend him a hand and take control of the latter’s life in order to submit and force her to accept this deal straight out of a horror film. It also seems that the “respectable” people with titles responsible for this disaster wanted to be able to designate scapegoats in the event of failure.
Apart from the in-laws, they managed to corrupt young people from A.’s family who wanted to be able to study in Europe to collaborate with them through false testimonies and inventions that they themselves put in place.
They went so far as to modify her retirement form to tell people that she had never worked and that she was living a lie and that they would do better than her in Europe, that she had no not her place, that she had to become a childminder in their service, thus arousing the jealousy, resentment and lust present in any young person in a situation of unemployment and with a desire to succeed which pushes them to act against a person like A . which would be useless.
Although none of this worked, A. asked herself questions about the authenticity and quality of the relationships she had with certain relatives and their ease in concealing their membership in a political group of this type even when they were free to choose.
Regarding the relationships that each member of this small group maintains with each other, we can say that they do the opposite of loyalty. Indeed, loyalty consists of offering the same service to a customer over a longer period of time or providing them with additional services in order to keep them as long as possible. In the case of these 2.0 activists, it is rather a question of getting a partner or a client to draw on their close or extended network to give more than what was planned by mobilizing fear, threats, intimidation, the blackmail. They use forced retention rather than loyalty.
Furthermore, rather than creating cohesion, they sow division between members of the same family in order to create chaos and terror. Where there was trust and good understanding, they create distrust by disseminating falsified evidence and thus disagreement.
Which can lead a young person to lack respect for their elders and thus lead to their isolation, making them vulnerable since they are alone among wolves. The foundations of the families are turned upside down and they present themselves as surrogate families or friends until things turn against them as they threaten and intimidate in the end.
Since they listen in on phone conversations and spy as shown in the special fiction series, we can assume that they choose the members that people like the least, emphasizing injuries in order to encourage people to react with the hatred necessary to “destroy” a close or distant member of a family.
They may also choose those who seem to have a particular need, a debt that they intend to settle in order to then be able to ask for financial or other compensation.
All this “relational” skill, not with the aim of building loyalty through membership but of retaining through fear and intimidation, allows us to think that perhaps intellectuals are at their service, because all their processes seem to be ritualized or routine.
The question we would like to ask is the following: is it possible to talk about retention intelligence through network exploitation? In this case, how can A. be inspired by this way of doing things for more noble purposes for her information technology, for example?
We thank you for continuing to read our newsletter on our Zs Conseils page and on our “or en pepites” application.
Newsletter spéciale « intelligence relationnelle » n°2 : Investissement, ambassadeur, management
Dans la continuité de la newsletter précédente, nous continuons la série des newsletters concernant « l’intelligence relationnelle » basée sur les récits fictifs qui avaient été proposés dans l’optique de contextualiser la création d’activités entrepreneuriales afin de pouvoir réaliser des jeux de simulation de création d’entreprise en environnement hostile.
Nous avons mis en avant le fait qu’un groupuscule d’activistes mettait en œuvre des mécanismes similaires à la fidélisation de clients pour au contraire retenir contre leur gré des partenaires ou « clients » ponctuels. Dans cette newsletter spéciale « intelligence relationnelle » n°2, nous proposons d’aborder la question de sponsoring, de philanthropie et d’ambassadeurs.
Avant de présenter le texte sur lequel nous souhaitons nous appuyer, nous précisons que ces évènements se déroulent après que A. ait donné sa version des faits, repoussé les attaques de ces terroristes déguisés en activistes œuvrant pour la libération des pays du sud.
Nous rappelons les noms des personnages de ce groupe : R. le spécialiste académique des faux diplômes, K.S le spécialiste du trafic de stupéfiants et d’armes, Lady de Belgrade, la spécialiste de la prostitution à travers le blogging et la supervision de bloggeuses et enfin lady de Londres, la spécialistes d’adoptions non reconnues par l’état. Il y a par ailleurs A. le personnage principal victime au départ, puis lanceuse d’alerte par la suite.
« Le règlement de compte qui oppose les membres de ce groupe obscur a amené certains à dénoncer les membres de la famille et belle-famille de A. qui ont aidé à la piéger à la harceler en fournissant des informations que seuls des proches pouvaient détenir. Le procédé pour rentrer en communication était le même et n’avait pas changé. Ils ont dénoncé une personne de sa famille que nous nommerons M-T, et une autre de sa belle-famille qui sera représentée par les abréviations S-A.
Etant donné que S-A est la première personne a avoir eu recours à leurs services, nous débutons pat elle. Elle est un proche de son époux, est mariée. Elle est juriste et semble être mariée également à une personne du même domaine. Ils auraient dénoncé A. comme une personne ayant eu recours à des financements illicites pour faire ses études en France sans résultat.
Ils auraient également dit qu’elle a effectué un mariage blanc avec le proche de cette S-A et qu’elle faisait partie du système anticolonial qu’ils prétendent combattre à travers leurs crimes divers.
