Newsletter n° 65 : financement responsable, soft skills, paix sociale
Cette semaine, nous souhaitons nous situer dans le prolongement de la newsletter intitulée « culture émotion formation » publiée sur la page de notre cabinet Zs Conseils le 5 novembre 2023. Nous y avions alors évoqué l’importance des compétences psychosociales transversales et transférables. Nous nous étions attardés sur les valeurs opérationnelles. Nous nous focalisons dans cette newsletter 65 sur les compétences psychosociales interpersonnelles communément appelées « soft skills ». Une fois n’est pas coutume, nous avons tenté de nous documenter via Chapt GPT et non regardé des documentaires.
Tout d’abord il existe plusieurs famille de soft skills telles que les c compétences cognitives, sociales ou encore émotionnelles qui possèdent une valeur opérationnelle ou non. Nous entendons souvent dire qu’elles sont difficiles à évaluer et qu’il existe surtout des famille de soft-skills en fonction des métiers qui participent avec les compétences techniques à la réussite d’un projet professionnel. Dans ce cas, il se pourrait bien qu’il existe aussi une variété de soft skills liée à l’environnement culturel, aux pays aux coutumes, aux clans aux familles.
Si nous prenons le cas des aides aux développement envoyées essentiellement par la diaspora des pays du sud aux familles restées sur le continent africain, pouvons-nous supposer qu’elles sont la matérialisation d’une qualité des relations interpersonnelles, intra-familiales etc ? Pouvons-nous la voir de cette façon ?
Il s’agit avant tout d’une aide financière appelée « remittance » que les membres de la diaspora envoient via les agences de transfert de fond à leurs familles. Cette aide constitue parfois la seule source de revenus pour certaines catégories. En 2020, le total des envois de fond a atteint quarante-deux milliards de dollars. Il semble que la somme représente environ 9% du PIB (produit intérieur brut) au Sénégal et 4,5% au Kenya. Le Nigéria totalise le plus fort montant des envois en Afrique de l’Ouest. Bien qu’il n’y ait pas de traçage matériel de l’usage de ces fonds qui circulent chaque année. Les institutions déclarent qu’ils participent à la réduction de la pauvreté en contribuant à la scolarité des membres de la famille, au paiement des factures de la vie quotidienne, au règlement des soins médicaux. Cette aide ne se limite pas qu’aux membres d’une famille proche, elle peut également s’étendre à la famille éloignée, au clan ou aux membres d’un village.
En effet lorsque l’ainé d’une famille dispose d’une source stable de revenus, ne peut-on pas considérer l’aide matérielle accordée à ses frères et sœurs qui le suivent comme l’opérationnalisation naturelle de leur compétence sociale et interpersonnelle ? Lorsque ce phénomène se répète sur plusieurs générations au sein d’une même famille, pouvons-nous dire que le leader ou que le chef de famille a su inculquer et développer une entraide et un esprit de solidarité qui peuvent se transposer dans d’autres domaines ? En ce qui nous concerne si nos années d’école primaire et maternelle ont financées par notre mère dans notre pays d’origine, et les années collège et lycée en France à l’internat, par son ex compagnon alors homme d’affaires, nos années d’études supérieures à l’université jusqu’au master, l’ont été par notre frère cadet alors consultant en île de France après ses études supérieures. Celui-ci est ensuite parti travailler à l’étranger dans des banques d’aide au développement en Asie et avant en Afrique.
N’ayant pas obtenu de bourse d’état de mon pays d’origine, et n’étant pas éligible à la bourse de mon pays de résidence, et mes parents (mère et beau-père) s’étant séparés lors des premières années de mes études universitaires, j’ai pu bénéficier de cette autre solidarité familiale pour finir mes études. Bien que cette somme ait été « modeste», c’est-à-dire quelques centaines d’euros par mois, elle a été constante et régulière pendant toutes les années universitaires dans la ville du Havre principalement. En ce qui concerne notre travail doctoral, comme nous l’avons déjà dit dans la newsletter n° 10, intitulée : » processus d’apprentissage, bricolage, ethnographie » publiée le 10 novembre 2023, nous n’avons pas eu de financement externe ou institutionnel pour les premières années de ce travail. Nous avons fait appel une fois de plus à l’entraide familiale pour le financement des déplacements liés à un atelier de travail et à un congrès. Pour le reste, nous avions deux enfants encore petits et nécessitant une attention particulière lors des premières années de scolarité, ce qui m’a amenée à faire ce travail sur un temps disponible en dehors de mes obligations et contraintes familiales en plus des tâches domestiques. Notre conjoint a donc naturellement subvenu à nos besoins financiers pendant que j’effectuais ma formation doctorale et que j’aidais nos enfants. Nous précisons que l’aide familiale provient des salaires respectifs personnels des individus concernés et non une aide provenant de leurs organisations.
Les cas de d’aide au développement, d’aide à l’instruction ou aux soins médicaux, montrent-ils une capacité de certaines communautés, clans, familles ou groupes ethniques à développer des compétences sociales pouvant se matérialiser sous différentes formes ? Si les groupes et individus prennent la responsabilité sociale de leurs membres, comment peut-on qualifier le processus relationnel qui les y conduits ? De même peut-on nommer ce type de financement comme « financement social et responsable » ?
Comment aider alors ceux qui ne bénéficient pas d’aide communautaire pour leurs études ou leurs business et qui n’ont pas accès ni au micro crédit ou encore aux financements traditionnels bancaires et institutionnels ? Se peut -il que la solution se trouve auprès des organismes de transfert de fonds qui peuvent grâce à une ingénierie financière essayer de contribuer au financement d’aide à l’insertion sociale de migrants sur le sol occidental voire d’orphelinats formels ou informels dans les pays du Sud ?
Peut-on se permettre de demander aux familles qui en font déjà beaucoup, dont certains membres se sacrifient tout au long de leur vie, d’aller aussi contribuer à l’aide de développement à l’instruction et à l’accès aux soins de personnes avec lesquels ils n’ont aucun rapport ? Les familles ont -elles les moyens de se substituer à l’état et aux organismes financiers ?
La paix sociale ne mérite-t-elle pas plus d’engagement de la part de nos responsables politiques ?
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Newsletter no. 65: responsible financing, soft skills, social peace
This week, we would like to follow on from the newsletter entitled “emotion culture training” published on the page of our firm Zs Conseils on November 5, 2023. We then mentioned the importance of transversal and transferable psychosocial skills. We focused on operational values. In this newsletter 65 we focus on interpersonal psychosocial skills commonly called “soft skills”. Once is not customary, we tried to document ourselves via Chapt GPT and not watched documentaries.
First of all, there are several families of soft skills such as cognitive, social or even emotional skills which may or may not have operational value. We often hear that they are difficult to evaluate and that there are mainly families of soft skills depending on the professions which contribute with technical skills to the success of a professional project. In this case, it may well be that there is also a variety of soft skills linked to the cultural environment, to countries to customs, to clans to families.
If we take the case of development aid sent mainly by the diaspora from southern countries to families remaining on the African continent, can we assume that they are the materialization of a quality of interpersonal, intra-family relationships, etc.? Can we see it this way?
It is above all a financial aid called “remittance” that members of the diaspora send via remittance agencies to their families. This aid sometimes constitutes the only source of income for certain categories. In 2020, total remittances reached forty-two billion dollars. It appears that the sum represents around 9% of GDP (gross domestic product) in Senegal and 4.5% in Kenya. Nigeria accounts for the highest amount of shipments in West Africa. Although there is no material tracking of the use of these funds which circulate each year. The institutions declare that they contribute to the reduction of poverty by contributing to the education of family members, the payment of daily bills, and the payment of medical care. This help is not limited only to members of a close family, it can also extend to distant family, clan or members of a village.
Indeed, when the eldest in a family has a stable source of income, can we not consider the material assistance granted to his brothers and sisters who follow him as the natural operationalization of their social and interpersonal skills?
When this phenomenon is repeated over several generations within the same family, can we say that the leader or the head of the family has been able to instill and develop mutual aid and a spirit of solidarity which can be transposed into other areas ? As far as we are concerned, if our primary and nursery school years were financed by our mother in our country of origin, and the middle and high school years in France at the boarding school, by her ex-partner then a businessman, our years of higher studies at university up to the master’s degree, were done by our younger brother then a consultant in Ile de France after his higher studies. He then left to work abroad in development aid banks in Asia and before that in Africa.
Not having obtained a state scholarship from my country of origin, and not being eligible for the scholarship from my country of residence, and my parents (mother and stepfather) having separated during the first years of my university studies, I was able to benefit from this other family solidarity to finish my studies. Although this sum was “modest”, that is to say a few hundred euros per month, it was constant and regular throughout the university years, mainly in the city of Le Havre. Regarding our doctoral work, as we have already said in newsletter n° 10, entitled: « learning process, DIY, ethnography » published on November 10, 2023, we have not had any external funding or institutional for the first years of this work. We once again called on family support to finance travel related to a workshop and a conference. For the rest, we had two children who were still young and required special attention during the first years of schooling, which led me to do this work on available time outside of my family obligations and constraints in addition to domestic tasks. Our spouse therefore naturally provided for our financial needs while I completed my doctoral training and helped our children. We specify that family assistance comes from the respective personal salaries of the individuals concerned and not assistance from their organizations.
Do the cases of development aid, aid for education or medical care show the capacity of certain communities, clans, families or ethnic groups to develop social skills that can materialize in different forms? If groups and individuals take social responsibility for their members, how can we describe the relational process that leads them there? Likewise, can we call this type of financing “social and responsible financing”?
How then can we help those who do not benefit from community assistance for their studies or their businesses and who do not have access to microcredit or traditional bank and institutional financing? Perhaps the solution lies with fund transfer organizations which can, through financial engineering, try to contribute to the financing of assistance for the social integration of migrants on Western soil or even formal or informal orphanages in southern countries ?
Can we afford to ask families who already do a lot, some of whose members sacrifice throughout their lives, to also contribute to development aid, education and access to child care? people with whom they have no relationship? Do families have the means to replace the state and financial organizations?
Doesn’t social peace deserve more commitment from our political leaders?
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Boletín nº 65: financiación responsable, habilidades blandas, paz social
Esta semana queremos continuar con el boletín titulado “formación en cultura emocional” publicado en la página de nuestra empresa Zs Conseils el 5 de noviembre de 2023. A continuación, mencionamos la importancia de las habilidades psicosociales transversales y transferibles. Nos centramos en los valores operativos. En este boletín 65 nos centramos en las habilidades psicosociales interpersonales comúnmente llamadas “habilidades blandas”. Una vez no es habitual, intentamos documentarnos a través del Capítulo GPT y no vimos documentales.
En primer lugar, existen varias familias de habilidades interpersonales, como las cognitivas, sociales o incluso emocionales, que pueden tener o no valor operativo. A menudo escuchamos que son difíciles de evaluar y que existen principalmente familias de soft skills dependiendo de las profesiones que contribuyen con habilidades técnicas al éxito de un proyecto profesional. En este caso, es muy posible que también exista una variedad de habilidades interpersonales vinculadas al entorno cultural, a los países, a las costumbres, a los clanes y a las familias.
Si tomamos el caso de las ayudas al desarrollo enviadas principalmente por la diáspora de los países del Sur a las familias que permanecen en el continente africano, ¿podemos suponer que son la materialización de una calidad de relaciones interpersonales, intrafamiliares, etc.? ¿Podemos verlo de esta manera?
Se trata sobre todo de una ayuda financiera llamada “remesas” que los miembros de la diáspora envían a través de agencias de remesas a sus familias. Esta ayuda constituye a veces la única fuente de ingresos para determinadas categorías. En 2020, las remesas totales alcanzaron los cuarenta y dos mil millones de dólares. Parece que la suma representa alrededor del 9% del PIB (producto interno bruto) en Senegal y el 4,5% en Kenia. Nigeria representa la mayor cantidad de envíos en África occidental. Aunque no existe un seguimiento material del uso de estos fondos que circulan cada año. Las instituciones declaran que contribuyen a la reducción de la pobreza contribuyendo a la educación de los miembros de la familia, al pago de las cuentas diarias y al pago de la atención médica. Esta ayuda no se limita sólo a los miembros de una familia cercana, sino que también puede extenderse a familiares lejanos, clanes o miembros de una aldea.
De hecho, cuando el mayor de una familia tiene una fuente estable de ingresos, ¿no podemos considerar la asistencia material otorgada a sus hermanos y hermanas que lo siguen como la operacionalización natural de sus habilidades sociales e interpersonales? Cuando este fenómeno se repite a lo largo de varias generaciones dentro de una misma familia, ¿podemos decir que el líder o el cabeza de familia ha sabido inculcar y desarrollar la ayuda mutua y un espíritu de solidaridad trasladable a otros ámbitos? Por lo que a nosotros respecta, si nuestros años de escuela primaria y infantil fueron financiados por nuestra madre en nuestro país de origen, y los años de secundaria y preparatoria en Francia en el internado, por su ex pareja entonces empresario, nuestros años de estudios superiores en la universidad hasta el título de maestría, fueron realizados por nuestro hermano menor, entonces consultor en Ile de France después de sus estudios superiores. Luego se fue a trabajar al extranjero en bancos de ayuda al desarrollo en Asia y antes en África.
Al no haber obtenido una beca estatal de mi país de origen, y no ser elegible para la beca de mi país de residencia, y mis padres (madre y padrastro) se separaron durante los primeros años de mis estudios universitarios, pude beneficiarme de esta otra familia solidaria para terminar mis estudios. Aunque esta suma era “modesta”, es decir unos cientos de euros al mes, fue constante y regular a lo largo de los años universitarios, principalmente en la ciudad de Le Havre.
Precisamos que la ayuda familiar proviene de los respectivos salarios personales de los interesados y no de la ayuda de sus organizaciones.
En cuanto a nuestro trabajo doctoral, como ya dijimos en el boletín n° 10, titulado: « proceso de aprendizaje, bricolaje, etnografía » publicado el 10 de noviembre de 2023, no hemos contado con ninguna financiación externa ni institucional para los primeros años de este trabajo. Una vez más solicitamos el apoyo de las familias para financiar viajes relacionados con un taller y una conferencia. Por lo demás, teníamos dos hijos que aún eran pequeños y requerían atención especial durante los primeros años de escolarización, lo que me llevó a realizar este trabajo en el tiempo disponible fuera de mis obligaciones y limitaciones familiares además de las tareas domésticas. Por lo tanto, nuestro cónyuge, naturalmente, cubrió nuestras necesidades financieras mientras yo completaba mi formación doctoral y ayudaba a nuestros hijos.
¿Los casos de ayuda al desarrollo, ayuda a la educación o atención médica muestran la capacidad de determinadas comunidades, clanes, familias o grupos étnicos para desarrollar habilidades sociales que pueden materializarse de diferentes formas? Si los grupos y los individuos asumen la responsabilidad social de sus miembros, ¿cómo podemos describir el proceso relacional que los lleva allí? Asimismo, ¿podemos denominar a este tipo de financiación “financiación social y responsable”?
¿Cómo podemos entonces ayudar a quienes no se benefician de ayudas comunitarias para sus estudios o sus negocios y que no tienen acceso a microcréditos o a financiación bancaria e institucional tradicional? ¿Quizás la solución esté en las organizaciones de transferencia de fondos que puedan, mediante ingeniería financiera, intentar contribuir a la financiación de ayudas para la integración social de los inmigrantes en suelo occidental o incluso de orfanatos formales o informales en los países del Sur?
¿Podemos darnos el lujo de pedir a las familias que ya hacen mucho, algunos de cuyos miembros se sacrifican a lo largo de su vida, que contribuyan también a la ayuda al desarrollo, la educación y el acceso al cuidado infantil de personas con las que no tienen ninguna relación? ¿Tienen las familias los medios para sustituir al Estado y a las organizaciones financieras?
¿No merece la paz social un mayor compromiso por parte de nuestros líderes políticos?
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Newsletter 66 : Service social et responsable, soft skills, paix sociale
Nous poursuivons notre exploration de l’opérationnalisation des « soft skills » dans la continuité de la newsletter précédente (N°65). Nous rappelons que les soft skills sont considérées comme des compétences psychosociales, transversales et transférables à d’autres domaines d’activité. Il faut donc les dissocier des compétences techniques. Comme dans le billet précédent, nous nous servons des ressources documentaires de l’intelligence artificielle (Chat GPT) et non de ressources filmiques comme à notre habitude.
Il existe une variété de familles de soft skills : compétences interpersonnelles, compétences interpersonnelles, compétences cognitives, compétences de leadership, compétences sociales, compétences émotionnelles, compétences d’apprentissage. Nous avons évoqué précédemment l’opérationnalisation des compétences interpersonnelles à travers la finance responsable et sociale au sein des groupes communautaires, familiaux, ethniques culturels etc.
A présent, nous souhaitons nous focaliser sur la déclinaison possible des compétences sociales, d’apprentissage et de compétences cognitives.
Pour commencer avec les compétences cognitives, elles peuvent se voir dans la résolution de problèmes, la pensée critique, la prise de décision, la créativité. Il existe une multitude d’activités extra-professionnelles dans lesquelles elles peuvent être mises en œuvre par exemple le service civique pour les personnes qui sont présentes dans les associations culturelles visant à aider par exemple les personnes sans papiers et migrantes à régulariser leurs situations. De même, les structures sociales qui permettent l’insertion sociale des personnes en difficulté rendent possible leur acquisition surtout en ce qui concerne la prise de décision et la résolution de problèmes.
Nous le disons d’autant plus que notre frère aîné avait pour habitude de nous aider à réaliser les formalités administratives nécessaires pour obtenir le visa d’entrée en France chaque été pour les études en tant que mineur rentrant en Afrique quasiment chaque été dans notre pays d’origine. En effet, nous étions déjà scolarisés en France à l’internat pendant les années collège et lycée et nous rentrions quasiment à chaque période estivale. Notre frère aîné nous aidait à faire les formalités de voyage parce que nous étions trop jeunes pour connaitre les rouages de ces démarches surtout dans des environnements où le règne de l’informel est très prégnant.
Il avait pour habitude de repérer les personnes clés susceptibles de débloquer certaines situations. Cette première expérience bénévole avec nous, l’homme de confiance de certaines personnalités de son pays de résidence.
Ces soft skills peuvent également être assimilées lors d’ activités cultuelles à travers une implication personnelle dans les associations cultuelles de loi 1905. Nous pensons aux compétences d’apprentissage puis aux compétences sociales. Cet environnement peut permettre de stimuler les aptitudes interculturelles sociales ainsi que l’esprit de curiosité et de prise d’initiative nécessaire à l’apprentissage.
Ainsi entre le mois de septembre 2013 et le mois de juin 2023 (avec une année de pause pour l’année 2018-2019), nous avons accompagné nos enfants notre paroisse locale dans leurs activités.
Il y a eu une première activité entre 2013 et 2018 pour l’accompagnement des tout-petits entre quatre et sept ans. Nous avons même été chargées à un moment donné d’effectuer la coordination du groupe de mères qui s’en occupaient à travers la rédaction des compte-rendu de réunions et l’organisation des réunions. Dans la même veine, nous avons participé à l’accompagnement à la préparation de sacrements pour les enfants de huit à onze ans d’abord avec le groupe de notre fils aîné pendant trois années. Après l’année de pause, nous avons ensuite poursuivi pendant trois années avec notre fils cadet et benjamin. A partir de l’année 2024, nous avons intégré un autre groupe pour les personnes plus âgées mais en étant moins assidue que les années précédentes.