Dans leur campagne de dénigrement, ils ont demandé à lady de Londres de traiter A. de prostituée, d’enfant de prostituée, issue d’une famille monoparentale souffrant de burnout et ayant une maladie sexuellement transmissible. Lady de Belgrade pour dénigrer A. s’est même permis qu’elle avait été conçue dans une union qui dure depuis plus de cinquante avec une photographie de personnes semblant incarner un couple mixte.
La vérité c’est que A. a été conçue dans un couple non mixte mais par des parents qui avaient été unis dans un mariage dit « coutumier ». Cette information a été obtenue grâce au premier acte de naissance qui a été faite quelques jours après sa naissance. A, moins que les agents de l’état civil du pays d’origine de A. soient des menteurs, on se demande comment ces personnes qui prétendent décoloniser les mentalités ne considèrent valable qu’une union devant un maire alors que cela provient d’un héritage purement occidental. A moins qu’ils ignorent cette information, ce qui fait d’eux des personnes peu sérieuses ne vérifiant pas leurs sources avant de s’attaquer publiquement à des personnes. Sur ce document était noté l’âge de ses parents, leur statut matrimonial et leurs noms et prénoms authentiques. Bien que A. ait fait modifié son acte de naissance par la suite, les informations notées sur ce document officiel restent véridiques bien que ses parents se soient séparés très tôt comme beaucoup d’autres.
Ce qui intéresse véritablement le cartel de « la haine » c’est davantage l’homme qui a été le compagnon de la mère de A. pendant plusieurs années. Cet homme alors célibataire et un enfant qui vivait avec sa mère dans un autre pays était un cadre dans une organisme sous régional dans le pays d’origine de A. Cet homme n’a jamais eu de mandat politique ni exercé une fonction officielle. A. n’a jamais bénéficié de bourse nationale de l’état de son pays pour effectuer des études. Il a démissionné de ce poste pour devenir homme d’affaires dans un pays voisin. Son ex beau-père dans un geste de philanthropie et d’affection pour une gamine d’à peine six ans qu’il a connu, lui a financé ses études à l’internat en France alors que son père biologique était déjà à la retraite. Ce père biologique décèdera quelques mois avant les quinze ans de A. Le père biologique de A. n’était pas non plus un officiel de l’état de ce pays, il était un responsable dans une société étrangère implantée dans le pays bien que son frère ait été un homme politique visible pendant plusieurs années. Il n’est pas possible de reprocher au père biologique de A. les agissements de son frère encore moins à A. qui n’a pas vraiment vécu avec eux.
Le manque de sérieux des « haineux » se précisa encore davantage lorsque A. sut qu’ils avaient provoqué un contrôle fiscal dans la famille de l’homme qui a partagé la vie de sa mère pendant quelques années. Ils ont pris en otage M-T, membre de la famille de A. pour soutirer des informations sur A. voyant qu’elle refusait de coopérer et de salir sa famille notamment son ex beau-père. M-T ayant eu peur pour sa sécurité a fini par leur donner des informations. Ils ont semble t-ils réclamé de l’argent mais n’ayant rien obtenu, ils ont envoyé le fisc du pays de résidence regarder de près leurs comptes prétextant qu’il y avait des fraudes. Ce qui est étrange est que ce groupe de haine reproche à une parente de ce monsieur d’avoir été la compagne d’un homme puissant d’un pays du sud et donc d’avoir bénéficié de largesses financières. Tout cela n’est plus d’actualité puisque cela s’est déroulé dans les années quatre-vingt-dix et que cet homme est décédé depuis longtemps. Nous ne pouvons qu’être étonnés par tant de convoitise et de haine dans la mesure où Lady de Belgrade sur sa fiche wikipédia indique avoir eu un fils avec un ancien chef d’état d’un pays du sud alors même qu’il est marié. Ce fils a été montré à Dubai dans un reportage à charges avec un train de vie de riche et des voitures de luxe. Nous sommes encore plus étonnés lorsque nous apprenons tout cela puisque S-A est également parente d’une ancienne première dame d’un pays du sud encore en poste il y a quelques années à peine. Alors pourquoi tant d’acharnement contre A ? Nous précisons que les frais occasionnés par ces années d’internat qui semblent tant empêcher de dormir les haineux étaient accessibles à tout cadre supérieur ou intermédiaire du pays de résidence de A.
En ce qui concerne le mariage de A. il a été effectué entre deux personnes consentantes majeures et se connaissant depuis au moins six années. Nous précisons que ces deux personnes remplissaient les critères de l’état civil du pays de résidence pour célébrer cette union civile qui dure depuis vingt et un an. Une union religieuse a eu lieu quatre années après cette union civile dans le pays d’origine de A dans la paroisse où elle a obtenu sa première communion enfant. Ils ont deux enfants ensemble et si cela est interprété comme un mariage blanc par la haine alors peut être que beaucoup d’hommes doivent être considérés comme des séducteurs de Tinder. Nous avons déjà évoqué que A. est en bonne santé physique mis à part quelques désagréments comme l’hypertension ou encore les crises d’asthme dans sa petite enfance. C’est à cause des crises d’asthme violentes qu’elle a été envoyée en Auvergne dans son enfance car il y avait la possibilité d’y faire des cures thermales.
Il se trouve que la campagne de dénigrement effectuée contre elle a eu pour objectif de capter sa réputation et par la même occasion de lui octroyer la réputation de la jeune dame qui se servait de ses papiers d’origine »
En s’appropriant la réputation de A. et son réseau, ses personnes ont essayé de se trouver des sponsors pour leurs activités criminelles portant le masque d’activistes politiques travaillant pour l’équité et l’égalité et défendant l’intérêt des pauvres. Ils ont voulu transformer l’ancien beau-père philanthrope en sponsor pour leurs activités à travers des méthodes discutables.
Dans le même temps, ils ont voulu la faire passer pour une ambassadrice de leurs idées en éloignant tout ses proches et en parlant à sa place en des lieux où elle n’était même pas sensée être présente. En recrutant S-A et M-T, ils ont ciblé des personnes qui semblent avoir un problème relationnel avec A puisqu’ils appuient sur les blessures et attisent la haine chez les autres pour parvenir à leurs fins. Mais dès que les choses tournent mal, ils s’empressent de les dénoncer pour provoquer encore plus de confusion et amoindrir leurs responsabilités.
Cette manie de vouloir tout mimer sur A. en allant jusque dans son réseau et menacer ceux qui l’ont financée lorsqu’elle était enfant, ne serait pas tout simplement une envie de la supprimer ?
Ne peut on pas considérer tout cela comme une tentative de meurtre ?
Nous ne pouvons pas nous prononcer mais nous trouver ces méthodes préoccupantes et peu efficaces en politique.
En matière d’intelligence relationnelle, nous constatons le même procédé. Au lieu de recruter des personnes pouvant parler en bien, ils ont choisi celles qui avaient des griefs et qui donc n’auraient aucun mal à faire du mal et à devenir des indics, la méthode de recrutement de ce groupe d’activistes, ne serait-ce pas simplement la haine ? Peut -on encore parler d’intelligence relationnelle lorsque les repères affectifs créant du lien sont inversés pour détruire ? Comment doit-on le nommer ?
Si A. est une sorte d’ambassadrice du point de vue de ses projets, produits, marques et noms, travail, parcours, appartement, réseau et « investisseur » ; comment pouvons – nous considérer M-T et S-A ?
Comment pourrions-nous transposer cela pour une technologie de l’information ?
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Special “relational intelligence” newsletter n°2: Investment, ambassador, management
We highlighted the fact that a small group of activists implemented mechanisms similar to customer loyalty to, on the contrary, retain one-off partners or “customers” against their will. In this special “relational intelligence” newsletter n°2, we propose to address the question of sponsorship, philanthropy and ambassadors.
Before presenting the text on which we wish to rely, we specify that these events took place after A. had given his version of the facts, repelled the attacks of these terrorists disguised as activists working for the liberation of the southern countries.
We recall the names of the characters in this group: R. the academic specialist in false diplomas, K.S the specialist in drug and arms trafficking, Lady from Belgrade, the specialist in prostitution through blogging and the supervision of bloggers and finally Lady of London, the specialist in adoptions not recognized by the state. There is also A. the main character who is a victim at the start, then a whistleblower later.
“The settling of scores between members of this obscure group has led some to denounce members of A.’s family and in-laws who helped trap her into harassing her by providing information that only close friends could have. The process for getting into communication was the same and had not changed. They denounced a person from his family who we will call M-T, and another from his in-laws who will be represented by the abbreviations S-A.
Since S-A is the first person to have used their services, we start with her. She is close to her husband, is married. She is a lawyer and also appears to be married to someone in the same field. They would have denounced A. as a person who had used illicit financing to study in France without result. They would also have said that she had a fake marriage with the relative of this S-A and that she was part of the anti-colonial system that they claim to fight through their various crimes.
In their smear campaign, they asked Lady of London to call A. a prostitute, a child of a prostitute, from a single-parent family suffering from burnout and having a sexually transmitted disease. Lady of Belgrade to denigrate A. even allowed herself that she had been conceived in a union which lasted for more than fifty with a photograph of people seeming to embody a mixed couple.
The truth is that A. was conceived in a single-sex couple but by parents who had been united in a so-called “customary” marriage. This information was obtained thanks to the first birth certificate which was made a few days after his birth. A, unless the civil status agents of A.’s country of origin are liars, we wonder how these people who claim to decolonize mentalities only consider a union in front of a mayor valid when it comes from a purely Western heritage. Unless they ignore this information, which makes them unserious people who do not check their sources before attacking people publicly. On this document was noted the age of his parents, their marital status and their authentic first and last names. Although A. subsequently had his birth certificate changed, the information noted on this official document remains true even though his parents separated very early like many others.
What really interests the “hate” cartel is more the man who was the companion of A.’s mother for several years. This man, then single and with a child who lived with his mother in another country, was an executive in a sub-regional organization in A’s country of origin. This man has never had a political mandate or exercised an official function. A. has never benefited from a national scholarship from the state of his country to carry out studies. He resigned from this position to become a businessman in a neighboring country. His ex-father-in-law, in a gesture of philanthropy and affection for a girl he knew of barely six years old, financed her studies at a boarding school in France while her biological father was already retired. . This biological father died a few months before A.’s fifteenth birthday. A.’s biological father was not a state official in this country either, he was a manager in a foreign company established in the country although his brother was a visible politician man. It is not possible to blame A.’s biological father for his brother’s actions, much less A. who did not really live with them.