Nous avons ainsi pu mettre en œuvre nos compétences interculturelles au service d’une paroisse locale dans laquelle cohabitent plus d’une vingtaine de nationalité issues de différents horizons comme l’Inde, l’Amérique latine ou encore l’Afrique et l’Europe puisque nous vivons en Europe et en France.
Par ailleurs, l’activité avec les enfants se faisait toujours en binôme, donc le travail en équipe était fortement favorisé. Pour finir, l’esprit d’initiative et la curiosité indispensables pour acquérir de nouvelles compétences opérationnelles utiles dans l’apprentissage horizontal ou vertical ont été mises en application également.
Dans quels domaines est-il possible de tester l’applicabilité des autres familles de soft skills ? Par la même occasion, quels soft skills prenons nous du monde professionnel et qui peuvent nous aider dans nos activités extra-scolaires ou extra-professionnelles ?
L’implication dans des associations, « cultuelles ou culturelles », ne contribue-t-il pas à une quête de vivre-ensemble et une démarche pacificatrice de son environnement local ? Peut-on considérer cela comme un service social et responsable ?
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Newsletter 66: Social and responsible service, soft skills, social peace
We are continuing our exploration of the operationalization of “soft skills” in continuity with the previous newsletter (No. 65). We remind you that soft skills are considered psychosocial skills, transversal and transferable to other areas of activity. They must therefore be separated from technical skills. As in the previous post, we use artificial intelligence documentary resources (Chat GPT) and not film resources as usual.
There are a variety of soft skill families: interpersonal skills, interpersonal skills, cognitive skills, leadership skills, social skills, emotional skills, learning skills. We previously mentioned the operationalization of interpersonal skills through responsible and social finance within community, family, ethnic, cultural groups, etc.
Now, we want to focus on the possible variation of social skills, learning and cognitive skills.
To start with cognitive skills, they can be seen in problem solving, critical thinking, decision making, creativity. There are a multitude of extra-professional activities in which they can be implemented, for example civic service for people who are present in cultural associations aimed at helping, for example, undocumented and migrant people to regularize their situations. Likewise, the social structures that allow the social integration of people in difficulty make their acquisition possible, especially with regard to decision-making and problem solving.
We say this especially since our older brother used to help us carry out the administrative formalities necessary to obtain the entry visa to France every summer for studies as a minor returning to Africa almost every summer to our country original. In fact, we were already educated in France at the boarding school during the middle and high school years and we returned almost every summer period. Our older brother helped us with the travel formalities because we were too young to know the workings of these procedures, especially in environments where the reign of the informal is very significant.
He had a habit of identifying key people likely to unblock certain situations. This first volunteer experience with us, the confidant of certain personalities from his country of residence.
These soft skills can also be assimilated during religious activities through personal involvement in religious associations under the 1905 law. We are thinking of learning skills and then social skills. This environment can help stimulate intercultural social skills as well as the spirit of curiosity and initiative necessary for learning.
So between September 2013 and June 2023 (with a year’s break for 2018-2019), we accompanied our children from our local parish in their activities.
There was a first activity between 2013 and 2018 to support toddlers between four and seven years old. At one point we were even responsible for coordinating the group of mothers who were in charge of it by writing meeting minutes and organizing meetings. In the same vein, we participated in supporting the preparation of sacraments for children aged eight to eleven, first with our eldest son’s group for three years. After the year off, we then continued for three years with our youngest and youngest son. From 2024, we have joined another group for older people but with less attendance than in previous years.
We were thus able to implement our intercultural skills in the service of a local parish in which more than twenty nationalities from different backgrounds such as India, Latin America or even Africa and Europe coexist since we live in Europe and France.
Furthermore, the activity with the children was always done in pairs, so teamwork was strongly encouraged. Finally, the spirit of initiative and curiosity essential for acquiring new operational skills useful in horizontal or vertical learning were also applied.
In which areas is it possible to test the applicability of other families of soft skills? At the same time, what soft skills do we take from the professional world and which can help us in our extra-curricular or extra-professional activities?
Doesn’t involvement in “religious or cultural” associations contribute to a quest for living together and an approach to pacifying one’s local environment? Can we consider this as a social and responsible service?
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Boletín 66: Servicio social y responsable, habilidades blandas, paz social
Continuamos nuestra exploración de la operacionalización de las “habilidades interpersonales” en continuidad con el boletín anterior (núm. 65). Te recordamos que las soft skills son consideradas habilidades psicosociales, transversales y transferibles a otros ámbitos de actividad. Por tanto, deben separarse de las competencias técnicas. Como en el post anterior, utilizamos recursos documentales de inteligencia artificial (Chat GPT) y no recursos cinematográficos como es habitual.
Hay una variedad de familias de habilidades sociales: habilidades interpersonales, habilidades interpersonales, habilidades cognitivas, habilidades de liderazgo, habilidades sociales, habilidades emocionales, habilidades de aprendizaje. Anteriormente mencionamos la operacionalización de habilidades interpersonales a través de finanzas responsables y sociales dentro de grupos comunitarios, familiares, étnicos, culturales, etc.
Ahora queremos centrarnos en la posible variación de las habilidades sociales, el aprendizaje y las habilidades cognitivas.
Para empezar con las habilidades cognitivas, se pueden ver en la resolución de problemas, el pensamiento crítico, la toma de decisiones y la creatividad. Existen multitud de actividades extraprofesionales en las que se pueden implementar, por ejemplo el servicio cívico para personas que están presentes en asociaciones culturales destinadas a ayudar, por ejemplo, a personas indocumentadas y migrantes a regularizar sus situaciones. Asimismo, las estructuras sociales que permiten la integración social de las personas en dificultad posibilitan su adquisición, especialmente en lo que respecta a la toma de decisiones y la resolución de problemas.
Decimos esto sobre todo porque nuestro hermano mayor solía ayudarnos a realizar los trámites administrativos necesarios para obtener el visado de entrada a Francia cada verano para realizar estudios siendo menor y regresaba a África casi todos los veranos a nuestro país de origen. De hecho, ya nos educamos en Francia en el internado durante los años de secundaria y preparatoria y regresábamos casi todos los períodos de verano. Nuestro hermano mayor nos ayudó con los trámites de viaje porque éramos demasiado jóvenes para conocer el funcionamiento de estos trámites, especialmente en ambientes donde el reinado de lo informal es muy significativo.
Tenía la costumbre de identificar personas clave que pudieran desbloquear determinadas situaciones. Esta primera experiencia de voluntariado con nosotros, el confidente de determinadas personalidades de su país de residencia.
Estas habilidades sociales también pueden asimilarse durante las actividades religiosas a través de la participación personal en asociaciones religiosas según la ley de 1905. Estamos pensando en aprender habilidades y luego habilidades sociales. Este entorno puede ayudar a estimular las habilidades sociales interculturales, así como el espíritu de curiosidad e iniciativa necesarios para el aprendizaje.
Así, entre septiembre de 2013 y junio de 2023 (con un descanso de un año para 2018-2019), acompañamos a nuestros niños de nuestra parroquia local en sus actividades.
Hubo una primera actividad entre 2013 y 2018 para apoyar a niños pequeños de entre cuatro y siete años. En un momento incluso nos encargamos de coordinar al grupo de madres que se encargaban redactando actas de reuniones y organizando reuniones. En la misma línea, participamos apoyando la preparación de sacramentos para niños de ocho a once años, primero con el grupo de nuestro hijo mayor desde hace tres años. Después del año libre, continuamos durante tres años con nuestro hijo menor y el menor. A partir de 2024 nos sumamos a otro grupo para personas mayores pero con menor asistencia que en años anteriores.
De esta manera pudimos implementar nuestras habilidades interculturales al servicio de una parroquia local en la que conviven más de veinte nacionalidades de diferentes orígenes como India, América Latina o incluso África y Europa, ya que vivimos en Europa y Francia.
Además, la actividad con los niños siempre se realizó en parejas, por lo que se fomentó mucho el trabajo en equipo. Finalmente, también se aplicó el espíritu de iniciativa y curiosidad imprescindibles para adquirir nuevas habilidades operativas útiles en el aprendizaje horizontal o vertical.
¿En qué áreas es posible probar la aplicabilidad de otras familias de habilidades blandas? Al mismo tiempo, ¿qué soft skills extraemos del mundo profesional y cuáles pueden ayudarnos en nuestras actividades extraescolares o extraprofesionales?
¿La participación en asociaciones “religiosas o culturales” no contribuye a la búsqueda de la convivencia y a un enfoque para pacificar el entorno local? ¿Podemos considerar esto como un servicio social y responsable?
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Newsletter 67 : soutien durable, soft skills, paix sociale
Nous achevons notre petite série de billets d’exploration concernant les soft skills débutée dans les deux newsletters précédentes ( n° 65 et n°66). Nous les avons basées sur la newsletter « culture émotion formation » publiée le 5 novembre 2023 sur notre page LinkedIn Zs Conseils. Comme annoncé dans les deux newsletters précédentes, nous avons privilégié pour la première les ressources documentaires non filmiques issues de l’intelligence artificielle.
Comme le disions, pour tenter une expérience, nous avons plutôt mobilisé le logiciel « Chat GPT » pour les bulletins 65, 66, 67. A notre étonnement, en tapant de nouveau le mot clé « soft skills » au lieu de nous proposer sept familles de soft skills comme dans la n° 66, le logiciel nous en a montré plutôt six qui sont les suivantes : compétences interpersonnelles, compétences personnelles, compétences de leadership, compétences de résolution de problèmes, compétences organisationnelles, compétences et émotionnelles. Il s’agit sensiblement des mêmes informations mais organisées autrement. Dans la mesure où nous avons parlé brièvement des compétences interpersonnelles, ainsi que celles liées aux résolutions de problèmes, nous allons privilégier pour cette newsletter n°67 celles qui tournent autour des compétences personnelles et organisationnelles. Y sont inclus : la capacité à gérer le temps, la flexibilité/adaptabilité d’un côté et l’aptitude à planifier, organiser, à faire attention aux détails et l’aptitude à prioriser de l’autre côté.
En dehors des activités extra-scolaires et extra-professionnelles, dans quelles autres situations sommes -nous capables d’acquérir des capacités transférables à d’autres sphères de nos vies ? Nous suggérons l’idée selon laquelle les évènements douloureux tels que l’échec, les périodes de maladie, de troubles quelles qu’elles soient peuvent constituer des situations qui concourent à la transformation de l’individu et donc directement à ses aptitudes personnelles. En fonction de la situation, d’autres familles de soft skills pourront être contaminées.
Si ces évènements peuvent contribuer dans la vie d’un individu à plus de : résilience et force intérieure ; perspective et priorité ; compassion et empathie ; croissance personnelle et apprentissage, adaptabilité et créativité ; connaissance de soi et authenticité qu’en est -il de ceux qui les accompagnent et qui vivent ces moments avec eux ?
Ayant connu quelques difficultés au moment de nos deux maternités, nous nous sommes demandées ce que ces évènements avaient permis de changer dans notre manière de faire certaines choses pouvant servir d’autres communautés plus grandes : professionnelles, extra-professionnelles, culturelles etc…
Nous avons connu deux maternités qui ont commencé dans la difficulté avec la prématurité pour l’un et la détresse respiratoire à la naissance pour l’autre. Si tous les deux se portent assez bien, ont plutôt bien évolué malgré quelques obstacles, ils souffrent de handicaps invisibles appelés aussi troubles de l’apprentissage. Si toute l’aide possible leur a été apportée sur le plan paramédical ainsi que scolaire, l’accompagnement de parents durant la petite enfance a été laborieuse c’est-à-dire construite car nous n’y connaissions rien et avons du nous adapter pour répondre à leurs besoins d’une part et continuer à vaquer à nos occupations d’autre part.
Selon Chat GPT, les approches pour aider les enfants sont les suivantes: évaluation et diagnostic ; les interventions éducatives personnalisées ; les thérapies spécifiques comme l’orthophonie, la psychomotricité ou encore l’ergothérapie plus tard, l’utilisation de la techno-assistance et enfin le soutien émotionnel pour encourager l’estime de soi et la confiance en soi.
Ce qui nous concerne est davantage lié à l’encouragement et à l’estime de soi, l’aide aux devoirs, l’accompagnement aux thérapies spécifiques lors de créneaux en créneaux scolaires donc durant le temps de travail ainsi qu’à l’accompagnement aux activités extra-scolaires de loisirs ou autres.
Au bout de plusieurs années, nous pouvons dire que nous avons pu acquérir à une capacité à nous organiser autrement avec des créneaux horaires et jours de travail décalés lorsque cela s’est avéré nécessaire. Il a fallu apprendre à prioriser mieux et à passer plus de temps à organiser la semaine durant les jours de repos. Il est possible d’acquérir aussi de la flexibilité mentale, c’est-à-dire s’adapter à la manière dont les autres perçoivent et font les choses afin de mieux soutenir et encourager.
Etant donné que ce sont des aptitudes nécessaires dans tous les métiers, nous pensons que le fait de l’avoir mis en œuvre durant plusieurs années dans un contexte non professionnel peut en faire un atout professionnel.
Par ailleurs si les compétences psychosociales d’un individu se trouvent renforcées par les périodes et moments difficiles de la vie, elles permettent de développer ou acquérir des soft skills utiles pour le monde professionnel bien que les deux concepts soient étroitement liées. L’une concerne la vie en général et l’autre le monde du travail essentiellement.
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils et notre application « or en pépites ».
Newsletter 67: sustainable support, soft skills, social peace
We are completing our small series of exploration posts concerning soft skills started in the two previous newsletters (n°65 and n°66). We based them on the “culture emotion formation” newsletter published on November 5, 2023 on our LinkedIn page Zs Conseils. As announced in the two previous newsletters, for the first time we have favored non-film documentary resources derived from artificial intelligence.
As we said, to try an experiment, we instead used the “Chat GPT” software for bulletins 65, 66, 67. To our astonishment, by typing the keyword “soft skills” again instead of offering us seven families of soft skills as in No. 66, the software showed us rather six which are as follows: interpersonal skills, personal skills, leadership skills, problem-solving skills, organizational skills, and emotional skills. It is essentially the same information but organized differently. Since we have talked briefly about interpersonal skills, as well as those related to problem solving, for this newsletter n°67 we will focus on those that revolve around personal and organizational skills. This includes: the ability to manage time, flexibility/adaptability on the one hand and the ability to plan, organize, pay attention to details and the ability to prioritize on the other hand.
Apart from extra-curricular and extra-professional activities, in what other situations are we able to acquire skills that are transferable to other spheres of our lives? We suggest the idea that painful events such as failure, periods of illness, or troubles of any kind can constitute situations which contribute to the transformation of the individual and therefore directly to their personal abilities. Depending on the situation, other families of soft skills may be contaminated.
If these events can contribute to an individual’s life in addition to: resilience and inner strength; perspective and priority; compassion and empathy; personal growth and learning, adaptability and creativity; self-knowledge and authenticity, what about those who accompany them and who experience these moments with them?
Having experienced some difficulties during our two motherhoods, we wondered what these events had allowed us to change in our way of doing certain things that could serve other, larger communities: professional, extra-professional, cultural, etc.
We experienced two maternity wards which started out in difficulty with prematurity for one and respiratory distress at birth for the other. Although both are doing quite well and have progressed quite well despite some obstacles, they suffer from invisible handicaps also called learning disorders. If all possible help was provided to them on a paramedical and educational level, the support of parents during early childhood was laborious, that is to say constructed because we knew nothing about it and had to adapt to meet their needs on the one hand and continue to go about our business on the other.
According to Chat GPT, approaches to helping children include: assessment and diagnosis; personalized educational interventions; specific therapies such as speech therapy, psychomotor skills or even occupational therapy later, the use of techno-assistance and finally emotional support to encourage self-esteem and self-confidence.
What concerns us is more linked to encouragement and self-esteem, help with homework, support for specific therapies during school slots therefore during working time as well as support extra-curricular leisure or other activities.
After several years, we can say that we have been able to acquire the ability to organize ourselves differently with staggered time slots and working days when this has proven necessary. We had to learn to prioritize better and spend more time organizing the week during the days off. It is also possible to acquire mental flexibility, that is, to adapt to the way others perceive and do things in order to better support and encourage.
Given that these are necessary skills in all professions, we believe that having implemented them for several years in a non-professional context can make them a professional asset.
Furthermore, if an individual’s psychosocial skills are strengthened by difficult periods and moments in life, they make it possible to develop or acquire soft skills useful for the professional world, although the two concepts are closely linked. One concerns life in general and the other mainly the world of work.
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Boletín 67: apoyo sostenible, habilidades blandas, paz social
Estamos completando nuestra pequeña serie de posts de exploración sobre habilidades blandas iniciada en los dos boletines anteriores (n°65 y n°66). Nos basamos en el boletín “formación de cultura y emoción” publicado el 5 de noviembre de 2023 en nuestra página de LinkedIn Zs Conseils. Como anunciamos en los dos boletines anteriores, por primera vez hemos privilegiado los recursos documentales no cinematográficos derivados de la inteligencia artificial.
Como dijimos, para intentar un experimento, utilizamos el software “Chat GPT” para los boletines 65, 66, 67. Para nuestro asombro, al escribir nuevamente la palabra clave “soft skills” en lugar de ofrecernos siete familias de soft skills como en En el número 66, el software nos mostró más bien seis, que son las siguientes: habilidades interpersonales, habilidades personales, habilidades de liderazgo, habilidades de resolución de problemas, habilidades organizativas y habilidades emocionales. Es esencialmente la misma información pero organizada de manera diferente. Dado que hemos hablado brevemente de las habilidades interpersonales, así como de las relacionadas con la resolución de problemas, para este boletín n°67 nos centraremos en aquellas que giran en torno a las habilidades personales y organizativas. Esto incluye: la capacidad de gestionar el tiempo, la flexibilidad/adaptabilidad, por un lado, y la capacidad de planificar, organizar, prestar atención a los detalles y la capacidad de priorizar, por otro lado.
Además de las actividades extraescolares y extraprofesionales, ¿en qué otras situaciones podemos adquirir habilidades transferibles a otros ámbitos de nuestra vida? Sugerimos la idea de que acontecimientos dolorosos como fracasos, períodos de enfermedad o problemas de cualquier tipo pueden constituir situaciones que contribuyan a la transformación del individuo y, por tanto, directamente a sus capacidades personales. Dependiendo de la situación, otras familias de habilidades blandas pueden estar contaminadas.
Si estos eventos pueden contribuir a la vida de un individuo además de: resiliencia y fuerza interior; perspectiva y prioridad; compasión y empatía; crecimiento y aprendizaje personal, adaptabilidad y creatividad; autoconocimiento y autenticidad, ¿qué pasa con quienes los acompañan y viven con ellos estos momentos?
Habiendo experimentado algunas dificultades durante nuestras dos maternidades, nos preguntamos qué nos habían permitido estos acontecimientos cambiar en nuestra forma de hacer ciertas cosas que podrían servir a otras comunidades más grandes: profesionales, extraprofesionales, culturales, etc.