The lack of seriousness of the “haters” became even clearer when A. learned that they had provoked a tax audit in the family of the man who shared his mother’s life for several years. They took M-T, a member of A.’s family, hostage to extract information about A. seeing that she refused to cooperate and to smear her family, particularly her ex-father-in-law. M-T, having feared for his safety, ended up giving them information. They apparently asked for money but having obtained nothing, they sent the tax authorities of the country of residence to look closely at their accounts claiming that there was fraud. What is strange is that this hate group accuses a relative of this gentleman of having been the companion of a powerful man from a southern country and therefore of having benefited from financial largesse. All of this is no longer relevant since it took place in the 1990s and this man has long since died. We can only be surprised by so much lust and hatred to the extent that Lady of Belgrade on her Wikipedia entry indicates having had a son with a former head of state of a southern country even though he is married . This son was shown in Dubai in an incriminating report with a rich lifestyle and luxury cars. We are even more surprised when we learn all this since S-A is also related to a former first lady of a southern country who was still in office just a few years ago. So why so much fierceness against A? We would like to point out that the costs incurred by these years of internship which seem to keep the haters from sleeping were accessible to any senior or middle manager in A’s country of residence.
Regarding A.’s marriage, it was between two consenting adults who had known each other for at least six years. We specify that these two people met the criteria of the civil status of the country of residence to celebrate this civil union which has lasted for twenty-one years. A religious union took place four years after this civil union in A’s country of origin in the parish where she obtained her first communion as a child. They have two children together and if this is interpreted as a sham marriage of hate then perhaps many men should be considered Tinder seducers. We have already mentioned that A. is in good physical health apart from a few inconveniences such as high blood pressure or asthma attacks in his early childhood. It was because of violent asthma attacks that she was sent to Auvergne in her childhood because it was possible to have thermal treatments there.
It turns out that the smear campaign carried out against her had the objective of capturing her reputation and at the same time giving her the reputation of the young lady who used her original papers.
By appropriating the reputation of A. and his network, his people tried to find sponsors for their criminal activities wearing the mask of political activists working for fairness and equality and defending the interests of the poor. They wanted to transform the former philanthropist father-in-law into a sponsor for their activities through questionable methods.
At the same time, they wanted to make her appear as an ambassador of their ideas by removing everyone close to her and speaking in her place in places where she was not even supposed to be present. By recruiting S-A and M-T, they targeted people who seem to have a relationship problem with A since they press on wounds and stir up hatred in others to achieve their ends. But as soon as things go wrong, they are quick to denounce them to cause even more confusion and lessen their responsibilities.
This mania for wanting to mimic everything about A. by going into her network and threatening those who financed her when she was a child, wouldn’t it simply be a desire to delete her?
Can’t we consider all this as attempted murder?
We cannot comment but find these methods worrying and not very effective in politics.
In terms of relational intelligence, we see the same process. Instead of recruiting people who could speak well, they chose those who had grievances and who would therefore have no problem doing harm and becoming informers, the method of recruitment of this group of activists, would not be Isn’t it just hatred? Can we still speak of relational intelligence when the emotional cues creating the bond are reversed to destroy? What should we name it?
If A. is a sort of ambassador from the point of view of her projects, products, brands and names, work, career, apartment, network and “investor”; how can we consider M-T and S-A?
How could we transpose this to information technology?
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Newsletter spécial « intelligence relationnelle » n° 3 : Interculturel, Intelligence émotionnelle, Management
Nous poursuivons la trilogie de newsletters concernant « l’intelligence relationnelle » basée sur la fiction que nous avions proposé et que nous avons remobilisé pour réfléchir à leur méthode de fidélisation, de captation de la valeur réputationnelle. Dans cette dernière séquence, nous parlons de « conquête » ou encore de recrutement de clients ou partenaires.
Avant de proposer le texte du personnage principal au départ victime mais devenu lanceur d’alerte au fil du temps, il faut rappeler les personnages principaux et secondaires.
R. le spécialiste des faux diplômes, K.S. le spécialiste du trafic de stupéfiants et d’armes, Lady de Belgrade, la proxénète de 2.0, Lady de Londres la spécialiste de l’adoption illégale. Ce cartel que nous avons qualifié de cartel de la « haine » compte tenu des ressorts émotionnels utilisés pour faire agir les recrues a sélectionné deux personnes de la famille et belle famille de la victime présumée pour ses basses besognes S-A de la belle famille et M-T de la famille. La série spéciale avait mis en scène deux autres personnages : X. le pilote de toute l’opération et le protecteur au départ complice qui finalement avait décidé d’aider A. voyant que les autres prenaient une autre tournure puisqu’ils menaçaient de la faire arrêter par Interpol, la tuer, la violer et filmer la scène pour la mettre sur les réseaux sociaux. Ils avaient même infiltré le cercle des amis de ses enfants mineurs par des enfants de leurs adhérents certainement de force.