Experimentamos dos salas de maternidad que comenzaron con dificultades: una prematuridad y dificultad respiratoria al nacer la otra. Aunque a ambos les va bastante bien y han progresado bastante bien a pesar de algunos obstáculos, sufren desventajas invisibles, también llamadas trastornos del aprendizaje. Si se les brindó toda la ayuda posible a nivel paramédico y educativo, el apoyo de los padres durante la primera infancia fue laborioso, es decir construido porque no sabíamos nada al respecto y tuvimos que adaptarnos para satisfacer sus necesidades por un lado y continuar. por el otro, ocuparnos de nuestros asuntos.
Según Chat GPT, los enfoques para ayudar a los niños incluyen: evaluación y diagnóstico; intervenciones educativas personalizadas; terapias específicas como logopedia, psicomotricidad o incluso terapia ocupacional posteriormente, el uso de tecnoasistencia y finalmente apoyo emocional para fomentar la autoestima y la confianza en uno mismo.
Lo que nos preocupa está más ligado al estímulo y la autoestima, la ayuda con los deberes, el apoyo a terapias específicas en horario escolar y por tanto en horario laboral así como el apoyo al ocio extraescolar u otras actividades.
Después de varios años, podemos decir que hemos podido adquirir la capacidad de organizarnos de manera diferente con franjas horarias y jornadas escalonadas cuando así ha sido necesario. Tuvimos que aprender a priorizar mejor y dedicar más tiempo a organizar la semana durante los días libres. También es posible adquirir flexibilidad mental, es decir, adaptarse a la forma en que los demás perciben y hacen las cosas para poder apoyar y animar mejor.
Dado que se trata de habilidades necesarias en todas las profesiones, creemos que haberlas implementado durante varios años en un contexto no profesional puede convertirlas en un activo profesional.
Además, si las habilidades psicosociales de un individuo se ven reforzadas por períodos y momentos difíciles de la vida, permiten desarrollar o adquirir habilidades sociales útiles para el mundo profesional, aunque los dos conceptos están estrechamente vinculados. Uno se refiere a la vida en general y el otro principalmente al mundo del trabajo.
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Newsletter 68 : insertion sociale, mad skills, intégration pacifique
Nous poursuivons notre expérience avec l’intelligence artificielle après notre courte série sur les soft skills, pour à présent tenter de comprendre ce que sont que les mad skills. Etant donné que ce sont des concepts qui se retrouvent de plus en plus sur les curriculum vitae et blogs professionnels comme éléments de différenciation et d’authenticité, nous avons pensé qu’il serait judicieux d’en parler.
Dans cette newsletter 68, nous souhaitons explorer brièvement ce concept de « mad skills ». Selon l’intelligence artificielle Chat GPT, il n’existe pas de définition académique formelle des mad skills cependant il propose une définition en tenant compte de son usage dans la société. Les mad skills peuvent donc être considérées comme des compétences exceptionnelles ou impressionnantes dans un domaine. Il peut s’agit d’un domaine technique comme l’informatique par exemple, les compétences artistiques comme l’art visuel par exemple, de compétences physiques comme la danse ou encore de compétences sociales, académiques ou pratiques comme l’art culinaire.
Les caractéristiques des mad skills sont les suivantes : exceptionnelles et impressionnantes ; créatives et innovantes. Elles doivent découler de l’émergence d’une passion, avoir de l’impact et montrer un caractère lié à la rareté. Pour donner un exemple, il ne suffit pas de savoir jouer d’un instrument de musique pour que l’on dise qu’une personne possède une mad skills artistiques. Il faudrait que celle-ci montre une habileté particulière dans ce domaine. Nous avons poursuivi notre conversation avec le logiciel pour savoir si l’expertise métier peut être vue comme une mad skill.
Pour parler d’expertise métier il faut trois éléments liés à la nature et à la perception : la compétence, la connaissance et la reconnaissance formelle.
La compétence est liée à la pratique, la formation et l’expérience. De même, les experts-métiers disposent d’une connaissance standardisée des méthodes et des savoir-faire de leurs domaines d’activités. Il ne faut pas oublier qu’une reconnaissance formelle est nécessaire notamment via les diplômes, les formations ou l’expérience professionnelle.
Dans ce cas, dans quelle mesure, une mad skill peut -elle devenir sur le long terme une expertise métier ?
Si nous prenons le cas de notre mari, qui a d’abord commencé par exercer sa passion pour l’informatique pendant ses temps de loisirs avant d’aller se faire former et d’en faire une expertise-métier, il se pourrait bien que nous répondions par l’affirmative. Cependant, peut-on encore parler de mas skills lorsque la pratique devient standardisée et conforme aux besoins d’une organisation ?
Pour le présenter rapidement. Il est Français, né en France de parents béninois venus faire leurs études supérieures en France à la fin des années soixante. Si leur famille composée d’une fratrie de quatre personnes est retournée en Afrique dans le pays voisin au leur ( le Togo) pendant plusieurs années, mon mari est revenu pour ses études supérieures en France après son baccalauréat scientifique (anciennement série D). Ses parents aujourd’hui retraités étaient respectivement Professeur d’université pour le père et responsable ressources humaines pour la mère dans une organisation du Togo. Notre mari est l’aîné de la fratrie. les deux sœurs qui le suivent sont juriste diplômée en France et docteur en médecine diplômée en Afrique. Leur benjamin est informaticien installé en France depuis une quinzaine d’années après avoir vécu en Allemagne.
Quant à notre conjoint, après des courtes études en génie mécanique et un service militaire en France, comme notre frère cadet, il a eu à travailler quelques années dans la conception mécanique et le dessin industriel. Suite à un licenciement économique, il s’est mis à lire des ouvrages sur l’informatique à démonter des PC pour comprendre ce qu’il était en train de lire alors qu’il avait un job d’appoint purement alimentaire.
Nous l’avons rencontré à ce moment là lorsque sa passion pour l’informatique n’était encore qu’une mad skill et que nous étions étudiants. Ce qui nous fait dire que c’était une mas skill est qu’il y passait beaucoup de temps, et que son entourage le sollicitait énormément pour les aider quant aux problèmes liés aux dysfonctionnements de leurs ordinateurs. Tout son temps libre était consacré à cette activité pour la plupart bénévolement pendant longtemps.
Il a fallu qu’il aille se former pour commencer être officiellement reconnu et se faire payer d’abord avec des contrats à durée déterminée dans différentes missions pour enfin obtenir un contrat à durée indéterminée dans une grande organisation en France depuis l’année 2003 jusqu’à ce jour quelques mois après la fin de nos études de master qui se sont terminées en septembre 2002.
S’il y avait un caractère rare dans l’exercice de cette passion lorsqu’il aidait son entourage, elle n’a plus été considérée comme tel dès lors que cette passion est devenu un métier normal et n’ayant plus le droit de l’exercer lors de ses temps de loisirs à telle enseigne que même pour notre application, nous avons du faire appel à une tierce personne pour nous aider à la réaliser. Si le travail a permis une insertion économique et sociale, elle a en quelque sorte « interdit » l’exercice d’une passion dans le même domaine surtout à des fins lucratives.
Est-il possible d’établir un lien plus formel entre les mad skills et l’expertise -métier qui serait rare ? Peut-on considérer les mad skills comme une première étape pour se développer une autre expertise dans l’idée de se faire payer ? Dès lors qu’il y a une certification, un diplôme ou un contrat, peut-on encore parler de mad skills ?
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Newsletter 68: social integration, mad skills, peaceful integration
We are continuing our experience with artificial intelligence after our short series on soft skills, to now try to understand what mad skills are. Given that these are concepts that are increasingly found on resumes and professional blogs as elements of differentiation and authenticity, we thought it would be wise to talk about them.
In this newsletter 68, we want to briefly explore this concept of “mad skills”. According to Chat GPT artificial intelligence, there is no formal academic definition of mad skills, however it offers a definition taking into account its use in society. Mad skills can therefore be considered exceptional or impressive skills in a field. This may be a technical field such as computer science for example, artistic skills such as visual art for example, physical skills such as dancing or even social, academic or practical skills such as culinary arts.
The characteristics of mad skills are: exceptional and impressive; creative and innovative. They must arise from the emergence of a passion, have impact and show a character linked to rarity. To give an example, it is not enough to know how to play a musical instrument for a person to be said to have mad artistic skills. She would have to show particular skill in this area. We continued our conversation with the software to find out if business expertise can be seen as a mad skill.
To talk about professional expertise, three elements are needed linked to nature and perception: skill, knowledge and formal recognition.
Competence is linked to practice, training and experience. Likewise, business experts have standardized knowledge of the methods and know-how of their fields of activity. We must not forget that formal recognition is necessary, particularly through diplomas, training or professional experience.
In this case, to what extent can a mad skill become professional expertise in the long term?
If we take the case of our husband, who first started by pursuing his passion for IT during his leisure time before going to get trained and turn it into a professional expertise, it could well be that we answered in the affirmative. However, can we still talk about mas skills when the practice becomes standardized and consistent with the needs of an organization?
To present it quickly. He is French, born in France to Beninese parents who came to do their higher education in France at the end of the sixties. If their family of four siblings returned to Africa in the neighboring country (Togo) for several years, my husband returned for his higher studies in France after his scientific baccalaureate (formerly series D). His parents, now retired, were respectively a university professor for the father and human resources manager for the mother in an organization in Togo. Our husband is the eldest of the siblings. the two sisters who follow him are a qualified lawyer in France and a doctor of medicine qualified in Africa. Their youngest child has been a computer scientist based in France for around fifteen years after living in Germany.
As for our partner, after short studies in mechanical engineering and military service in France, like our younger brother, he had to work for a few years in mechanical design and industrial drawing. Following a redundancy, he started reading books on IT and dismantling PCs to understand what he was reading while he had a purely supporting job.
We met him at that time when his passion for IT was still just a mad skill and we were students. What makes us say that it was a mas skill is that he spent a lot of time there, and that those around him asked him a lot to help them with problems related to the malfunctions of their computers. All his free time was devoted to this activity, most of it on a voluntary basis for a long time.
He had to go and train to begin to be officially recognized and get paid first with fixed-term contracts in different missions to finally obtain a permanent contract in a large organization in France from 2003 until ‘to this day a few months after the end of our master’s studies which ended in September 2002.
If there was a rare character in the exercise of this passion when he helped those around him, it was no longer considered as such once this passion became a normal profession and no longer had the right to do so. ‘exercising during his leisure time to such an extent that even for our application, we had to call on a third person to help us create it. If work has allowed economic and social integration, it has in a way “prohibited” the exercise of a passion in the same field, especially for profit.
Is it possible to establish a more formal link between mad skills and professional expertise which would be rare? Can we consider mad skills as a first step in developing another expertise with the idea of getting paid? As long as there is a certification, a diploma or a contract, can we still talk about mad skills?
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Boletín 68: incorporación social, habilidades locas, integración pacífica
Continuamos nuestra experiencia con la inteligencia artificial después de nuestra breve serie sobre habilidades blandas, para intentar ahora comprender qué son las habilidades locas. Dado que son conceptos que se encuentran cada vez más en los currículums y blogs profesionales como elementos de diferenciación y autenticidad, hemos pensado que sería acertado hablar de ellos.
En este boletín 68 queremos explorar brevemente este concepto de “habilidades locas”. Según Chat GPT inteligencia artificial, no existe una definición académica formal de habilidades locas, sin embargo ofrece una definición teniendo en cuenta su uso en la sociedad. Por lo tanto, las habilidades locas pueden considerarse habilidades excepcionales o impresionantes en un campo. Este puede ser un campo técnico como la informática, por ejemplo, habilidades artísticas como las artes visuales, habilidades físicas como el baile o incluso habilidades sociales, académicas o prácticas como las artes culinarias.
Las características de las habilidades locas son: excepcionales e impresionantes; creativo e innovador. Deben surgir del surgimiento de una pasión, tener impacto y mostrar un carácter vinculado a la rareza. Por poner un ejemplo, no basta con saber tocar un instrumento musical para decir que una persona tiene unas habilidades artísticas locas. Tendría que demostrar una habilidad especial en esta área. Continuamos nuestra conversación con el software para descubrir si la experiencia empresarial puede considerarse una habilidad loca.
Para hablar de experiencia profesional se necesitan tres elementos vinculados a la naturaleza y la percepción: habilidad, conocimiento y reconocimiento formal.
La competencia está ligada a la práctica, la formación y la experiencia. Asimismo, los expertos empresariales cuentan con conocimientos estandarizados de los métodos y conocimientos de sus campos de actividad. No debemos olvidar que el reconocimiento formal es necesario, especialmente mediante títulos, formación o experiencia profesional.
En este caso, ¿hasta qué punto una habilidad loca puede convertirse a largo plazo en experiencia profesional?
Si tomamos el caso de nuestro marido, que empezó persiguiendo su pasión por la informática en su tiempo libre antes de formarse y convertirla en un conocimiento profesional, bien podría ser que respondiéramos afirmativamente. Sin embargo, ¿podemos seguir hablando de mas habilidades cuando la práctica se estandariza y es consistente con las necesidades de una organización?
Para presentarlo rápidamente. Es francés, nacido en Francia de padres benineses que llegaron a Francia para realizar sus estudios superiores a finales de los años sesenta. Si su familia de cuatro hermanos regresó a África, al país vecino (Togo), durante varios años, mi marido regresó a Francia para realizar sus estudios superiores después de su bachillerato científico (antes serie D). Sus padres, ahora jubilados, eran respectivamente profesores universitarios del padre y responsables de recursos humanos de la madre en una organización de Togo. Nuestro marido es el mayor de los hermanos. las dos hermanas que le siguen son una abogada titulada en Francia y una doctora en medicina titulada en África. Su hijo menor es informático desde hace quince años y reside en Francia, después de haber vivido en Alemania.
En cuanto a nuestro socio, después de unos breves estudios de ingeniería mecánica y del servicio militar en Francia, al igual que nuestro hermano menor, tuvo que trabajar durante algunos años en diseño mecánico y dibujo industrial. Después de un despido, comenzó a leer libros sobre TI y a desmantelar PC para entender lo que leía mientras tenía un trabajo puramente de apoyo.
Lo conocimos en ese momento cuando su pasión por la TI todavía era solo una habilidad loca y éramos estudiantes. Lo que nos hace decir que fue una habilidad mas es que pasó mucho tiempo allí, y que quienes lo rodeaban le pedían mucho que los ayudara con problemas relacionados con el mal funcionamiento de sus computadoras. Todo su tiempo libre lo dedicaba a esta actividad, la mayor parte de forma voluntaria durante mucho tiempo.
Tuvo que ir y formarse para empezar a ser reconocido oficialmente y cobrar primero con contratos de duración determinada en diferentes misiones para finalmente obtener un contrato permanente en una gran organización en Francia desde 2003 hasta el día de hoy, unos meses después del final de nuestros estudios de maestría que finalizaron en septiembre de 2002.
Si había un personaje raro en el ejercicio de esta pasión cuando ayudaba a quienes lo rodeaban, ya no se consideraba como tal una vez que esta pasión se convirtió en una profesión normal y ya no tenía derecho a ejercerla durante su tiempo libre. hasta tal punto que incluso para nuestra aplicación, tuvimos que recurrir a una tercera persona para que nos ayudara a crearla.
Si el trabajo ha permitido la integración económica y social, en cierto modo ha “prohibido” el ejercicio de una pasión en el mismo campo, especialmente con fines de lucro.
¿Es posible establecer un vínculo más formal entre habilidades locas y experiencia profesional que sería raro? ¿Podemos considerar las habilidades locas como un primer paso para desarrollar otra experiencia con la idea de cobrar? Mientras exista una certificación, un diploma o un contrato, ¿podemos seguir hablando de habilidades locas?
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Newsletter 69 : Activisme, mad skills, intégration pacifique
Dans cette newsletter n° 69 nous prolongeons notre expérimentation de l’intelligence artificielle en lui demandant cette fois-ci de nous donner des exemples concrets que nous sommes ensuite allés rechercher dans les ressources documentaires filmiques au lieu de le faire nous -même directement comme nous en avions coutume.
Nous lui avons posé des questions concernant les mots clés suivants en ayant déjà en tête le plan de ce que nous voulions écrire : les mad skills, l’activisme politique, le rôle des réseaux sociaux, exemple concret d’activisme politique dans les pays d’Afrique subsaharienne, la différence entre un politicien et un activiste. Le logiciel en a profité pour nous donner un exemple concret sans que nous en fassions la demande.
Pour commencer, les Mad skills ( mutually assumed destruction) skills sont considérées cette fois-ci comme des talents exceptionnels et atypiques pouvant donner une valeur ajoutée à un individu au sein de son entreprise. Si la réponse est plus précise que la veille, les familles de mad skills sont également plus nombreuses : la pensée créative et innovante, les compétences technologiques avancées, les compétences en communication exceptionnelle, les compétences en leadership visionnaire, les compétences en gestion de crise, les compétences multiculturelles et linguistiques, les compétences en intelligence émotionnelle et les capacités de réseau et de collaboration. Nous rappelons que les mad skills doivent contenir des caractérisques d’ exceptionnalité et de rareté pour être considérées comme telles.
Comme nous voulons comprendre ce qu’il entend par « exceptionnel » nous en avons profité pour lui demander s’il considérait l’activisme politique comme une mad skills dans la mesure où il y a deux familles de mad skills qui y sont directement liées : les capacités exceptionnelles de communication et celles de leadership visionnaire. Notre question était orientée car nous voulions au départ poser cela comme une hypothèse pour cette newsletter.
Pour commencer l’activisme politique est considéré comme un engagement public et dynamique envers une cause sociale, sociétale, environnementale ou encore une cause liée aux politiques publiques ainsi qu’à la justice sociale et au débat sur les avancées sur les droits de l’humain. Comme nous, l’intelligence artificielle ne fait aucune différence entre un activiste politique et un politicien. La seule différence est que l’un agit au sein d’un parti déclaré participe à la gouvernance d’un pays alors que l’autre sera plus cantonné à des organisations non gouvernementales. La différence réside également dans les méthodes employées.
Les uns useront de méthodes plus ou moins conventionnelles allant des rassemblements, des pétitions, aux actions directes et illégales quand les autres préfèreront les processus traditionnels comme les processus électoraux.
En ce qui nous concerne , comme dans la newsletter n° 68 nous faisons une certaine différence quant à la manière de démontrer son engagement politique. Si celui-ci permet aux intéressés d’être rémunérés grâce à leurs mandats électoraux alors il semble que nous puissions les considérer comme « politiciens » cependant lorsque l’activisme est exercé lors des périodes de loisirs et de temps libre et que les personnes ont un autre emploi pour subvenir à leurs besoins, nous estimons alors pouvoir considérer ce talent comme une mad skill et non une expertise-métier. Ce qui n’enlève rien à son caractère exceptionnel atypique et rare pouvant faire la différence dans une organisation. Comme exemple concret d’activiste, il nous a été proposé : Wangari Mathai, une africaine d’origine kenyane ayant obtenu le prix noble de la paix en 2004, faisant d’elle la première africaine à obtenir cette distinction. Elle s’est distinguée tout au long de sa vie pour son engagement en faveur de l’environnement en lançant en 1977 un mouvement ( Green Belt Movement) pour planter des arbres partout dans son pays et ainsi lutter contre la déforestation. Plus tard, elle s’est davantage investie pour la démocratie et les droits de l’homme. Nous pouvons dire qu’elle est devenue au fil des ans, une politicienne reconnue puisqu’elle a réussi à se faire élire comme députée dans son pays puis ensuite nommé comme ministre adjointe traitant des causes environnementales et ressources naturelles. Dans la même veine, Nelson Mandela qui a longtemps été considéré comme un activiste et qui a lutté contre l’Apartheid en Afrique du sud a fini par être reconnu comme un politicien capable d’accéder à des responsabilités en prenant ainsi en charge la gouvernance de son pays il fut un temps. Wangari Mathai est décédé en 2011 et Nelson Mandela en 2013.