Dans ce dernier récit de la trilogie, nous souhaitons nous focaliser sur le trafic de faux diplômes puisque tout cela a commencé à l’université alors que le personnage principal effectuait une formation doctorale. Nous poursuivons donc avec le récit qui au fil des découvertes va se rendre compte que d’autres manœuvres avaient été mises en route pour assoir l’accusation de plagiat par lequel tout avait commencé.
« A. qui pensait s’être complètement débarrassée des terroristes après avoir fait échouer toutes les tentatives d’usurpation d’identité concernant le plagiat de la thèse vendu à une tierce personne et s’assurant de le faire soutenir avant A., l’ouvrage autobiographique qui avait été attribué à une candidate d’origine indienne, le podcast qui avait été donné à Lady de Londres, et l’application qui avait été donné aux deux fils légitimes et illégitimes de X. Il se trouve que X. était marié à une dame qui semblait respectable en apparence et lui avait donné l’ouvrage autobiographique pour que celle-ci puisse proposer des cours dans des formations de préparation aux grandes écoles. Elle a refusé de rendre le travail de A. pour ne pas perdre la face publiquement. Pour s’assurer de faire taire A. elle entreprit de l’inscrire dans une université anglaise en thèse avec le même sujet dans une discipline autre que celle dans laquelle A. avait soutenu. A ne sait par quelle magie ces personnes se sont procurés des papiers avec sa nationalité d’origine pour faire cette transaction étrange. Leur cartel connait certainement un spécialiste des faux papiers qui les y a aidés. Ce qui signifie, qu’une personne est allée s’inscrire en thèse en Angleterre avec tout le parcours scolaire et universitaire de A. en France puisqu’elle n’est devenue Française qu’à l’âge adulte c’est-à-dire trente ans. Ce qui fait que tout son parcours scolaire a été fait avec sa nationalité d’origine y compris son titre foncier également. Heureusement que la naissance des enfants est survenue peu de temps après qu’elle soit naturalisée autrement, ils auraient mis les enfants de A. dans cet imbroglio sale et détestable.
Ce qui a vraiment étonné la lanceuse d’alerte, c’est qu’à l’époque où elle était étudiante en maitrise elle a voulu effectuer un stage en Angleterre et le consulat avait alors refuse de leur octroyer le visa car il manquait un permis de stage qu’elle aurait du demander trois mois avant. Le seul problème est qu’elle n’avait pas trouvé le stage avant. En étudiante consciencieuse, elle pensait que le plus important était de trouver un stage à l’étranger et que cela montrait son habileté et sa débrouillardise. Mais en immigrée naïve, elle n’avait pas anticipé les problèmes administratifs liés à son statut d’africaine en Europe. Les étudiants de son pays d’origine disposaient des mêmes droits que les étudiants du pays de résidence et possédaient un document négocié entre les deux nations qui pouvaient faire la différence lors des recherches d’emplois d’été ou de stage. Malheureusement cet accord n’existait pas avec l’Angleterre ce qui fait qu’elle n’a pas obtenu le visa pour pouvoir s’y rendre. A. se demandait donc comment ils avaient pu l’inscrire si facilement d’autant plus que le royaume- uni ne fait pas plus partie des accords Schengen.
En effet, elle avait gardé un amer souvenir des premières années d’université ou elle avait eu des blocages dans une filière de langues étrangères et n’a eu de cesse de corriger cette erreur dans son parcours à travers ses actions. Ce camouflet administratif l’a ramenée à sa condition d’immigrée et elle décida depuis lors de se concentrer sur l’acquisition de papiers non précaires lui donnant une totale liberté de circulation et de travail partout.
A. avait regretté de ne pas avoir été interpellée pour ce trafic de faux papiers afin de pouvoir aider les policiers à démasquer tout ce cartel de la haine et montrer la bêtise et la légèreté de cette manœuvre. Cette action n’a pu être posée que par une personne ne connaissant rien à la situation des étudiants étrangers dans le pays de résidence et en Europe à l’époque ou A. était jeune et même actuellement.
A. se réjouit à la fois de leurs erreurs car cela montrait leur incompétence d’une part et leur mépris pour les immigrés qui les entouraient d’autre part. Cette femme certainement se pensait meilleure que ceux qui avaient échoué et s’est imaginée pouvoir faire mieux que les autres dans la mesure ou son époux avait fait croire à tous que A. était sa maitresse alors qu’il s’agissait en réalité de lady de Londres. A. a supposé que la personne qui devait profiter de ses diplômes était certainement lady de londres. Cet X. malhonnête jusqu’au bout et souhaitant cacher la véritable identité de sa maitresse à sa femme, a décidé de faire porter ce rôle à A. et cette femme qui semble ne pas bien connaître la duplicité de son époux n’y a vu que du feu. Nous n’imaginons même pas toutes les couleuvres qu’elle a du avaler dans sa vie !