Nous notons tout de même que Wangari Mathaï était docteur en médecine vétérinaire et a exercé longtemps son métier avant de devenir politicienne.
L’activisme serait-elle la forme moderne du militantisme ?
Les militants adhérent à un parti et œuvrent sur le long terme pour les causes d’un leader ou une cause. Avec l’aide des réseaux sociaux, nous voyons apparaitre une nouvelle race de militants qui peuvent être introduits dans des groupes officiels ou pas, défendre une cause ou plusieurs causes en tentant une sensibilisation marginale.
Nous découvrons comme tout un chacun l’activisme sur les réseaux sociaux et dans la presse avec parfois beaucoup d’étonnement quant aux méthodes spectaculaires parfois « brûlantes » mobilisées. De notre côté, nous connaissons le militantisme traditionnel qui existait avant l’avènement des réseaux sociaux et qui a en ce moment du mal à se faire entendre.
En disant cela, nous pensons à nos oncles : paternel et maternel. Le premier était avec le pouvoir en place et est décédé depuis quelques années. Le deuxième toujours vivant mais retraité était dans l’opposition.
L’un est le frère cadet de notre père, il a d’abord été journaliste et activiste durant sa jeunesse. Il a ensuite occupé le poste de directeur de cabinet d’un dirigeant politique pendant dix ans avant d’être nommé ministre de l’intérieur aussi pendant dix ans, puis ministre de la justice pendant deux années dans son pays d’origine et de résidence.
De l’autre côté, nous avons un autre oncle maternel, frère de notre mère dont l’engagement politique a été constant et durable durant de longues années. Nous ne l’avons connu qu’à notre arrivée en France. Nous passions nos périodes de petites vacances scolaires pendant les années d’internat chez lui et sa famille durant les sept années de collège et lycée avant de notre prendre notre appartement payé par nos parents puis notre frère cadet ensuite pour nos études supérieures.
Des petites vacances, c’est-à-dire les vacances de la toussaint, de noel etc… puisque nous rentrions dans notre pays pendant les périodes estivales. Nous avons alors eu l’occasion de le voir vivre sa passion politique. Il avait un emploi stable pour subvenir aux besoins de sa famille et la politique occupait ses temps de liberté. Il était une sorte d’activiste et militant qui a développé une habileté politique qui lui a valu de s’intégrer dans son pays d’origine lorsqu’il est rentré s’y installer tout en continuant à travailler pour des partenaires étrangers. Si aujourd’hui il a pris une sorte de retraite puisqu’il a plus de soixante dix ans, nous aurions voulu qu’il nous transmette son expérience de l’activisme et du militantisme politique, à travers un ouvrage. Peut-être nous entendra-t-il ?
Si nous nous fions à l’intelligence artificielle et à sa définition formelle, l’un est politicien et l’autre militant ou activiste bien que la durée des engagements soit similaire, il semble que le fait de participer à la gouvernance d’une ville, d’un état etc présente un atout complémentaire qui peut être ajoutée à la famille des Mas : management advisory supervisory skill, en français des capacités en management, en administration et en supervision.
Cependant, cette compétence ne mérite-t-elle pas d’être regardée aussi en situation formelle et voir comment ceux qui l’exercent pendant leur temps libre s’en emparent en entreprise ? Faut-il nécessairement être rémunéré pour qu’une compétence soit considérée comme une expertise ? Atteindre le pouvoir est -il le seul critère à retenir en matière d’habileté en communication et leadership « visionnaire » ? Dans quel autre domaine, cette capacité pourra-t-elle être transférée ?
Nous proposons d’en discuter dans la prochaine et dernière newsletter de cette série sur les mad skills.
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils et sur notre application « or en pépites ».
Newsletter 69: Activism, mad skills, peaceful integration
In this newsletter n° 69 we extend our experimentation with artificial intelligence by asking it this time to give us concrete examples which we then looked for in film documentary resources instead of doing it ourselves directly as we used to.
We asked him questions regarding the following key words, already having in mind the plan of what we wanted to write: mad skills, political activism, the role of social networks, concrete example of political activism in countries Sub-Saharan Africa, the difference between a politician and an activist. The software took the opportunity to give us a concrete example without us asking for it.
To begin with, Mad skills (mutually assumed destruction) skills are considered this time as exceptional and atypical talents that can give added value to an individual within their company. If the answer is more precise than the day before, the families of mad skills are also more numerous: creative and innovative thinking, advanced technological skills, exceptional communication skills, visionary leadership skills, crisis management skills, multicultural and linguistic skills, emotional intelligence skills, and networking and collaboration abilities. We remind you that mad skills must contain characteristics of exceptionality and rarity to be considered as such.
As we want to understand what he means by “exceptional” we took the opportunity to ask him if he considered political activism to be a mad skill to the extent that there are two families of mad skills that are directly linked to it: exceptional communication and visionary leadership skills. Our question was leading because we initially wanted to pose this as a hypothesis for this newsletter.
To begin with, political activism is considered a public and dynamic commitment to a social, societal, environmental cause or even a cause linked to public policies as well as social justice and the debate on progress on human rights. . Like us, artificial intelligence makes no difference between a political activist and a politician. The only difference is that one acts within a declared party and participates in the governance of a country while the other will be more confined to non-governmental organizations. The difference also lies in the methods used.
Some will use more or less conventional methods ranging from rallies, petitions, to direct and illegal actions while others will prefer traditional processes such as electoral processes.
As far as we are concerned, as in newsletter no. 68, we make a certain difference in the way of demonstrating political commitment. If this allows those concerned to be remunerated thanks to their electoral mandates then it seems that we can consider them as « politicians » however when the activism is exercised during periods of leisure and free time and the people have a another job to meet their needs, we then believe we can consider this talent as a mad skill and not a professional expertise. Which does not take away from its exceptional, atypical and rare character that can make the difference in an organization. As a concrete example of an activist, we were offered: Wangari Mathai, an African of Kenyan origin who obtained the Noble Peace Prize in 2004, making her the first African to obtain this distinction. She distinguished herself throughout her life for her commitment to the environment by launching a movement in 1977 (Green Belt Movement) to plant trees throughout her country and thus fight against deforestation. Later, she became more involved in democracy and human rights. We can say that over the years she has become a recognized politician since she managed to get elected as a deputy in her country and then appointed as deputy minister dealing with environmental causes and natural resources. In the same vein, Nelson Mandela, who was long considered an activist and who fought against Apartheid in South Africa, ended up being recognized as a politician capable of accessing responsibilities by thus taking charge of the governance of his country once upon a time. Wangari Mathai died in 2011 and Nelson Mandela in 2013.
We nevertheless note that Wangari Mathaï was a doctor of veterinary medicine and practiced her profession for a long time before becoming a politician.
Is activism the modern form of activism?
Activists join a party and work over the long term for the causes of a leader or a cause. With the help of social networks, we are seeing the emergence of a new breed of activists who can be introduced into official groups or not, defend a cause or several causes by attempting to raise marginal awareness.
Like everyone else, we discover activism on social networks and in the press, sometimes with great astonishment at the spectacular and sometimes “hot” methods mobilized. For our part, we know the traditional activism that existed before the advent of social networks and which is currently struggling to be heard.
In saying this, we think of our uncles: paternal and maternal. The first was with the powers that be and died a few years ago. The second still alive but retired was in opposition.
One is our father’s younger brother, he was first a journalist and activist during his youth. He then held the position of chief of staff to a political leader for ten years before being appointed Minister of the Interior also for ten years, then Minister of Justice for two years in his country of origin and residence.
On the other side, we have another maternal uncle, our mother’s brother whose political commitment has been constant and lasting for many years. We only knew him when we arrived in France. We spent our short school vacation periods during the boarding years with him and his family during the seven years of middle school and high school before taking our apartment paid for by our parents and then our younger brother for our higher studies.
Short vacations, that is to say the All Saints’ holidays, Christmas holidays, etc. since we returned to our country during the summer periods. We then had the opportunity to see him live out his political passion. He had a stable job to support his family and politics occupied his free time. He was a kind of activist and activist who developed a political skill that allowed him to integrate into his country of origin when he returned to settle there while continuing to work for foreign partners. If today he has taken a sort of retirement since he is over seventy years old, we would have liked him to pass on to us his experience of activism and political activism, through a book. Maybe he will hear us?
If we rely on artificial intelligence and its formal definition, one is a politician and the other activist or activist although the duration of the commitments is similar, it seems that participating in the governance of a city , of a state etc presents a complementary asset which can be added to the family of Mas: management advisory supervisory skill, in French skills in management, administration and supervision.
However, doesn’t this skill also deserve to be looked at in a formal situation and see how those who exercise it in their free time use it in business? Do you necessarily have to be paid for a skill to be considered expertise? Is achieving power the only criterion to remember in terms of communication skills and “visionary” leadership? In what other area can this capacity be transferred?
We propose to discuss it in the next and final newsletter of this series on mad skills.
We thank you for continuing to follow us on our Zs Conseils page and on our “or en pepites” application.
Boletín 69: Activismo, habilidades locas, integración pacífica
En este boletín n° 69 ampliamos nuestra experimentación con la inteligencia artificial pidiéndole esta vez que nos dé ejemplos concretos que luego buscamos en recursos documentales cinematográficos en lugar de hacerlo nosotros mismos directamente como solíamos hacerlo.
Le hicimos preguntas sobre las siguientes palabras clave, ya teniendo en mente el plan de lo que queríamos escribir: habilidades locas, activismo político, el papel de las redes sociales, ejemplo concreto de activismo político en países de África subsahariana, la diferencia entre un político y un activista. El software aprovechó la oportunidad para darnos un ejemplo concreto sin que se lo pidiéramos.
Para empezar, las habilidades Mad (destrucción mutua asumida) se consideran esta vez como talentos excepcionales y atípicos que pueden dar valor agregado a un individuo dentro de su empresa. Si la respuesta es más precisa que el día anterior, las familias de habilidades locas también son más numerosas: pensamiento creativo e innovador, habilidades tecnológicas avanzadas, habilidades de comunicación excepcionales, habilidades de liderazgo visionario, habilidades de gestión de crisis, habilidades multiculturales y lingüísticas, habilidades de inteligencia emocional. y capacidades de networking y colaboración. Te recordamos que las habilidades locas deben contener características de excepcionalidad y rareza para ser consideradas como tales.
Como queremos entender lo que quiere decir con “excepcional” aprovechamos para preguntarle si consideraba que el activismo político era una habilidad loca en la medida en que hay dos familias de habilidades locas que están directamente vinculadas a él: la comunicación excepcional y Habilidades de liderazgo visionario. Nuestra pregunta era capciosa porque inicialmente queríamos plantearla como hipótesis para este boletín.
Para empezar, el activismo político se considera un compromiso público y dinámico con una causa social, social, ambiental o incluso una causa vinculada tanto a las políticas públicas como a la justicia social y el debate sobre el progreso en materia de derechos humanos. Al igual que nosotros, la inteligencia artificial no hace diferencia entre un activista político y un político. La única diferencia es que uno actúa dentro de un partido declarado y participa en el gobierno de un país, mientras que el otro estará más confinado a organizaciones no gubernamentales. La diferencia también radica en los métodos utilizados.
Algunos utilizarán métodos más o menos convencionales que van desde mítines y peticiones hasta acciones directas e ilegales, mientras que otros preferirán procesos tradicionales como los procesos electorales.
En lo que a nosotros respecta, como en el boletín nº 68, marcamos una cierta diferencia en la forma de demostrar el compromiso político. Si esto permite a los interesados ser remunerados gracias a sus mandatos electorales, entonces parece que podemos considerarlos « políticos », pero cuando el activismo se ejerce durante los períodos de ocio y tiempo libre y la gente tiene otro trabajo para satisfacer sus necesidades, entonces creemos que podemos considerar este talento como una habilidad loca y no como una experiencia profesional. Lo cual no quita su carácter excepcional, atípico y raro que puede marcar la diferencia en una organización. Como ejemplo concreto de activista, nos ofrecieron: Wangari Mathai, una africana de origen keniano que obtuvo el Premio Nobel de la Paz en 2004, convirtiéndose en la primera africana en obtener esta distinción. Se distinguió a lo largo de su vida por su compromiso con el medio ambiente al lanzar en 1977 un movimiento (Movimiento Cinturón Verde) para plantar árboles en todo su país y así luchar contra la deforestación. Posteriormente, se involucró más en la democracia y los derechos humanos. Podemos decir que a lo largo de los años se ha convertido en una política reconocida ya que logró ser electa diputada de su país y luego nombrada viceministra encargada de causas ambientales y de recursos naturales. En la misma línea, Nelson Mandela, que durante mucho tiempo fue considerado un activista y que luchó contra el Apartheid en Sudáfrica, acabó siendo reconocido como un político capaz de acceder a responsabilidades haciéndose así cargo de la gobernanza de su país alguna vez. Wangari Mathai murió en 2011 y Nelson Mandela en 2013.
Sin embargo, observamos que Wangari Mathaï era doctora en veterinaria y ejerció su profesión durante mucho tiempo antes de convertirse en política.
Hacer campaña por causas sociales en los años 90, ¿no es ese el activismo de hoy?
Los activistas se unen a un partido y trabajan a largo plazo por las causas de un líder o una causa. Con la ayuda de las redes sociales, asistimos al surgimiento de una nueva generación de activistas que pueden introducirse o no en grupos oficiales, defender una causa o varias causas intentando crear conciencia marginal.
Como todo el mundo, descubrimos el activismo en las redes sociales y en la prensa, a veces con gran asombro por los métodos espectaculares y a veces “candentes” movilizados. Por nuestra parte, conocemos el activismo tradicional que existía antes de la llegada de las redes sociales y que actualmente lucha por ser escuchado.
Al decir esto pensamos en nuestros tíos: paterno y materno. El primero fue con los poderes fácticos y murió hace unos años. El segundo todavía vivo pero retirado estaba en la oposición.
Uno es el hermano menor de nuestro padre, primero fue periodista y activista durante su juventud. Luego ocupó el cargo de jefe de gabinete de un líder político durante diez años antes de ser nombrado Ministro del Interior también durante diez años y luego Ministro de Justicia durante dos años en su país de origen y de residencia.
Del otro lado tenemos otro tío materno, hermano de nuestra madre cuyo compromiso político ha sido constante y duradero desde hace muchos años. Sólo lo conocimos cuando llegamos a Francia. Pasamos nuestros cortos períodos de vacaciones escolares durante los años de internado con él y su familia durante los siete años de la escuela media y secundaria antes de alquilar nuestro apartamento pagado por nuestros padres y luego nuestro hermano menor para nuestros estudios superiores.
Vacaciones cortas, es decir fiestas de Todos los Santos, Navidad, etc. ya que regresamos a nuestro país durante los periodos estivales. Luego tuvimos la oportunidad de verlo vivir su pasión política. Tenía un trabajo estable para sustentar a su familia y la política ocupaba su tiempo libre. Fue una especie de militante y militante que desarrolló una habilidad política que le permitió integrarse en su país de origen cuando regresó para radicarse allí sin dejar de trabajar para socios extranjeros. Si hoy se ha jubilado por tener más de setenta años, nos hubiera gustado que nos transmitiera su experiencia de activismo y activismo político, a través de un libro. ¿Quizás nos escuche?
Si nos basamos en la inteligencia artificial y su definición formal, uno es político y el otro activista o activista aunque la duración de los compromisos sea similar, parece que participar en la gobernanza de una ciudad, de un estado, etc. presenta un activo complementario que A la familia de Mas se pueden añadir: gestión, asesoramiento, competencias de supervisión, en francés, competencias en gestión, administración y supervisión.
Sin embargo, ¿no merece también ser analizada esta habilidad en una situación formal y ver cómo quienes la ejercitan en su tiempo libre la utilizan en los negocios? ¿Es necesario que le paguen por una habilidad para que se considere experiencia? ¿Es alcanzar el poder el único criterio a recordar en términos de habilidades de comunicación y liderazgo “visionario”? ¿En qué otra zona se puede transferir esta capacidad?
Proponemos discutirlo en el próximo y último boletín de esta serie sobre habilidades locas.
Le agradecemos que siga siguiéndonos en nuestra página Zs Conseils y en nuestra aplicación “or en pepites”.
Newsletter 68 : insertion sociale, mad skills, intégration pacifique
Nous poursuivons notre expérience avec l’intelligence artificielle après notre courte série sur les soft skills, pour à présent tenter de comprendre ce que sont que les mad skills. Etant donné que ce sont des concepts qui se retrouvent de plus en plus sur les curriculum vitae et blogs professionnels comme éléments de différenciation et d’authenticité, nous avons pensé qu’il serait judicieux d’en parler.
Dans cette newsletter 68, nous souhaitons explorer brièvement ce concept de « mad skills ». Selon l’intelligence artificielle Chat GPT, il n’existe pas de définition académique formelle des mad skills cependant il propose une définition en tenant compte de son usage dans la société. Les mad skills peuvent donc être considérées comme des compétences exceptionnelles ou impressionnantes dans un domaine. Il peut s’agit d’un domaine technique comme l’informatique par exemple, les compétences artistiques comme l’art visuel par exemple, de compétences physiques comme la danse ou encore de compétences sociales, académiques ou pratiques comme l’art culinaire.
Les caractéristiques des mad skills sont les suivantes : exceptionnelles et impressionnantes ; créatives et innovantes. Elles doivent découler de l’émergence d’une passion, avoir de l’impact et montrer un caractère lié à la rareté. Pour donner un exemple, il ne suffit pas de savoir jouer d’un instrument de musique pour que l’on dise qu’une personne possède une mad skills artistiques. Il faudrait que celle-ci montre une habileté particulière dans ce domaine. Nous avons poursuivi notre conversation avec le logiciel pour savoir si l’expertise métier peut être vue comme une mad skill.
Pour parler d’expertise métier il faut trois éléments liés à la nature et à la perception : la compétence, la connaissance et la reconnaissance formelle.
La compétence est liée à la pratique, la formation et l’expérience. De même, les experts-métiers disposent d’une connaissance standardisée des méthodes et des savoir-faire de leurs domaines d’activités. Il ne faut pas oublier qu’une reconnaissance formelle est nécessaire notamment via les diplômes, les formations ou l’expérience professionnelle.
Dans ce cas, dans quelle mesure, une mad skill peut -elle devenir sur le long terme une expertise métier ?