Pour revenir au plagiat, pour se détacher de ce travail et s’ouvrir à d’autres perspectives, A. a créé une application pour pouvoir exploiter son travail doctoral. Une fois débarrassés des copieurs présumés, elle est partie déposer une main courante au commissariat de sa ville pour signaler que l’application a été créée dans le but de pouvoir exploiter son travail de thèse. L’agent lui a même conseillé de s’envoyer un courrier recommandé avec racontant le récit des faits en plus d’autres suggestions. Si elle suivit celui du courrier recommandé, elle a entrepris de redéposer un document copyrighté avec la précision mise sur la main courante le même qu’elle avait déposé lors de la première version de l’ouvrage autobiographique.
La « haine » ignorant tout cela, a fait subtiliser chez elle les originaux de son acte de naissance et certificat de nationalité de son pays d’origine. Ce qu’ils ne savent pas c’est que les autorités ont été prévenues et que toute demande de la part d’une personne qui n’est pas A. sera sanctionnée et la personne mise aux arrêts. A. a demandé un rendez au consulat de son pays d’origine et signalé le problème à sa famille encore présente là-bas. Ce qui fait qu’ils ne pourront plus jamais exploiter ni les papiers, ni les diplômes, ni le titre foncier, ni la thèse, ni l’ouvrage autobiographique, ni l’application ni le podcast de A.
Pour revenir aux méthodes de recrutement de ce cartel, nous pensons qu’ils cherchaient à recruter A. à travers toutes leurs actions. Le fait de chercher a effacer toute trace visible d’elle dans le monde normal, laisse supposer qu’ils voulaient la rendre tellement misérable qu’elle n’aurait eu d’autre choix que de les rejoindre. A plusieurs reprises, nous avons eu la sensation qu’elle en savait tellement sur leurs manœuvres de recrutement que finalement ils voulaient la supprimer pour ne pas qu’elle alerte le public de leurs agissements afin qu’ils ne se fassent pas avoir.
Si nous regardons bien , il a eu une tentative de déstabilisation économique, une tentative d’affaiblissement et d’assujettissement psychologique la dépossédant de toute volonté et de tout libre-arbitre devenant un corps à leur disposition tel un soldat, un adepte de secte etc…
Il y a une intrusion violente et répugnante dans l’intimité avec les personnes qui espionnent jusque dans le lit conjugal pour montrer que la personne leur appartient et qu’elle n’est pas libre à travers l’espionnage par le Wi-Fi. Il y a une volonté de montrer une toute puissance et la complicité de certains hommes puissants qui sauvent toujours les infiltrés ou taupes au-dessus de tout soupçon dans la société civile. Ce besoin d’isoler d’orchestrer le rejet total à travers les mensonges et le cyberharcèlement, la diffamation tendent à rendre la personne infréquentable pour les siens.
Il s’agit presque d’un conditionnement pour asservir sexuellement et psychologiquement. Ce qui nous laisse penser que les prostituées de leur réseau ne l’étaient certainement pas au départ et qu’elles y ont été contraintes par les difficultés financières et le rejet social. Pour aller plus loin, pour faire accepter leurs opinions sur la politique, ils ont besoin d’avoir des personnes faibles pour se faire entendre. Ce qui semble faire leur terreau dans les pays du sud c’est : la pauvreté, le chômage, la précarité, la mort précoce, la souffrance physique et émotionnelle, l’absence d’éducation et d’esprit critique, l’absence d’amour voire d’affection familiale. Tous ceux qui les suivent subissent des problèmes dans leur vie, et ils se reposent sur les souffrances pour recruter, retiennent de force et infiltrent alors le réseau des recrutés. Pour détruire une famille de l’intérieur, il leur suffit de repérer les éléments qui vivent une épreuve difficile pouvant les faire basculer tel que la perte d’un enfant, d’un parent, l’infertilité pour une femme ou encore des problèmes financiers graves.
Il semble qu’ils aient essayé de faire ressembler à leurs membres A. qui a en toute logique reçu beaucoup d’amour de sa famille et ce que cet amour a souvent été désintéressé et non conditionné à un service quelconque. Il semble que A. ait des bases solides si nous relisons toute la série sur la fiction et tout son parcours ainsi qu’un esprit critique pour faire vaciller leur raisonnement simpliste et peu profond. Il semble même que A. ait la capacité de faire un portrait-robot de la psychologie de leur patron certainement intellectuel sous peu.
Il semble que A. ait une aversion naturelle pour des personnes comme celles présentes dans le cartel et que ces derniers n’aient pas compris que les discours d’apparence n’intéressent que ceux qui luttent contre eux-mêmes c’est-à-dire un problème interne et personnel non résolu.
Ils ont certainement pensé que l’identité était un problème pour A. raison pour laquelle, ils ont tenté de creuser cet aspect. Malheureusement pour eux et heureusement pour elle, elle avait intégré, intériorisé et accepté depuis longtemps et fait de cette fragilité apparente sa particularité et surtout une matérialisation de sa capacité de résilience et de survie dans un environnement qui a semblé hostile à un très jeune âge bien que ce ne fut que le signe d’un nouveau départ.
En réalité porter un prénom conforme au pays d’accueil montre davantage un attachement à ce pays surtout lorsqu’il est donné par votre père le jour de la célébration de votre baptême à l’âge de six mois sur votre terre natale. Il s’agit d’un trait d’union entre ces deux nations et nous pensons que A. l’a toujours considéré comme cela. Personne ne lui donné une religion et un prénom à son arrivée en France, ce sont ses parents qui l’ont fait. En réalité, à coté des racines authentiques, résidait aussi la racine historique et chrétienne et cela ne pouvait pas être une faiblesse à exploiter.