Si nous prenons le cas de notre mari, qui a d’abord commencé par exercer sa passion pour l’informatique pendant ses temps de loisirs avant d’aller se faire former et d’en faire une expertise-métier, il se pourrait bien que nous répondions par l’affirmative. Cependant, peut-on encore parler de mas skills lorsque la pratique devient standardisée et conforme aux besoins d’une organisation ?
Pour le présenter rapidement. Il est Français, né en France de parents béninois venus faire leurs études supérieures en France à la fin des années soixante. Si leur famille composée d’une fratrie de quatre personnes est retournée en Afrique dans le pays voisin au leur ( le Togo) pendant plusieurs années, mon mari est revenu pour ses études supérieures en France après son baccalauréat scientifique (anciennement série D). Ses parents aujourd’hui retraités étaient respectivement Professeur d’université pour le père et responsable ressources humaines pour la mère dans une organisation du Togo. Notre mari est l’aîné de la fratrie. les deux sœurs qui le suivent sont juriste diplômée en France et docteur en médecine diplômée en Afrique. Leur benjamin est informaticien installé en France depuis une quinzaine d’années après avoir vécu en Allemagne.
Quant à notre conjoint, après des courtes études en génie mécanique et un service militaire en France, comme notre frère cadet, il a eu à travailler quelques années dans la conception mécanique et le dessin industriel. Suite à un licenciement économique, il s’est mis à lire des ouvrages sur l’informatique à démonter des PC pour comprendre ce qu’il était en train de lire alors qu’il avait un job d’appoint purement alimentaire.
Nous l’avons rencontré à ce moment là lorsque sa passion pour l’informatique n’était encore qu’une mad skill et que nous étions étudiants. Ce qui nous fait dire que c’était une mas skill est qu’il y passait beaucoup de temps, et que son entourage le sollicitait énormément pour les aider quant aux problèmes liés aux dysfonctionnements de leurs ordinateurs. Tout son temps libre était consacré à cette activité pour la plupart bénévolement pendant longtemps.
Il a fallu qu’il aille se former pour commencer être officiellement reconnu et se faire payer d’abord avec des contrats à durée déterminée dans différentes missions pour enfin obtenir un contrat à durée indéterminée dans une grande organisation en France depuis l’année 2003 jusqu’à ce jour quelques mois après la fin de nos études de master qui se sont terminées en septembre 2002.
S’il y avait un caractère rare dans l’exercice de cette passion lorsqu’il aidait son entourage, elle n’a plus été considérée comme tel dès lors que cette passion est devenu un métier normal et n’ayant plus le droit de l’exercer lors de ses temps de loisirs à telle enseigne que même pour notre application, nous avons du faire appel à une tierce personne pour nous aider à la réaliser. Si le travail a permis une insertion économique et sociale, elle a en quelque sorte « interdit » l’exercice d’une passion dans le même domaine surtout à des fins lucratives.
Est-il possible d’établir un lien plus formel entre les mad skills et l’expertise -métier qui serait rare ? Peut-on considérer les mad skills comme une première étape pour se développer une autre expertise dans l’idée de se faire payer ? Dès lors qu’il y a une certification, un diplôme ou un contrat, peut-on encore parler de mad skills ?
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Newsletter 68: social integration, mad skills, peaceful integration
We are continuing our experience with artificial intelligence after our short series on soft skills, to now try to understand what mad skills are. Given that these are concepts that are increasingly found on resumes and professional blogs as elements of differentiation and authenticity, we thought it would be wise to talk about them.
In this newsletter 68, we want to briefly explore this concept of “mad skills”. According to Chat GPT artificial intelligence, there is no formal academic definition of mad skills, however it offers a definition taking into account its use in society. Mad skills can therefore be considered exceptional or impressive skills in a field. This may be a technical field such as computer science for example, artistic skills such as visual art for example, physical skills such as dancing or even social, academic or practical skills such as culinary arts.
The characteristics of mad skills are: exceptional and impressive; creative and innovative. They must arise from the emergence of a passion, have impact and show a character linked to rarity. To give an example, it is not enough to know how to play a musical instrument for a person to be said to have mad artistic skills. She would have to show particular skill in this area. We continued our conversation with the software to find out if business expertise can be seen as a mad skill.
To talk about professional expertise, three elements are needed linked to nature and perception: skill, knowledge and formal recognition.
Competence is linked to practice, training and experience. Likewise, business experts have standardized knowledge of the methods and know-how of their fields of activity. We must not forget that formal recognition is necessary, particularly through diplomas, training or professional experience.
In this case, to what extent can a mad skill become professional expertise in the long term?
If we take the case of our husband, who first started by pursuing his passion for IT during his leisure time before going to get trained and turn it into a professional expertise, it could well be that we answered in the affirmative. However, can we still talk about mas skills when the practice becomes standardized and consistent with the needs of an organization?
To present it quickly. He is French, born in France to Beninese parents who came to do their higher education in France at the end of the sixties. If their family of four siblings returned to Africa in the neighboring country (Togo) for several years, my husband returned for his higher studies in France after his scientific baccalaureate (formerly series D). His parents, now retired, were respectively a university professor for the father and human resources manager for the mother in an organization in Togo. Our husband is the eldest of the siblings. the two sisters who follow him are a qualified lawyer in France and a doctor of medicine qualified in Africa. Their youngest child has been a computer scientist based in France for around fifteen years after living in Germany.
As for our partner, after short studies in mechanical engineering and military service in France, like our younger brother, he had to work for a few years in mechanical design and industrial drawing. Following a redundancy, he started reading books on IT and dismantling PCs to understand what he was reading while he had a purely supporting job.
We met him at that time when his passion for IT was still just a mad skill and we were students. What makes us say that it was a mas skill is that he spent a lot of time there, and that those around him asked him a lot to help them with problems related to the malfunctions of their computers. All his free time was devoted to this activity, most of it on a voluntary basis for a long time.
He had to go and train to begin to be officially recognized and get paid first with fixed-term contracts in different missions to finally obtain a permanent contract in a large organization in France from 2003 until ‘to this day a few months after the end of our master’s studies which ended in September 2002.
If there was a rare character in the exercise of this passion when he helped those around him, it was no longer considered as such once this passion became a normal profession and no longer had the right to do so. ‘exercising during his leisure time to such an extent that even for our application, we had to call on a third person to help us create it. If work has allowed economic and social integration, it has in a way “prohibited” the exercise of a passion in the same field, especially for profit.
Is it possible to establish a more formal link between mad skills and professional expertise which would be rare? Can we consider mad skills as a first step in developing another expertise with the idea of getting paid? As long as there is a certification, a diploma or a contract, can we still talk about mad skills?
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Boletín 68: incorporación social, habilidades locas, integración pacífica
Continuamos nuestra experiencia con la inteligencia artificial después de nuestra breve serie sobre habilidades blandas, para intentar ahora comprender qué son las habilidades locas. Dado que son conceptos que se encuentran cada vez más en los currículums y blogs profesionales como elementos de diferenciación y autenticidad, hemos pensado que sería acertado hablar de ellos.
En este boletín 68 queremos explorar brevemente este concepto de “habilidades locas”. Según Chat GPT inteligencia artificial, no existe una definición académica formal de habilidades locas, sin embargo ofrece una definición teniendo en cuenta su uso en la sociedad. Por lo tanto, las habilidades locas pueden considerarse habilidades excepcionales o impresionantes en un campo. Este puede ser un campo técnico como la informática, por ejemplo, habilidades artísticas como las artes visuales, habilidades físicas como el baile o incluso habilidades sociales, académicas o prácticas como las artes culinarias.
Las características de las habilidades locas son: excepcionales e impresionantes; creativo e innovador. Deben surgir del surgimiento de una pasión, tener impacto y mostrar un carácter vinculado a la rareza. Por poner un ejemplo, no basta con saber tocar un instrumento musical para decir que una persona tiene unas habilidades artísticas locas. Tendría que demostrar una habilidad especial en esta área. Continuamos nuestra conversación con el software para descubrir si la experiencia empresarial puede considerarse una habilidad loca.
Para hablar de experiencia profesional se necesitan tres elementos vinculados a la naturaleza y la percepción: habilidad, conocimiento y reconocimiento formal.
La competencia está ligada a la práctica, la formación y la experiencia. Asimismo, los expertos empresariales cuentan con conocimientos estandarizados de los métodos y conocimientos de sus campos de actividad. No debemos olvidar que el reconocimiento formal es necesario, especialmente mediante títulos, formación o experiencia profesional.
En este caso, ¿hasta qué punto una habilidad loca puede convertirse a largo plazo en experiencia profesional?
Si tomamos el caso de nuestro marido, que empezó persiguiendo su pasión por la informática en su tiempo libre antes de formarse y convertirla en un conocimiento profesional, bien podría ser que respondiéramos afirmativamente. Sin embargo, ¿podemos seguir hablando de mas habilidades cuando la práctica se estandariza y es consistente con las necesidades de una organización?
Para presentarlo rápidamente. Es francés, nacido en Francia de padres benineses que llegaron a Francia para realizar sus estudios superiores a finales de los años sesenta. Si su familia de cuatro hermanos regresó a África, al país vecino (Togo), durante varios años, mi marido regresó a Francia para realizar sus estudios superiores después de su bachillerato científico (antes serie D). Sus padres, ahora jubilados, eran respectivamente profesores universitarios del padre y responsables de recursos humanos de la madre en una organización de Togo. Nuestro marido es el mayor de los hermanos. las dos hermanas que le siguen son una abogada titulada en Francia y una doctora en medicina titulada en África. Su hijo menor es informático desde hace quince años y reside en Francia, después de haber vivido en Alemania.
En cuanto a nuestro socio, después de unos breves estudios de ingeniería mecánica y del servicio militar en Francia, al igual que nuestro hermano menor, tuvo que trabajar durante algunos años en diseño mecánico y dibujo industrial. Después de un despido, comenzó a leer libros sobre TI y a desmantelar PC para entender lo que leía mientras tenía un trabajo puramente de apoyo.
Lo conocimos en ese momento cuando su pasión por la TI todavía era solo una habilidad loca y éramos estudiantes. Lo que nos hace decir que fue una habilidad mas es que pasó mucho tiempo allí, y que quienes lo rodeaban le pedían mucho que los ayudara con problemas relacionados con el mal funcionamiento de sus computadoras. Todo su tiempo libre lo dedicaba a esta actividad, la mayor parte de forma voluntaria durante mucho tiempo.
Tuvo que ir y formarse para empezar a ser reconocido oficialmente y cobrar primero con contratos de duración determinada en diferentes misiones para finalmente obtener un contrato permanente en una gran organización en Francia desde 2003 hasta el día de hoy, unos meses después del final de nuestros estudios de maestría que finalizaron en septiembre de 2002.
Si había un personaje raro en el ejercicio de esta pasión cuando ayudaba a quienes lo rodeaban, ya no se consideraba como tal una vez que esta pasión se convirtió en una profesión normal y ya no tenía derecho a ejercerla durante su tiempo libre. hasta tal punto que incluso para nuestra aplicación, tuvimos que recurrir a una tercera persona para que nos ayudara a crearla.
Si el trabajo ha permitido la integración económica y social, en cierto modo ha “prohibido” el ejercicio de una pasión en el mismo campo, especialmente con fines de lucro.
¿Es posible establecer un vínculo más formal entre habilidades locas y experiencia profesional que sería raro? ¿Podemos considerar las habilidades locas como un primer paso para desarrollar otra experiencia con la idea de cobrar? Mientras exista una certificación, un diploma o un contrato, ¿podemos seguir hablando de habilidades locas?
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Newsletter 69 : Activisme, mad skills, intégration pacifique
Dans cette newsletter n° 69 nous prolongeons notre expérimentation de l’intelligence artificielle en lui demandant cette fois-ci de nous donner des exemples concrets que nous sommes ensuite allés rechercher dans les ressources documentaires filmiques au lieu de le faire nous -même directement comme nous en avions coutume.
Nous lui avons posé des questions concernant les mots clés suivants en ayant déjà en tête le plan de ce que nous voulions écrire : les mad skills, l’activisme politique, le rôle des réseaux sociaux, exemple concret d’activisme politique dans les pays d’Afrique subsaharienne, la différence entre un politicien et un activiste. Le logiciel en a profité pour nous donner un exemple concret sans que nous en fassions la demande.
Pour commencer, les Mad skills ( mutually assumed destruction) skills sont considérées cette fois-ci comme des talents exceptionnels et atypiques pouvant donner une valeur ajoutée à un individu au sein de son entreprise. Si la réponse est plus précise que la veille, les familles de mad skills sont également plus nombreuses : la pensée créative et innovante, les compétences technologiques avancées, les compétences en communication exceptionnelle, les compétences en leadership visionnaire, les compétences en gestion de crise, les compétences multiculturelles et linguistiques, les compétences en intelligence émotionnelle et les capacités de réseau et de collaboration. Nous rappelons que les mad skills doivent contenir des caractérisques d’ exceptionnalité et de rareté pour être considérées comme telles.
Comme nous voulons comprendre ce qu’il entend par « exceptionnel » nous en avons profité pour lui demander s’il considérait l’activisme politique comme une mad skills dans la mesure où il y a deux familles de mad skills qui y sont directement liées : les capacités exceptionnelles de communication et celles de leadership visionnaire. Notre question était orientée car nous voulions au départ poser cela comme une hypothèse pour cette newsletter.
Pour commencer l’activisme politique est considéré comme un engagement public et dynamique envers une cause sociale, sociétale, environnementale ou encore une cause liée aux politiques publiques ainsi qu’à la justice sociale et au débat sur les avancées sur les droits de l’humain. Comme nous, l’intelligence artificielle ne fait aucune différence entre un activiste politique et un politicien. La seule différence est que l’un agit au sein d’un parti déclaré participe à la gouvernance d’un pays alors que l’autre sera plus cantonné à des organisations non gouvernementales. La différence réside également dans les méthodes employées.
Les uns useront de méthodes plus ou moins conventionnelles allant des rassemblements, des pétitions, aux actions directes et illégales quand les autres préfèreront les processus traditionnels comme les processus électoraux.
En ce qui nous concerne , comme dans la newsletter n° 68 nous faisons une certaine différence quant à la manière de démontrer son engagement politique. Si celui-ci permet aux intéressés d’être rémunérés grâce à leurs mandats électoraux alors il semble que nous puissions les considérer comme « politiciens » cependant lorsque l’activisme est exercé lors des périodes de loisirs et de temps libre et que les personnes ont un autre emploi pour subvenir à leurs besoins, nous estimons alors pouvoir considérer ce talent comme une mad skill et non une expertise-métier. Ce qui n’enlève rien à son caractère exceptionnel atypique et rare pouvant faire la différence dans une organisation. Comme exemple concret d’activiste, il nous a été proposé : Wangari Mathai, une africaine d’origine kenyane ayant obtenu le prix noble de la paix en 2004, faisant d’elle la première africaine à obtenir cette distinction. Elle s’est distinguée tout au long de sa vie pour son engagement en faveur de l’environnement en lançant en 1977 un mouvement ( Green Belt Movement) pour planter des arbres partout dans son pays et ainsi lutter contre la déforestation. Plus tard, elle s’est davantage investie pour la démocratie et les droits de l’homme. Nous pouvons dire qu’elle est devenue au fil des ans, une politicienne reconnue puisqu’elle a réussi à se faire élire comme députée dans son pays puis ensuite nommé comme ministre adjointe traitant des causes environnementales et ressources naturelles. Dans la même veine, Nelson Mandela qui a longtemps été considéré comme un activiste et qui a lutté contre l’Apartheid en Afrique du sud a fini par être reconnu comme un politicien capable d’accéder à des responsabilités en prenant ainsi en charge la gouvernance de son pays il fut un temps. Wangari Mathai est décédé en 2011 et Nelson Mandela en 2013.
Nous notons tout de même que Wangari Mathaï était docteur en médecine vétérinaire et a exercé longtemps son métier avant de devenir politicienne.
L’activisme serait-elle la forme moderne du militantisme ?
Les militants adhérent à un parti et œuvrent sur le long terme pour les causes d’un leader ou une cause. Avec l’aide des réseaux sociaux, nous voyons apparaitre une nouvelle race de militants qui peuvent être introduits dans des groupes officiels ou pas, défendre une cause ou plusieurs causes en tentant une sensibilisation marginale.
Nous découvrons comme tout un chacun l’activisme sur les réseaux sociaux et dans la presse avec parfois beaucoup d’étonnement quant aux méthodes spectaculaires parfois « brûlantes » mobilisées. De notre côté, nous connaissons le militantisme traditionnel qui existait avant l’avènement des réseaux sociaux et qui a en ce moment du mal à se faire entendre.
En disant cela, nous pensons à nos oncles : paternel et maternel. Le premier était avec le pouvoir en place et est décédé depuis quelques années. Le deuxième toujours vivant mais retraité était dans l’opposition.
L’un est le frère cadet de notre père, il a d’abord été journaliste et activiste durant sa jeunesse. Il a ensuite occupé le poste de directeur de cabinet d’un dirigeant politique pendant dix ans avant d’être nommé ministre de l’intérieur aussi pendant dix ans, puis ministre de la justice pendant deux années dans son pays d’origine et de résidence.
De l’autre côté, nous avons un autre oncle maternel, frère de notre mère dont l’engagement politique a été constant et durable durant de longues années. Nous ne l’avons connu qu’à notre arrivée en France. Nous passions nos périodes de petites vacances scolaires pendant les années d’internat chez lui et sa famille durant les sept années de collège et lycée avant de notre prendre notre appartement payé par nos parents puis notre frère cadet ensuite pour nos études supérieures.
Des petites vacances, c’est-à-dire les vacances de la toussaint, de noel etc… puisque nous rentrions dans notre pays pendant les périodes estivales. Nous avons alors eu l’occasion de le voir vivre sa passion politique. Il avait un emploi stable pour subvenir aux besoins de sa famille et la politique occupait ses temps de liberté. Il était une sorte d’activiste et militant qui a développé une habileté politique qui lui a valu de s’intégrer dans son pays d’origine lorsqu’il est rentré s’y installer tout en continuant à travailler pour des partenaires étrangers. Si aujourd’hui il a pris une sorte de retraite puisqu’il a plus de soixante dix ans, nous aurions voulu qu’il nous transmette son expérience de l’activisme et du militantisme politique, à travers un ouvrage. Peut-être nous entendra-t-il ?
Si nous nous fions à l’intelligence artificielle et à sa définition formelle, l’un est politicien et l’autre militant ou activiste bien que la durée des engagements soit similaire, il semble que le fait de participer à la gouvernance d’une ville, d’un état etc présente un atout complémentaire qui peut être ajoutée à la famille des Mas : management advisory supervisory skill, en français des capacités en management, en administration et en supervision.
Cependant, cette compétence ne mérite-t-elle pas d’être regardée aussi en situation formelle et voir comment ceux qui l’exercent pendant leur temps libre s’en emparent en entreprise ? Faut-il nécessairement être rémunéré pour qu’une compétence soit considérée comme une expertise ? Atteindre le pouvoir est -il le seul critère à retenir en matière d’habileté en communication et leadership « visionnaire » ? Dans quel autre domaine, cette capacité pourra-t-elle être transférée ?
Nous proposons d’en discuter dans la prochaine et dernière newsletter de cette série sur les mad skills.
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils et sur notre application « or en pépites ».
Newsletter 69: Activism, mad skills, peaceful integration
In this newsletter n° 69 we extend our experimentation with artificial intelligence by asking it this time to give us concrete examples which we then looked for in film documentary resources instead of doing it ourselves directly as we used to.
We asked him questions regarding the following key words, already having in mind the plan of what we wanted to write: mad skills, political activism, the role of social networks, concrete example of political activism in countries Sub-Saharan Africa, the difference between a politician and an activist. The software took the opportunity to give us a concrete example without us asking for it.
To begin with, Mad skills (mutually assumed destruction) skills are considered this time as exceptional and atypical talents that can give added value to an individual within their company. If the answer is more precise than the day before, the families of mad skills are also more numerous: creative and innovative thinking, advanced technological skills, exceptional communication skills, visionary leadership skills, crisis management skills, multicultural and linguistic skills, emotional intelligence skills, and networking and collaboration abilities. We remind you that mad skills must contain characteristics of exceptionality and rarity to be considered as such.
As we want to understand what he means by “exceptional” we took the opportunity to ask him if he considered political activism to be a mad skill to the extent that there are two families of mad skills that are directly linked to it: exceptional communication and visionary leadership skills. Our question was leading because we initially wanted to pose this as a hypothesis for this newsletter.
To begin with, political activism is considered a public and dynamic commitment to a social, societal, environmental cause or even a cause linked to public policies as well as social justice and the debate on progress on human rights. . Like us, artificial intelligence makes no difference between a political activist and a politician. The only difference is that one acts within a declared party and participates in the governance of a country while the other will be more confined to non-governmental organizations. The difference also lies in the methods used.
Some will use more or less conventional methods ranging from rallies, petitions, to direct and illegal actions while others will prefer traditional processes such as electoral processes.
As far as we are concerned, as in newsletter no. 68, we make a certain difference in the way of demonstrating political commitment. If this allows those concerned to be remunerated thanks to their electoral mandates then it seems that we can consider them as « politicians » however when the activism is exercised during periods of leisure and free time and the people have a another job to meet their needs, we then believe we can consider this talent as a mad skill and not a professional expertise. Which does not take away from its exceptional, atypical and rare character that can make the difference in an organization. As a concrete example of an activist, we were offered: Wangari Mathai, an African of Kenyan origin who obtained the Noble Peace Prize in 2004, making her the first African to obtain this distinction. She distinguished herself throughout her life for her commitment to the environment by launching a movement in 1977 (Green Belt Movement) to plant trees throughout her country and thus fight against deforestation. Later, she became more involved in democracy and human rights. We can say that over the years she has become a recognized politician since she managed to get elected as a deputy in her country and then appointed as deputy minister dealing with environmental causes and natural resources. In the same vein, Nelson Mandela, who was long considered an activist and who fought against Apartheid in South Africa, ended up being recognized as a politician capable of accessing responsibilities by thus taking charge of the governance of his country once upon a time. Wangari Mathai died in 2011 and Nelson Mandela in 2013.
We nevertheless note that Wangari Mathaï was a doctor of veterinary medicine and practiced her profession for a long time before becoming a politician.
Is activism the modern form of activism?
Activists join a party and work over the long term for the causes of a leader or a cause. With the help of social networks, we are seeing the emergence of a new breed of activists who can be introduced into official groups or not, defend a cause or several causes by attempting to raise marginal awareness.
Like everyone else, we discover activism on social networks and in the press, sometimes with great astonishment at the spectacular and sometimes “hot” methods mobilized. For our part, we know the traditional activism that existed before the advent of social networks and which is currently struggling to be heard.
In saying this, we think of our uncles: paternal and maternal. The first was with the powers that be and died a few years ago. The second still alive but retired was in opposition.
One is our father’s younger brother, he was first a journalist and activist during his youth. He then held the position of chief of staff to a political leader for ten years before being appointed Minister of the Interior also for ten years, then Minister of Justice for two years in his country of origin and residence.
On the other side, we have another maternal uncle, our mother’s brother whose political commitment has been constant and lasting for many years. We only knew him when we arrived in France. We spent our short school vacation periods during the boarding years with him and his family during the seven years of middle school and high school before taking our apartment paid for by our parents and then our younger brother for our higher studies.
Short vacations, that is to say the All Saints’ holidays, Christmas holidays, etc. since we returned to our country during the summer periods. We then had the opportunity to see him live out his political passion. He had a stable job to support his family and politics occupied his free time. He was a kind of activist and activist who developed a political skill that allowed him to integrate into his country of origin when he returned to settle there while continuing to work for foreign partners. If today he has taken a sort of retirement since he is over seventy years old, we would have liked him to pass on to us his experience of activism and political activism, through a book. Maybe he will hear us?
If we rely on artificial intelligence and its formal definition, one is a politician and the other activist or activist although the duration of the commitments is similar, it seems that participating in the governance of a city , of a state etc presents a complementary asset which can be added to the family of Mas: management advisory supervisory skill, in French skills in management, administration and supervision.
However, doesn’t this skill also deserve to be looked at in a formal situation and see how those who exercise it in their free time use it in business? Do you necessarily have to be paid for a skill to be considered expertise? Is achieving power the only criterion to remember in terms of communication skills and “visionary” leadership? In what other area can this capacity be transferred?
We propose to discuss it in the next and final newsletter of this series on mad skills.
We thank you for continuing to follow us on our Zs Conseils page and on our “or en pepites” application.
Boletín 69: Activismo, habilidades locas, integración pacífica
En este boletín n° 69 ampliamos nuestra experimentación con la inteligencia artificial pidiéndole esta vez que nos dé ejemplos concretos que luego buscamos en recursos documentales cinematográficos en lugar de hacerlo nosotros mismos directamente como solíamos hacerlo.
Le hicimos preguntas sobre las siguientes palabras clave, ya teniendo en mente el plan de lo que queríamos escribir: habilidades locas, activismo político, el papel de las redes sociales, ejemplo concreto de activismo político en países de África subsahariana, la diferencia entre un político y un activista. El software aprovechó la oportunidad para darnos un ejemplo concreto sin que se lo pidiéramos.
Para empezar, las habilidades Mad (destrucción mutua asumida) se consideran esta vez como talentos excepcionales y atípicos que pueden dar valor agregado a un individuo dentro de su empresa. Si la respuesta es más precisa que el día anterior, las familias de habilidades locas también son más numerosas: pensamiento creativo e innovador, habilidades tecnológicas avanzadas, habilidades de comunicación excepcionales, habilidades de liderazgo visionario, habilidades de gestión de crisis, habilidades multiculturales y lingüísticas, habilidades de inteligencia emocional. y capacidades de networking y colaboración. Te recordamos que las habilidades locas deben contener características de excepcionalidad y rareza para ser consideradas como tales.
Como queremos entender lo que quiere decir con “excepcional” aprovechamos para preguntarle si consideraba que el activismo político era una habilidad loca en la medida en que hay dos familias de habilidades locas que están directamente vinculadas a él: la comunicación excepcional y Habilidades de liderazgo visionario. Nuestra pregunta era capciosa porque inicialmente queríamos plantearla como hipótesis para este boletín.
Para empezar, el activismo político se considera un compromiso público y dinámico con una causa social, social, ambiental o incluso una causa vinculada tanto a las políticas públicas como a la justicia social y el debate sobre el progreso en materia de derechos humanos. Al igual que nosotros, la inteligencia artificial no hace diferencia entre un activista político y un político. La única diferencia es que uno actúa dentro de un partido declarado y participa en el gobierno de un país, mientras que el otro estará más confinado a organizaciones no gubernamentales. La diferencia también radica en los métodos utilizados.
Algunos utilizarán métodos más o menos convencionales que van desde mítines y peticiones hasta acciones directas e ilegales, mientras que otros preferirán procesos tradicionales como los procesos electorales.
En lo que a nosotros respecta, como en el boletín nº 68, marcamos una cierta diferencia en la forma de demostrar el compromiso político. Si esto permite a los interesados ser remunerados gracias a sus mandatos electorales, entonces parece que podemos considerarlos « políticos », pero cuando el activismo se ejerce durante los períodos de ocio y tiempo libre y la gente tiene otro trabajo para satisfacer sus necesidades, entonces creemos que podemos considerar este talento como una habilidad loca y no como una experiencia profesional. Lo cual no quita su carácter excepcional, atípico y raro que puede marcar la diferencia en una organización. Como ejemplo concreto de activista, nos ofrecieron: Wangari Mathai, una africana de origen keniano que obtuvo el Premio Nobel de la Paz en 2004, convirtiéndose en la primera africana en obtener esta distinción. Se distinguió a lo largo de su vida por su compromiso con el medio ambiente al lanzar en 1977 un movimiento (Movimiento Cinturón Verde) para plantar árboles en todo su país y así luchar contra la deforestación. Posteriormente, se involucró más en la democracia y los derechos humanos. Podemos decir que a lo largo de los años se ha convertido en una política reconocida ya que logró ser electa diputada de su país y luego nombrada viceministra encargada de causas ambientales y de recursos naturales. En la misma línea, Nelson Mandela, que durante mucho tiempo fue considerado un activista y que luchó contra el Apartheid en Sudáfrica, acabó siendo reconocido como un político capaz de acceder a responsabilidades haciéndose así cargo de la gobernanza de su país alguna vez. Wangari Mathai murió en 2011 y Nelson Mandela en 2013.
Sin embargo, observamos que Wangari Mathaï era doctora en veterinaria y ejerció su profesión durante mucho tiempo antes de convertirse en política.
Hacer campaña por causas sociales en los años 90, ¿no es ese el activismo de hoy?
Los activistas se unen a un partido y trabajan a largo plazo por las causas de un líder o una causa. Con la ayuda de las redes sociales, asistimos al surgimiento de una nueva generación de activistas que pueden introducirse o no en grupos oficiales, defender una causa o varias causas intentando crear conciencia marginal.
Como todo el mundo, descubrimos el activismo en las redes sociales y en la prensa, a veces con gran asombro por los métodos espectaculares y a veces “candentes” movilizados. Por nuestra parte, conocemos el activismo tradicional que existía antes de la llegada de las redes sociales y que actualmente lucha por ser escuchado.
Al decir esto pensamos en nuestros tíos: paterno y materno. El primero fue con los poderes fácticos y murió hace unos años. El segundo todavía vivo pero retirado estaba en la oposición.
Uno es el hermano menor de nuestro padre, primero fue periodista y activista durante su juventud. Luego ocupó el cargo de jefe de gabinete de un líder político durante diez años antes de ser nombrado Ministro del Interior también durante diez años y luego Ministro de Justicia durante dos años en su país de origen y de residencia.
Del otro lado tenemos otro tío materno, hermano de nuestra madre cuyo compromiso político ha sido constante y duradero desde hace muchos años. Sólo lo conocimos cuando llegamos a Francia. Pasamos nuestros cortos períodos de vacaciones escolares durante los años de internado con él y su familia durante los siete años de la escuela media y secundaria antes de alquilar nuestro apartamento pagado por nuestros padres y luego nuestro hermano menor para nuestros estudios superiores.
Vacaciones cortas, es decir fiestas de Todos los Santos, Navidad, etc. ya que regresamos a nuestro país durante los periodos estivales. Luego tuvimos la oportunidad de verlo vivir su pasión política. Tenía un trabajo estable para sustentar a su familia y la política ocupaba su tiempo libre. Fue una especie de militante y militante que desarrolló una habilidad política que le permitió integrarse en su país de origen cuando regresó para radicarse allí sin dejar de trabajar para socios extranjeros. Si hoy se ha jubilado por tener más de setenta años, nos hubiera gustado que nos transmitiera su experiencia de activismo y activismo político, a través de un libro. ¿Quizás nos escuche?
Si nos basamos en la inteligencia artificial y su definición formal, uno es político y el otro activista o activista aunque la duración de los compromisos sea similar, parece que participar en la gobernanza de una ciudad, de un estado, etc. presenta un activo complementario que A la familia de Mas se pueden añadir: gestión, asesoramiento, competencias de supervisión, en francés, competencias en gestión, administración y supervisión.
Sin embargo, ¿no merece también ser analizada esta habilidad en una situación formal y ver cómo quienes la ejercitan en su tiempo libre la utilizan en los negocios? ¿Es necesario que le paguen por una habilidad para que se considere experiencia? ¿Es alcanzar el poder el único criterio a recordar en términos de habilidades de comunicación y liderazgo “visionario”? ¿En qué otra zona se puede transferir esta capacidad?
Proponemos discutirlo en el próximo y último boletín de esta serie sobre habilidades locas.
Le agradecemos que siga siguiéndonos en nuestra página Zs Conseils y en nuestra aplicación “or en pepites”.
Newsletter 70 : processus d’immersion, mad skills, intégration pacifique
Nous achevons la courte série sur les mad skills dans cette soixante dixième (N°70) newsletter. Nous avons posé une question à la fin du billet précédent qui explorait la possibilité de considérer l’activisme comme une mad skill. Dans le prolongement de cette idée, nous proposons l’idée selon laquelle l’activisme peut conduire à mieux s’insérer dans un pays étranger. Nous ne parlons pas uniquement d’activisme politique mais de tout engagement en faveur de causes sociétales. Nous suggérons l’activisme au sens large peut conduire à un processus d’intégration pacifique.
Pour commencer nous rappelons que la mad skill est une compétence, rare spécifique atypique avec un caractère exceptionnel pouvant faire une différence au sein d’une organisation. Nous pensons qu’elle peut également contribuer à participer à la vie d’une région et donc conduire à un processus d’intégration sous certaines conditions.
Nous rappelons que l’activisme implique le fait de s’engager en faveur d’une cause politique, sociale ou environnementale. Si l’engagement en faveur de la cause est significative et produit de l’impact, elle peut conduire à un processus d’intégration dans la ville, le département ou la région dans lesquels se trouvent l’individu concerné. Selon l’intelligence artificielle, l’activisme peut influencer le processus d’intégration à travers les axes suivants : la représentation et la participation politique, la sensibilisation et l’éducation, la création de réseaux et de communautés, la mobilisation et l’action collective. Nous nous sommes particulièrement intéressées à la manière dont l’activisme peut influencer l’éducation. Il se trouve qu’elle cite deux points importants comme la promotion de la diversité culturelle et l’inclusion ainsi que l’éducation sur les droits et les ressources.
Nous avons choisi de regarder dans quelle mesure l’activisme social en faveur de l’éducation et de la sensibilisation à une cause peut contribuer à un processus d’intégration abouti, Qu’appelons-nous abouti ? Celui par lequel un individu est amené à s’insérer culturellement, économiquement , socialement et administrativement dans un pays qui l’accueille.
Selon l’intelligence artificielle, le processus d’intégration peut être vu comme une mad skill car il requiert des compétences plurielles qui touchent aux aspects suivant : l’adaptation culturelle, la compétence linguistique, la capacité de réseautage et la capacité de constitution des relations sociales, la résilience et la gestion du stress, le développement professionnel.
Nous avons essayé de regarder dans notre entourage une personne qui remplit ces conditions dans un autre pays de l’union européenne que la France mais avec les même critères d’exigence que celles que les immigrés doivent remplir en France. Nous avons choisi qui est un allié de la France au sein de l’union européenne et qui a également été un des pays colonisateurs de notre pays d’origine le Togo en plus de la Grande Bretagne et enfin la France avant l’indépendance définitive en 1960.
Nous avons pensé à une personne qui réside en Allemagne et qui se trouve être un autre frère de notre mère. Il a une soixante d’années et y réside depuis l’année 1991. Nous lui avons posé des questions sur son processus d’immersion lors d’une conversation téléphonique le dimanche 2 juin une fois que nous avons achevé la newsletter sur l’activisme politique.
Pour le présenter, il est d’origine afro-brésilienne en partie, il est marié et a un enfant. Il réside à l’étranger pour des raisons économiques depuis près de trente ans. Il travaille dans une multinationale spécialisée dans la chimie comme employé depuis de nombreuses années. Bien qu’il n’ait pas fait d’études supérieures poussées, il est polyglotte. C’est par ce biais qu’il a pu aider sa communauté à son arrivée. Il parle le français, l’anglais, l’allemand, et l’éwé. La maitrise de ses langues (niveau B1) lui a permis de remplacer l’un de ses amis qui donnait des cours du soir pendant une durée d’un an et demi à une population d’adultes. De plus, il a pratiqué la boxe depuis l’Afrique et a continué dans sa nouvelle ville au début pour s’insérer et se constituer un réseau. Nous précisons que le fait d’être polyglotte est une mad skill c’est-à-dire parler au moins quatre langues. Pour que le sport soit considéré comme tel, il faut une pratique et des distinctions à un niveau régional, national ou international aussi nous ne l’incluons pas.
Ne pouvant nous prononcer sur l’adaptation culturelle en Allemagne étant donné que nous n’y avons été qu’en simple visiteur et touriste notamment en fin d’année 2016 et janvier 2017, ni sur la gestion du stress, nous pouvons dire qu’il remplit les quatre autres critères du processus d’intégration selon Chat GPT qui sont : la capacité linguistique, de réseautage, la capacité administrative et le développement professionnel. En effet il est citoyen de son pays d’accueil c’est-à-dire fait citoyen allemand depuis vingt-quatre années et possède un emploi stable comme nous l’avons dit plus tôt.
Si la mad skill peut contribuer à s’insérer économiquement comme proposé dans la newsletter n°68, à œuvrer en faveur des droits de l’homme et de la justice sociale comme décrit dans la newsletter n°69 et permettre de mieux s’intégrer économiquement, socialement, comme nous le faisons dans la présente (n° 70), qu’en est il des autres types d’engagement ?
Peuvent -ils contribuer à un meilleur développement économiquement ? L’engagement en faveur de l’environnement comme la déforestation ou l’agriculture moderne ou encore l’agro écologie peuvent -ils limiter les flux d’immigration et permettre une meilleure insertion professionnelle et économique dans les pays d’origine ?
Nous proposons de l’aborder dans une prochaine série dans les semaines à venir.
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils.
Newsletter 70: immersion process, mad skills, peaceful integration
We are completing the short series on mad skills in this seventy (No. 70) newsletter. We asked a question at the end of the previous post that explored the possibility of considering activism as a mad skill. As an extension of this idea, we propose the idea that activism can lead to better integration in a foreign country. We are not only talking about political activism but about any commitment to societal causes. We suggest activism in the broad sense can lead to a peaceful integration process.
To begin with, we recall that mad skill is a rare, specific, atypical skill with an exceptional character that can make a difference within an organization. We believe that it can also contribute to participating in the life of a region and therefore lead to an integration process under certain conditions.
We recall that activism involves committing to a political, social or environmental cause. If the commitment to the cause is significant and produces impact, it can lead to a process of integration in the city, department or region in which the individual concerned is located. According to artificial intelligence, activism can influence the integration process through the following axes: representation and political participation, awareness-raising and education, creation of networks and communities, mobilization and action collective. We were particularly interested in how activism can influence education. She happens to cite two important points as promoting cultural diversity and inclusion as well as education about rights and resources.
We have chosen to look at the extent to which social activism in favor of education and awareness of a cause can contribute to a successful integration process, what do we call successful? That by which an individual is led to integrate culturally, economically, socially and administratively into a country which welcomes him.