II nous semble que l’intelligence relationnelle et émotionnelle au sein des familles, des organisations voire des congrégations religieuses est plus que jamais d’actualité car certains exploitent les failles affectives, identitaires et sociales pour prospérer, s’infiltrer et semer le chaos. Si nous avions un conseil à donner à ces criminels déguisés en activistes, ce serait celui-ci : s’attaquer à l’héritage génétique est une folie mais transmuter un parcours de vie à une tierce personne s’apparente à un clonage et si la science n’a pas encore réussi, c’est qu’il y a une raison. Les souffrances de l’immigration ne justifient pas tout et n’excusent rien. La souffrance ne constitue pas un passe-droit n’engendre en aucun cas, un permis de tuer socialement. Elle requiert des soins.
Ne devrions pas éduquer davantage à l’esprit critique, à l’intelligence émotionnelle dans les relations afin que certains discours dangereux puissent être décelés plus rapidement par un grand nombre de personnes ? Ces groupes ne doivent-ils pas leur existence davantage à la négligence et à l’absence de solutions durables et structurels aux fléaux qui sévissent dans la société ?
Si nous devions transposer ces méthodes de conquête de clients ou partenaires pour une technologie de l’information dans un souci plus altruiste et noble, comment pourrions-nous nous y prendre ?
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils et notre application « Or en pépites »
Special “relational intelligence” newsletter no. 3: Intercultural, Emotional Intelligence, Management
We are continuing the trilogy of newsletters concerning “relational intelligence” based on the fiction that we had proposed and which we have re-mobilized to reflect on their method of building loyalty and capturing reputational value. In this last sequence, we talk about “conquest” or even recruiting customers or partners. Before offering the text of the main character who started out as a victim but became a whistleblower over time, we must recall the main and secondary characters. R. the specialist in false diplomas, K.S. the specialist in drug and arms trafficking, Lady from Belgrade, the pimp from 2.0, Lady from London the specialist in illegal adoption. This cartel which we have described as a cartel of “hate” given the emotional forces used to make the recruits act, selected two people from the family and in-laws of the alleged victim for its dirty work S-A of the in-laws and M-T of family. The special series featured two other characters: arrested by Interpol, killed, raped and filmed the scene to put on social networks. They had even infiltrated the circle of friends of his minor children through the children of their members, certainly by force. In this last story of the trilogy, we want to focus on the trafficking of false diplomas since it all started at university while the main character was doing doctoral training. We therefore continue with the story which, over the course of the discoveries, will realize that other maneuvers had been put in place to establish the accusation of plagiarism with which it all began. “A. who thought he had completely gotten rid of the terrorists after having defeated all attempts at identity theft concerning the plagiarism of the thesis sold to a third person and ensuring that it was supported before A., the autobiographical work which had been attributed to a candidate of Indian origin, the podcast which had been given to Lady of London, and the application which had been given to the two legitimate and illegitimate sons of X. It turns out that X. was married to a lady who seemed respectable in appearance and had given her the autobiographical work so that she could offer courses in preparation courses for the grandes écoles. She refused to return A.’s work so as not to lose face publicly. To ensure that A. was silenced, she undertook to enroll him in an English university for a thesis on the same subject in a discipline other than that in which A. had defended. We don’t know by what magic these people obtained papers with his original nationality to carry out this strange transaction. Their cartel certainly knows a specialist in false papers who helped them. Which means that a person went to enroll in a thesis in England with all of A.’s school and university career in France since she only became French as an adult, that is to say say thirty years. Which means that her entire immigrant journey was done with her original nationality, and her land title as well. Fortunately the birth of the children occurred shortly after she was naturalized otherwise they would have put A.’s children in this dirty and hateful imbroglio.
What really surprised the whistleblower was that at the time when she was a master’s student she wanted to do an internship in England and the consulate then refused to grant them the visa because they lacked a permit. internship that she should have requested three months before. The only problem is that she hadn’t found the internship before. As a conscientious student, she thought that the most important thing was to find an internship abroad and that this showed her skill and resourcefulness. But as a naive immigrant, she had not anticipated the administrative problems linked to her status as an African in Europe. Students from his country of origin had the same rights as students from the country of residence and had a document negotiated between the two nations which could make the difference when looking for summer jobs or internships. Unfortunately this agreement did not exist with England which meant that she did not obtain the visa to be able to go there. Indeed, she had kept a bitter memory of the first years of university where she had had blockages in a foreign language course and never stopped correcting this error in her journey through her actions. This administrative snub brought her back to her status as an immigrant and she decided since then to concentrate on acquiring non-precarious papers giving her total freedom of movement and work everywhere.
A regretted not having been arrested for this trafficking in false documents so that she could help the police unmask this entire hate cartel and show the stupidity and lightness of this maneuver. This action could only have been taken by a person who knew nothing about the situation of foreign students in the country of residence and in Europe at the time when A. was young and even now.