According to artificial intelligence, the integration process can be seen as a mad skill because it requires plural skills that touch on the following aspects: cultural adaptation, linguistic competence, networking ability and the ability to build relationships social skills, resilience and stress management, professional development.
We tried to look in our entourage for a person who meets these conditions in another country of the European Union than France but with the same demanding criteria as those that immigrants must meet in France. We have chosen who is an ally of France within the European Union and who was also one of the colonizing countries of our country of origin Togo in addition to Great Britain and finally France before final independence in 1960.
We thought of a person who lives in Germany and who happens to be another brother of our mother. He is in his sixties and has been living there since 1991. We asked him about his immersion process during a phone conversation on Sunday, June 2 after we finished the activism newsletter policy.
To introduce him, he is of partly Afro-Brazilian origin, he is married and has a child. He has lived abroad for economic reasons for almost thirty years. He has worked in a multinational specializing in chemicals as an employee for many years. Although he did not have advanced higher education, he is multilingual. It was through this that he was able to help his community upon his arrival. He speaks French, English, German, and Ewe. His mastery of his languages (B1 level) allowed him to replace one of his friends who was giving evening classes for a year and a half to a population of adults. In addition, he practiced boxing from Africa and continued in his new city at first to fit in and build a network. We specify that being polyglot is a mad skill, that is to say speaking at least four languages. For the sport to be considered as such, it requires practice and distinctions at a regional, national or international level so we do not include it.
Unable to comment on cultural adaptation in Germany given that we have only been there as a simple visitor and tourist, particularly at the end of 2016 and January 2017, nor on stress management, we can say that he meets the four other criteria of the integration process according to Chat GPT which are: language ability, networking ability, administrative ability and professional development. In fact, he is a citizen of his host country, that is to say, a German citizen for twenty-four years and has a stable job as we said earlier.
If mad skill can contribute to economic integration as proposed in newsletter n°68, to work in favor of human rights and social justice as described in newsletter n°69 and allow for better integration economically, socially, as we do here (no. 70), what about other types of commitment?
Can they contribute to better economic development? Can commitment to the environment such as deforestation or modern agriculture or even agroecology limit immigration flows and allow better professional and economic integration in countries of origin?
We propose to address it in a future series in the coming weeks.
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Boletín 70: proceso de inmersión, habilidades locas, integración pacífica
Estamos completando la serie corta sobre habilidades locas en este boletín número setenta (núm. 70). Hicimos una pregunta al final del post anterior que exploraba la posibilidad de considerar el activismo como una habilidad loca. Como una extensión de esta idea, proponemos la idea de que el activismo puede conducir a una mejor integración en un país extranjero. No estamos hablando sólo de activismo político sino de cualquier compromiso con causas sociales. Sugerimos que el activismo en sentido amplio puede conducir a un proceso de integración pacífico.
Para empezar, recordemos que la habilidad loca es una habilidad rara, específica, atípica y con un carácter excepcional que puede marcar la diferencia dentro de una organización. Creemos que también puede contribuir a participar en la vida de una región y, por tanto, conducir a un proceso de integración en determinadas condiciones.
Recordamos que el activismo implica comprometerse con una causa política, social o medioambiental. Si el compromiso con la causa es significativo y produce impacto, puede conducir a un proceso de integración en la ciudad, departamento o región en la que se encuentre el interesado. Según la inteligencia artificial, el activismo puede influir en el proceso de integración a través de los siguientes ejes: representación y participación política, sensibilización y educación, creación de redes y comunidades, movilización y acción colectiva. Estábamos particularmente interesados en cómo el activismo puede influir en la educación. Ella cita dos puntos importantes: promover la diversidad cultural y la inclusión, así como la educación sobre derechos y recursos.
Hemos optado por analizar hasta qué punto el activismo social a favor de la educación y la sensibilización de una causa puede contribuir a un proceso de integración exitoso, ¿a qué llamamos exitoso? Aquel por el cual se conduce a un individuo a integrarse cultural, económica, social y administrativamente en un país que lo acoge.
Según la inteligencia artificial, el proceso de integración puede verse como una habilidad loca porque requiere habilidades plurales que afectan a los siguientes aspectos: adaptación cultural, competencia lingüística, capacidad para establecer contactos y capacidad para construir relaciones, habilidades sociales, resiliencia y gestión del estrés, habilidades profesionales. desarrollo.
Hemos intentado buscar en nuestro entorno a una persona que reúna estas condiciones en otro país de la Unión Europea distinto de Francia pero con los mismos criterios exigentes que los inmigrantes deben cumplir en Francia. Hemos elegido quién es aliado de Francia dentro de la Unión Europea y quién fue también uno de los países colonizadores de nuestro país de origen, Togo, además de Gran Bretaña y finalmente Francia antes de la independencia definitiva en 1960.
Pensamos en una persona que vive en Alemania y que resulta ser otro hermano de nuestra madre. Tiene más de sesenta años y vive allí desde 1991. Le preguntamos sobre su proceso de inmersión durante una conversación telefónica el domingo 2 de junio después de terminar la política del boletín de activismo.
Para presentarlo, es de origen parcialmente afrobrasileño, está casado y tiene un hijo. Vive en el extranjero por motivos económicos desde hace casi treinta años. Ha trabajado durante muchos años como empleado en una multinacional especializada en productos químicos. Aunque no tuvo estudios superiores avanzados, es multilingüe. Fue a través de esto que pudo ayudar a su comunidad a su llegada. Habla francés, inglés, alemán y oveja. Su dominio de sus idiomas (nivel B1) le permitió sustituir a uno de sus amigos que daba clases nocturnas durante un año y medio a una población de adultos. Además, practicó boxeo desde África y al principio continuó en su nueva ciudad para encajar y construir una red. Precisamos que ser políglota es una habilidad loca, es decir hablar al menos cuatro idiomas. Para que el deporte sea considerado como tal requiere práctica y distinciones a nivel regional, nacional o internacional por lo que no lo incluimos.
Sin poder comentar sobre la adaptación cultural en Alemania, ya que solo hemos estado allí como simple visitante y turista, especialmente a finales de 2016 y enero de 2017, ni sobre el manejo del estrés, podemos decir que cumple con los otros cuatro criterios de integración. proceso según Chat GPT que son: habilidad lingüística, habilidad para establecer contactos, habilidad administrativa y desarrollo profesional. De hecho, es ciudadano de su país de acogida, es decir, ciudadano alemán desde hace veinticuatro años y tiene un trabajo estable como decíamos antes.
Si la loca habilidad puede contribuir a la integración económica como se propone en el boletín n°68, trabajar a favor de los derechos humanos y la justicia social como se describe en el boletín n°69 y permitir una mejor integración económica y social, como lo hacemos aquí (n°70 ), ¿qué pasa con otros tipos de compromiso?
¿Pueden contribuir a un mejor desarrollo económico? ¿Pueden los compromisos con el medio ambiente, como la deforestación, la agricultura moderna o incluso la agroecología, limitar los flujos de inmigración y permitir una mejor integración profesional y económica en los países de origen?
Proponemos abordarlo en una serie futura en las próximas semanas.
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Newsletter 72 : capital humain, émergence individuelle, hard skills
Après avoir essayé de nous approprier la question des soft skills et mad skills dans les six newsletters précédentes, nous souhaitons nous focaliser sur les hard skills à présent en couplant l’intelligence artificielle et les ressources documentaires comme nous en avions l’habitude. Pour parler de hard skills, nous voulons rapprocher les enjeux de transition démographique avec le développement du capital humain à travers l’émergence individuelle et les hard skills.
Pour cette newsletter n°72, nous nous appuyons comme nous l’avons dit sur l’intelligence artificielle et sur la ressource documentaire intitulée « démographie de l’Afrique subsaharienne, l’émergence est-elle possible ? ».
Pour commencer, la transition démographique consiste pour certains pays du sud à réduire leur taux de natalité ainsi que le taux de mortalité afin de stabiliser la croissance de la population. D’ici 2050 la population subsaharienne d’Afrique est estimée à deux milliards de personnes avec un taux de fécondité moyen de 4, 7 enfants par femmes. Cela peut varier de 3 enfants par femmes à certains endroits à 7 enfants par femmes dans d’autres régions. Lorsqu’il est question de capital humain, il faut surtout comprendre que cela englobe la somme des connaissances, compétences, attributs individuels qui conduisent à l’émancipation économique et au bien être social. Etant particulièrement attentives à l’autonomisation des femmes qui représentent 50% de la population et qui sont souvent freinées dans l’accès à l’emploi bien que depuis quelques années les institutions de microcrédit favorisent leur insertion économique à travers un financement inclusif et durable.
Le capital humain joue un rôle important dans l’émergence individuelle dans la mesure où il permet de construire des fondations solides nécessaires pour cette émancipation économique individuelle susceptible de contribuer au bien-être social en général. L’émergence individuelle est considérée comme le processus par lequel un individu se transforme en acteur autonome dans chaque sphère de sa vie. Il comprend les étapes clés suivantes: le développement individuel, la réussite professionnelle, les relations interpersonnelles, l’autonomie et la responsabilité, la croissance continue. Enfin les hard skills sont vues comme des compétences techniques regroupées en plusieurs familles : informatiques et technologie de l’information ; ingénierie et technologie ; sciences et mathématiques ; commerce et finance ; communication et media ; santé et sciences médicales ; autres domaines tertiaires.
Le concept de capital humain étant vaste, nous avons choisi de nous intéresser particulièrement au capital intellectuel dans cette newsletter car il contribue fortement à l’accroissement du capital humain en fournissant des ressources cognitives et intellectuelles qui conduisent à l’émergence individuelle.
Comment est- il possible de mettre le capital intellectuel au service des hard skills ? Il faut mettre en œuvre les actions suivantes : identification des compétences clés nécessaires, évaluation de ce capital, formation et apprentissage continue, application pratique, partage des connaissances et collaboration, autoévaluation et rétroaction.
De même les hard skills contribuent également à l’émergence individuelle à travers en donnant accès aux opportunités professionnelles, en permettant une meilleure performance et efficacité au travail, en renforçant la confiance et l’estime de soi, en permettant la reconnaissance et le respect de ses pairs, en favorisant l’adaptation et l’évolution professionnelle.
Si nous retenons les dimensions « formation et apprentissage » ainsi que celle de « l’application pratique », pouvons-nous dire qu’une connaissance théorique reçue à l’université peut permettre d’avoir des opportunités de missions susceptibles de contribuer à l’acquisition de hard skills ?
Nous pouvons répondre positivement en regardant certains processus d’émergence individuelle conduisant à une autonomisation économique et insertion professionnelle. C’est le cas par exemple Du benjamin de notre fratrie qui est encore trentenaire pour peu de temps. Après un baccalauréat général anciennement ES (sciences économiques et sociales), il a poursuivi avec une licence en économie et gestion. Mais à la fin de ce cursus, au lieu d’aller travailler directement ou de s’inscrire en master, il a préféré une année de volontariat dans notre pays d’origine en Afrique subsaharienne. Il a alors réaliser deux missions de six mois consécutives dans des institutions financières de la sous-région spécialisés dans le financement de projets liés au commerce et à la finance d’une part et d’autre part à l’analyse de dossiers liés à l’urbanisation et à l’assainissement. A son retour en France, après cette année d’expérience pratique, il a pu s’insérer dans la vie professionnelle dans un autre domaine d’activité depuis près de huit années en île de France.
Pouvons-nous dire qu’il s’agit d’émergence individuelle au regard des caractéristiques citées plus haut ? A savoir : : le développement individuel, la réussite professionnelle, les relations interpersonnelles, l’autonomie et la responsabilité, la croissance continue.
En dehors de la croissance continue qui s’effectue tout au long de la carrière professionnelle avec les possibilités qu’offrent les formations continues comme les MBA ou autres diplômes qui viennent confirmer des compétences pratiques sur le long terme, nous ne pouvons réfuter le fait qu’il y ait eu développement individuel, évolution professionnelle, une autonomie financière et une responsabilité professionnelle ainsi que l’existence de relations interpersonnelles de qualité ayant contribué à l’avancement professionnel bien que la perfection ne soit pas de ce monde.
Pour revenir à la transition démographique, dans quelle mesure l’émergence individuelle peut-elle y contribuer ?
Bien que l’émergence individuelle et la transition démographique soient des concepts distincts, ils sont souvent liés dans la mesure où les changements démographiques peuvent créer à la fois des opportunités et des défis pour le développement personnel et professionnel des individus. Les politiques et les programmes qui soutiennent l’éducation, l’emploi, la santé et le bien-être peuvent jouer un rôle crucial dans la promotion de l’émergence individuelle au cours de la transition démographique.
Comment mieux armer le capital humain pour faire face à ces enjeux d’émergence et de développement ? Pouvons-nous lier l’émergence individuelle des populations et l’émergence d’une nation bien que ce soit des notions différentes ? Lorsqu’une nation ambitionne de réaliser la transition qui consiste sortir du groupe de « pays en voie de développement » pour devenir « pays émergent », ne doit-elle pas miser aussi sur le développement du capital humain de sa population par d’autres moyens que celles déjà proposées ?
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Newsletter 72: human capital, individual emergence, hard skills
After trying to tackle the issue of soft skills and mad skills in the six previous newsletters, we want to focus on hard skills now by combining artificial intelligence and documentary resources as we used to. To talk about hard skills, we want to bring together the issues of demographic transition with the development of human capital through individual emergence and hard skills.
For this newsletter n°72, we rely, as we said, on artificial intelligence and on the documentary resource entitled “demography of sub-Saharan Africa, is emergence possible? « .
To begin with, the demographic transition consists of certain southern countries reducing their birth rate as well as the death rate in order to stabilize population growth. By 2050 the sub-Saharan population of Africa is estimated at two billion people with an average fertility rate of 4.7 children per woman. This can vary from 3 children per woman in some places to 7 children per woman in other areas. When it comes to human capital, it is important to understand that it encompasses the sum of knowledge, skills and individual attributes that lead to economic emancipation and social well-being. Being particularly attentive to the empowerment of women who represent 50% of the population and who are often hampered in access to employment although for several years microcredit institutions have been promoting their economic integration through inclusive and sustainable financing.
Human capital plays an important role in individual emergence to the extent that it makes it possible to build solid foundations necessary for this individual economic emancipation likely to contribute to social well-being in general. Individual emergence is considered the process by which an individual transforms into an autonomous actor in each sphere of his life. It includes the following key stages: individual development, professional success, interpersonal relationships, autonomy and responsibility, continuous growth. Finally, hard skills are seen as technical skills grouped into several families: computing and information technology; engineering and technology; science and mathematics; commerce and finance; communication and media; health and medical sciences; other tertiary areas.
The concept of human capital being vast, we have chosen to focus particularly on intellectual capital in this newsletter because it strongly contributes to the increase in human capital by providing cognitive and intellectual resources which lead to individual emergence.
How is it possible to put intellectual capital at the service of hard skills? The following actions must be implemented: identification of the necessary key skills, assessment of this capital, training and continuous learning, practical application, knowledge sharing and collaboration, self-assessment and feedback.
Likewise, hard skills also contribute to individual emergence by providing access to professional opportunities, by enabling better performance and efficiency at work, by strengthening confidence and self-esteem, by allowing recognition and respect for others. their peers, by promoting adaptation and professional development.
If we retain the dimensions of “training and learning” as well as that of “practical application”, can we say that theoretical knowledge received at university can provide opportunities for missions likely to contribute to the acquisition of hard skills?
We can respond positively by looking at certain processes of individual emergence leading to economic empowerment and professional integration. This is the case, for example, of the youngest of our siblings who is still in his thirties for a short time. After a general baccalaureate formerly ES (economic and social sciences), he continued with a degree in economics and management. But at the end of this course, instead of going to work directly or enrolling in a master’s degree, he preferred a year of volunteering in our country of origin in sub-Saharan Africa. He then carried out two consecutive six-month missions in financial institutions in the sub-region specializing in the financing of projects linked to trade and finance on the one hand and on the other hand in the analysis of files linked to urbanization and sanitation. On his return to France, after this year of practical experience, he was able to enter professional life in another field of activity for almost eight years in Ile de France.
Can we say that it is about individual emergence with regard to the characteristics mentioned above? Namely: individual development, professional success, interpersonal relationships, autonomy and responsibility, continuous growth.
Apart from the continuous growth which takes place throughout the professional career with the possibilities offered by continuing education such as MBAs or other diplomas which confirm practical skills over the long term, we cannot refute the fact that There has been individual development, professional evolution, financial autonomy and professional responsibility as well as the existence of quality interpersonal relationships which have contributed to professional advancement although perfection is not of this world.
To return to the demographic transition, to what extent can individual emergence contribute to it?
Although individual emergence and demographic transition are distinct concepts, they are often linked in that demographic changes can create both opportunities and challenges for individuals’ personal and professional development. Policies and programs that support education, employment, health and well-being can play a crucial role in promoting individual emergence during the demographic transition.
How can we better equip human capital to face these challenges of emergence and development? Can we link the individual emergence of populations and the emergence of a nation even though they are different notions? When a nation aims to achieve the transition which consists of leaving the group of “developing countries” to become “emerging countries”, should it not also focus on the development of the human capital of its population by other means? than those already proposed?
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Boletín 72: capital humano, emergencia individual, habilidades duras
Después de intentar abordar el tema de las habilidades blandas y las habilidades locas en los seis boletines anteriores, ahora queremos centrarnos en las habilidades duras combinando inteligencia artificial y recursos documentales como solíamos hacerlo. Para hablar de habilidades duras, queremos unir las cuestiones de la transición demográfica con el desarrollo del capital humano a través del surgimiento individual y de habilidades duras.
Para este boletín n°72 nos apoyamos, como decíamos, en la inteligencia artificial y en el recurso documental titulado “demografía del África subsahariana, ¿es posible la emergencia? « .
Para empezar, la transición demográfica consiste en que ciertos países del sur reduzcan su tasa de natalidad y su tasa de mortalidad para estabilizar el crecimiento demográfico. Se estima que en 2050 la población subsahariana de África será de dos mil millones de personas con una tasa de fertilidad promedio de 4,7 hijos por mujer. Esto puede variar desde 3 hijos por mujer en algunos lugares hasta 7 hijos por mujer en otras zonas. Cuando se trata de capital humano, es importante entender que abarca la suma de conocimientos, habilidades y atributos individuales que conducen a la emancipación económica y al bienestar social. Estando especialmente atentos al empoderamiento de las mujeres que representan el 50% de la población y que a menudo se ven obstaculizadas en su acceso al empleo, aunque desde hace varios años las instituciones de microcrédito promueven su integración económica a través de una financiación inclusiva y sostenible.
El capital humano desempeña un papel importante en el surgimiento individual en la medida en que permite construir las bases sólidas necesarias para esta emancipación económica individual que pueda contribuir al bienestar social en general. Se considera el surgimiento individual el proceso por el cual un individuo se transforma en un actor autónomo en cada esfera de su vida. Incluye las siguientes etapas clave: desarrollo individual, éxito profesional, relaciones interpersonales, autonomía y responsabilidad, crecimiento continuo. Finalmente, las habilidades duras se consideran habilidades técnicas agrupadas en varias familias: informática y tecnología de la información; Ingeniería y Tecnología; ciencias y matemáticas; comercio y finanzas; comunicación y medios; ciencias médicas y de la salud; otras áreas terciarias.