A was both happy with their mistakes because it showed their incompetence on the one hand and their contempt for the immigrants around them on the other. This woman certainly thought she was better than those who had failed and imagined she could do better than the others to the extent that her husband had made everyone believe that A. was his mistress when in reality it was lady from London. A. assumed that the person who would benefit from his diplomas was certainly Lady of London. This than fire. We can’t even imagine all the snakes she must have swallowed in her life! To return to plagiarism, to detach herself from this work and open up to other perspectives, A. created an application to be able to exploit his doctoral work. Once rid of the alleged copiers, she left to file a handout at the police station in her city to indicate that the application was created with the aim of being able to exploit her thesis work. The agent even advised her to send herself a registered letter with the story of the facts in addition to other suggestions. If she followed that of the registered mail, she undertook to redeposit a copyrighted document with the precision put on the handrail the same as she had deposited during the first version of the autobiographical work. The “hatred”, ignoring all this, had the originals of her birth certificate and nationality certificate from her country of origin stolen from her home. What they don’t know is that the authorities have been notified and that any request from a person who is not A. will be sanctioned and the person placed under arrest. A. requested an appointment at the consulate of his country of origin and reported the problem to his family still present there. Which means that they will never again be able to use A’s papers, diplomas, land title, thesis, autobiographical work, application or podcast….
To return to the recruitment methods of this cartel, we believe that they sought to recruit A. through all their actions. The fact of trying to erase all visible traces of her in the normal world suggests that they wanted to make her so miserable that she would have had no choice but to join them. On several occasions, we had the feeling that she knew so much about their recruitment maneuvers that ultimately they wanted to delete her so that she would not alert the public of their actions so that they would not be fooled. If we look closely, there was an attempt at economic destabilization, an attempt at weakening and psychological subjugation dispossessing it of all will and all free will becoming a body at their disposal like a soldier, a follower of a sect etc. … There is a violent and disgusting intrusion into intimacy with people who spy even in the marital bed to show that the person belongs to them and that they are not free through Wi-Fi spying. there is a desire to show omnipotence and the complicity of certain powerful men who always save infiltrators or moles above all suspicion in civil society. This need to isolate and orchestrate total rejection through lies and cyberharassment and defamation tends to make the person inaccessible to their loved ones. It is almost a conditioning to enslave sexually and psychologically. Which leads us to believe that the prostitutes in their network were certainly not prostitutes at the start and that they were forced to do so by financial difficulties and social rejection. To go further, to have their opinions on politics accepted, they need to have weak people to make themselves heard. What seems to be their breeding ground in the countries of the South is: poverty, unemployment, precariousness, early death, physical and emotional suffering, the absence of education and critical thinking, the absence of love or even family affection. Everyone who follows them suffers problems in their lives, and they rely on suffering to recruit, forcibly retain, and then infiltrate the network of recruits. To destroy a family from the inside, they just need to identify the elements that are going through a difficult ordeal that could push them over the edge, such as the loss of a child, a parent, infertility for a woman or even financial problems. serious. It seems that they were trying to make their members look like A. who logically received a lot of love from his family and that this love was often selfless and not conditioned on any service. It seems that A. has solid foundations if we reread the entire series on fiction and its entire journey as well as a critical mind to shake up their simplistic and shallow reasoning. It even seems that A. has the capacity to draw up a sketch of the psychology of their certainly intellectual boss shortly
It seems that A. has a natural aversion to people like those present in the cartel and that the latter have not understood that appearances only interest those who fight against themselves, that is to say say an unresolved internal and personal problem. They certainly thought that identity was a problem for A. which is why they tried to dig into this aspect. Unfortunately for them and fortunately for her, she had integrated, internalized and accepted for a long time and made this apparent fragility her particularity and above all a materialization of her capacity for resilience and survival in an environment which seemed hostile at a very young age. that it was only the sign of a new beginning. In reality, having a first name consistent with the host country shows more of an attachment to that country, especially when it is given by your father on the day of the celebration of your baptism at the age of six months in your native land. It is a link between these two nations and we think that A. always considered it that way. No one gave him a religion and a first name when he arrived in France, it was his parents who did so. In reality, alongside the authentic roots, there also resided the historical and Christian root and this could not be a weakness to be exploited. It seems to us that relational and emotional intelligence within families, organizations and even religious congregations is more relevant than ever because some people exploit emotional, identity and social flaws to prosper, infiltrate and sow chaos. If we had one piece of advice to give to these criminals disguised as activists, it would be this: attacking genetic inheritance is madness but transmuting a life course to a third person is akin to cloning and if science has not yet succeeded, there is a reason. The suffering of immigration does not justify everything and does not excuse anything. Suffering does not constitute a free pass and in no case generates a license to kill socially. It requires care. Shouldn’t we educate more about critical thinking and emotional intelligence in relationships so that certain dangerous speeches can be detected more quickly by a large number of people? Do these groups not owe their existence more to neglect and the absence of lasting and structural solutions to the scourges plaguing society? If we were to transpose these methods of winning customers or partners for information technology into a more altruistic and noble concern, how could we go about it? We thank you for continuing to follow us on our Zs Conseils page and our “or en pepites” application.