Dado que el concepto de capital humano es amplio, hemos elegido centrarnos particularmente en el capital intelectual en este boletín porque contribuye en gran medida al aumento del capital humano al proporcionar recursos cognitivos e intelectuales que conducen al surgimiento individual.
¿Cómo es posible poner el capital intelectual al servicio de las habilidades duras? Se deben implementar las siguientes acciones: identificación de las habilidades clave necesarias, evaluación de este capital, formación y aprendizaje continuo, aplicación práctica, intercambio y colaboración de conocimientos, autoevaluación y retroalimentación.
Asimismo, las habilidades duras también contribuyen al surgimiento individual al brindar acceso a oportunidades profesionales, al permitir un mejor desempeño y eficiencia en el trabajo, al fortalecer la confianza y la autoestima, al permitir el reconocimiento y el respeto por los demás, al promover la adaptación y el desarrollo profesional. .
Si mantenemos las dimensiones de “formación y aprendizaje”, así como la de “aplicación práctica”, ¿podemos decir que el conocimiento teórico recibido en la universidad puede brindar oportunidades para misiones que probablemente contribuyan a la adquisición de habilidades duras?
Podemos responder positivamente observando ciertos procesos de surgimiento individual que conducen al empoderamiento económico y la integración profesional. Este es el caso, por ejemplo, del menor de nuestros hermanos que todavía está por poco tiempo en la treintena. Después de un bachillerato general, anteriormente ES (ciencias económicas y sociales), continuó con una licenciatura en economía y gestión. Pero al finalizar este curso, en lugar de ir a trabajar directamente o matricularse en un máster, prefirió un año de voluntariado en nuestro país de origen en el África subsahariana. Luego realizó dos misiones consecutivas de seis meses de duración en instituciones financieras de la subregión, especializándose en el financiamiento de proyectos vinculados al comercio y las finanzas, por un lado, y por el otro en el análisis de expedientes vinculados a la urbanización y el saneamiento. A su regreso a Francia, después de este año de experiencia práctica, pudo incorporarse a la vida profesional en otro ámbito de actividad durante casi ocho años en Isla de Francia.
¿Podemos decir que se trata de emergencia individual con respecto a las características mencionadas anteriormente? A saber: desarrollo individual, éxito profesional, relaciones interpersonales, autonomía y responsabilidad, crecimiento continuo.
Más allá del crecimiento continuo que se produce a lo largo de la carrera profesional con las posibilidades que ofrece la formación continua como los MBA u otros diplomas que confirman las habilidades prácticas a largo plazo, no podemos negar que ha habido desarrollo individual, evolución profesional, financiera autonomía y responsabilidad profesional así como la existencia de relaciones interpersonales de calidad que han contribuido al avance profesional aunque la perfección no es de este mundo.
Volviendo a la transición demográfica, ¿en qué medida puede contribuir a ella la emergencia individual?
Aunque el surgimiento individual y la transición demográfica son conceptos distintos, a menudo están vinculados en el sentido de que los cambios demográficos pueden crear oportunidades y desafíos para el desarrollo personal y profesional de los individuos. Las políticas y programas que apoyan la educación, el empleo, la salud y el bienestar pueden desempeñar un papel crucial en la promoción del surgimiento individual durante la transición demográfica.
¿Cómo podemos equipar mejor al capital humano para enfrentar estos desafíos de emergencia y desarrollo? ¿Podemos vincular el surgimiento individual de poblaciones y el surgimiento de una nación aunque sean nociones diferentes? Cuando una nación pretende lograr la transición que consiste en dejar el grupo de “países en desarrollo” para convertirse en “países emergentes”, ¿no debería centrarse también en el desarrollo del capital humano de su población por otros medios distintos a los ya propuestos?
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Newsletter n° 73 : gestion de projet, émergence individuelle, hard skills
Dans le prolongement de la newsletter précédente qui traitait de hard skills et d’émergence individuelle, nous poursuivons notre excursion dans le champs des « compétences » « skills » en prenant appui sur l’intelligence artificielle ainsi que sur les ressources documentaires filmiques comme à notre habitude. Nous nous focalisons dans cette newsletter n°73 sur le travail social et solidaire à travers la hard skill « gestion ou pilotage de projets ».
Nous avons regardé un documentaire intitulé « histoire de l’économie sociale et solidaire » pour une vue d’ensemble du sujet. Nous nous en sommes éloignées mais cette ressource reste une source d’informations générales. En France, l’économie sociale et solidaire emploie environ 12% des personnes actives. Cela représente environ deux virgule cinq à trois millions de personnes. Si l’état encourage à travers des dispositifs et des financements les initiatives liées à l’économie sociale et solidaire, elle n’en fait pas directement partie. Il s’agit essentiellement d’associations, de coopératives de mutuelles, d’entreprises privées etc…
Nous souhaitons nous intéresser aux activités qui sont réservées à l’état mais qui peuvent être associées à l’économie sociale et solidaire. Ce qui signifie que nous nous intéressons aux travailleurs sociaux et à la manière dont certaines hard skills peuvent être acquises. Pour commencer, nous rappelons que les hard skills, les compétences dures sont considérées comme des compétences techniques indispensables à l’exercice de la plupart des activités professionnelles. Dans le domaine de l’économie sociale et solidaire il en existe plusieurs types : gestion de projet, analyse financière, compétence en marketing et communication, compétences en recherche et évaluation, compétences en informatique, en droit et règlementation, compétences en gestion des ressources humaines et en développement durable.
Nous rappelons que l’émergence individuelle rassemble des caractérisques qui contribuent à l’émancipation économique et individuelle d’une personne. Elles comprennent : la prise de conscience de soi, l’exploration et la découverte, la formation de l’identité, l’affirmation de soi, la création de relations significatives, l’autonomie et l’indépendance, la responsabilité personnelle, la croissance continue et l’adaptation.
Etant donné que nous avons commencé dans la newsletter précédente en cherchant un lien entre l’émergence individuelle et autonomisation économique, nous prolongeons cette expérimentation en posant la question suivante : comment acquérir les hard skills nécessaires à l’évolution professionnelle dans le domaine de l’économie sociale et solidaire ?
Pour tenter de tenter d’apporter une réponse, nous avons choisi de mobiliser le témoignage des volontaires de notre podcast « or en pépites » présents sur le prototype mis sur notre page Zs Conseils. Le prototype rassemble trois témoignages, le nôtre, celui d’une dame nommée An. et d’un homme nommé J-C.
Etant donné que nous nous sommes déjà présentées à de nombreuses reprises et présenté certains membres de notre grande famille, nous avons choisi de parler des personnes qui nous ont aidées à réaliser le prototype de l’application en acceptant de témoigner sur leur parcours bénévolement dans la mesure où nous-mêmes, faisions un usage bénévole de notre prototype, ce qui signifie qu’il n’était pas à commercialiser encore moins avec les témoignages.
Notre volontaire est une mère de famille seule avec un enfant présentant un handicap physique vivant dans notre ville. Nous avons eu l’occasion de la rencontrer dans nos activités extra-professionnelles décrites dans les newsletters intitulées « soutien durable, soft skills, paix sociale » et « service social et responsable, soft skills, paix sociale ».
Elle est travailleuse sociale et s’est découvert une vocation pour ce métier lors de ses activités extra-scolaires durant sa jeunesse. Elle a donc choisi sa filière d’études en fonction de cette envie professionnelle. Après un bac général anciennement Es (sciences économiques et sociales) elle a effectué un diplôme d’études universitaires générales et un brevet de technicien supérieur avant d’être recrutée par le département des hauts de seine pour lequel elle a travaillé pendant dix-neuf années. Ces années d’expérience lui ont permis de devenir cadre, de piloter des projets d’envergure. A présent elle travaille pour une structure dédiée à la lutte contre les discriminations liées au genre en tant que « responsable ».
Nous supposons que pour faire évoluer sa carrière, elle a du obtenir des résultats importants dans le pilotage de certains projets clés, acquérir des compétences spécifiques et une expertise liée au genre qui lui ont permis de se positionner pour ce nouveau poste. Pour finir bien que ce ne soit pas une hard skill en tant que telle, elle a du construire un réseau relationnel efficace.
Dans quel autre domaine d’activité ces hard skills pourraient-elles être transférées ? Devra-t-elle passer par un diplôme pour changer de secteur d’activités ? Ces hard-skills ne sont -elles pas trop spécifiques ? Comment pourrait-elle élargir cette palette de compétences dures ?
Par rapport aux caractéristiques que nous donnent Chat GPT ce jour avec ce domaine d’activité et ces mots clés que sont : « la prise de conscience de soi, l’exploration et la découverte, la formation de l’identité, l’affirmation de soi, la création de relations significatives, l’autonomie et l’indépendance, la responsabilité personnelle, la croissance continue et l’adaptation », pouvons -nous parler d’émergence individuelle concernant le témoignage de An. présent sur le podcast « or en pépites » ?
Nous laissons à chacun le soin d’interpréter à sa manière.
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils.
Newsletter n° 73: project management, individual emergence, hard skills
Following on from the previous newsletter which dealt with hard skills and individual emergence, we are continuing our excursion into the field of “skills” by drawing on artificial intelligence as well as film documentary resources as in our habit. In this newsletter n°73, we focus on social and solidarity work through the hard skill “project management or piloting”.
We watched a documentary called “history of the social and solidarity economy” for an overview of the subject. We have moved away from it but this resource remains a source of general information. In France, the social and solidarity economy employs around 12% of active people. That’s about two point five to three million people. Although the state encourages initiatives linked to the social and solidarity economy through mechanisms and funding, it is not directly part of it. These are essentially associations, mutual cooperatives, private companies, etc.
We would like to focus on activities that are reserved for the state but which can be associated with the social and solidarity economy. Which means we are interested in social workers and how certain hard skills can be acquired. To begin with, we recall that hard skills are considered technical skills essential for the exercise of most professional activities. In the field of the social and solidarity economy there are several types: project management, financial analysis, marketing and communication skills, research and evaluation skills, IT skills, law and regulations, human resources management skills and sustainable development.
We recall that individual emergence brings together characteristics that contribute to the economic and individual emancipation of a person. They include: self-awareness, exploration and discovery, identity formation, self-affirmation, creating meaningful relationships, autonomy and independence, personal responsibility, growth continues and adaptation.
Given that we started in the previous newsletter by looking for a link between individual emergence and economic empowerment, we are extending this experiment by asking the following question: how to acquire the hard skills necessary for professional development in the field of social and solidarity economy ?
To try to provide an answer, we chose to mobilize the testimony of volunteers from our podcast “or en pepites ” present on the prototype posted on our Zs Conseils page. The prototype brings together three testimonies, ours, that of a lady named An. and a man named J-C.
Given that we have already introduced ourselves numerous times and introduced certain members of our large family, we chose to talk about the people who helped us create the prototype of the application by agreeing to testify about their journey voluntarily in the to the extent that we ourselves made voluntary use of our prototype, which means that it was not to be marketed, much less with the testimonials.
Our volunteer is a single mother with a child with a physical disability living in our city. We had the opportunity to meet her in our extra-professional activities described in the newsletters entitled “sustainable support, soft skills, social peace” and “social and responsible service, soft skills, social peace”.
She is a social worker and discovered a vocation for this profession during her extra-curricular activities during her youth. She therefore chose her course of study based on this professional desire. After a general baccalaureate formerly Es (economic and social sciences) she completed a general university studies diploma and a higher technician certificate before being recruited by the department of Hauts de Seine for which she worked for nineteen years . These years of experience allowed him to become an executive, to manage large-scale projects. She currently works for a structure dedicated to the fight against gender-related discrimination as a “manager”.
We assume that to advance her career, she must have obtained significant results in the management of certain key projects, acquired specific skills and gender-related expertise which allowed her to position herself for this new position. Finally, although it is not a hard skill as such, she had to build an effective relational network.
In what other field of activity could these hard skills be transferred? Will she have to obtain a diploma to change sector of activity? Aren’t these hard skills too specific? How could she expand this range of hard skills?
In relation to the characteristics that Chat GPT gives us today with this field of activity and these key words which are: « self-awareness, exploration and discovery, identity formation, affirmation of self, the creation of meaningful relationships, autonomy and independence, personal responsibility, continuous growth and adaptation », can we speak of individual emergence concerning the testimony of An. present on the podcast « or en pepites”?
We leave it to everyone to interpret in their own way.
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Boletín n° 73: gestión de proyectos, emergencia individual, habilidades duras
Continuando con el boletín anterior que trataba sobre las habilidades duras y el surgimiento individual, continuamos nuestra incursión en el campo de las “habilidades” aprovechando la inteligencia artificial y recursos documentales cinematográficos como es nuestra costumbre. En este boletín n°73, nos centramos en el trabajo social y solidario a través de la habilidad dura “gestión de proyectos o pilotaje”.
Vimos un documental llamado “historia de la economía social y solidaria” para tener una visión general del tema. Nos hemos alejado de él, pero este recurso sigue siendo una fuente de información general. En Francia, la economía social y solidaria emplea alrededor del 12% de los activos. Esto equivale a entre dos, cinco y tres millones de personas. Si bien el Estado fomenta iniciativas vinculadas a la economía social y solidaria a través de mecanismos y financiación, no forma parte directamente de ella. Se trata esencialmente de asociaciones, cooperativas mutuas, empresas privadas, etc.
Nos gustaría centrarnos en actividades reservadas al Estado pero que pueden asociarse a la economía social y solidaria. Lo que significa que estamos interesados en los trabajadores sociales y en cómo se pueden adquirir ciertas habilidades duras. Para empezar, recordamos que las habilidades duras se consideran habilidades técnicas imprescindibles para el ejercicio de la mayoría de actividades profesionales. En el ámbito de la economía social y solidaria existen varios tipos: gestión de proyectos, análisis financiero, habilidades de marketing y comunicación, habilidades de investigación y evaluación, habilidades de TI, leyes y regulaciones, habilidades de gestión de recursos humanos y desarrollo sostenible.
Recordamos que el surgimiento individual reúne características que contribuyen a la emancipación económica e individual de una persona. Incluyen: autoconciencia, exploración y descubrimiento, formación de identidad, autoafirmación, creación de relaciones significativas, autonomía e independencia, responsabilidad personal, crecimiento continuo y adaptación.
Dado que comenzamos en el boletín anterior buscando un vínculo entre el surgimiento individual y el empoderamiento económico, estamos ampliando este experimento planteando la siguiente pregunta: ¿cómo adquirir las habilidades necesarias para el desarrollo profesional en el campo de la economía social y solidaria?
Para intentar dar una respuesta, hemos optado por movilizar el testimonio de los voluntarios de nuestro podcast “or en pepites” presente en el prototipo publicado en nuestra página Zs Conseils. El prototipo reúne tres testimonios, el nuestro, el de una señora llamada An y un hombre llamado J-C.
Dado que ya nos hemos presentado en numerosas ocasiones y hemos presentado a algunos miembros de nuestra gran familia, decidimos hablar de las personas que nos ayudaron a crear el prototipo de la aplicación al aceptar testificar sobre su viaje de forma voluntaria en la medida en que nosotros mismos hizo uso voluntario de nuestro prototipo, lo que significa que no iba a ser comercializado y mucho menos con los testimonios.
Nuestra voluntaria es una madre soltera con un niño con discapacidad física que vive en nuestra ciudad. Tuvimos la oportunidad de conocerla en nuestras actividades extraprofesionales descritas en los boletines titulados “apoyo sostenible, soft skills, paz social” y “servicio social y responsable, soft skills, paz social”.
Es trabajadora social y descubrió la vocación por esta profesión durante sus actividades extraescolares durante su juventud. Por lo tanto, eligió su carrera basándose en este deseo profesional. Después de un bachillerato general, anteriormente Es (ciencias económicas y sociales), completó un diploma de estudios universitarios generales y un certificado de técnico superior antes de ser contratada por el departamento de Altos del Sena, para el que trabajó durante diecinueve años. Estos años de experiencia le permitieron convertirse en ejecutivo y gestionar proyectos de gran envergadura. Actualmente trabaja como “gerente” en una estructura dedicada a la lucha contra la discriminación por motivos de género.
Suponemos que para avanzar en su carrera debió haber obtenido resultados significativos en la gestión de ciertos proyectos clave, adquirido habilidades específicas y conocimientos relacionados con el género que le permitieron posicionarse para este nuevo cargo. Finalmente, aunque no es una habilidad difícil como tal, tuvo que construir una red relacional efectiva.
¿En qué otro campo de actividad podrían transferirse estas habilidades duras? ¿Tendrá que obtener un diploma para cambiar de sector de actividad? ¿No son estas habilidades demasiado específicas? ¿Cómo podría ampliar esta gama de habilidades duras?
En relación a las características que hoy nos brinda Chat GPT con este campo de actividad y estas palabras claves que son: « autoconciencia, exploración y descubrimiento, formación de identidad, afirmación de uno mismo, creación de relaciones significativas, autonomía e independencia, responsabilidad, crecimiento continuo y adaptación », ¿podemos hablar de emergencia individual a partir del testimonio de An. presente en el podcast « or en pepites”?
Dejamos que cada uno interprete a su manera.
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Newsletter 74 : Singularités, émergence individuelle, hard skills
Nous finissons notre mini-série de newsletters sur les hard skills et l’émergence individuelle. L’émergence individuelle que nous avons associé fortement au capital humain permet une émancipation économique et individuelle pouvant jouer un rôle plus général dans la société. Nous avons donc évoqué l’importance de la robustesse du capital humain pour cette émergence individuelle et essayé de voir comment cela pouvait se faire dans certains cas. Nous y avons ajouté le concept de « hard skills » car bien que considérées comme des compétences dures ou techniques, elles sont avant tout stratégiques et indispensables pour le développement et l’autonomisation économique. Comme pour les précédents billets, nous mobilisons l’intelligence artificielle que nous expérimentons depuis une dizaine de jours couplée pour la série hard skills aux ressources documentaires comme nous le faisions auparavant.
Dans cette newsletter n°74, nous choisissons de nous focaliser sur le titre de notre application et podcast « or en pépites » comme outil de révélation de ce capital humain à travers des récits de vie et d’expérience partagés.
Nous rappelons que les hard skills sont des compétences dites dures, spécifiques mesurables quantifiables et évaluables. Il existe plusieurs types de hard skills : compétences techniques en informatiques, compétences analytiques scientifiques, compétences linguistiques, compétences managériales et financières, compétences techniques et artisanales.
De même l’émergence individuelle est un concept qui peut être interprété sous différents angles : psychologique, philosophique, sociologique. Il peut être vu également dans les champs de l’intelligence artificielle et des neurosciences ainsi que celui de l’économie et de l’entrepreneuriat. C’est un concept qui peut être vu comme le processus par lequel un individu se développe et se distingue dans un environnement donné à travers les compétences, les valeurs et l’autonomie.
Nous plaçant dans cette newsletter 74 dans la perspective philosophique et de valeurs, nous souhaitons parler du terme « or en pépites » et expliquer ce qu’il signifie pour nous.
Pour commencer, l’or possède plusieurs sortes de valeurs : économiques et monétaires, industrielle et technologique, esthétique et culturelle, philosophique et psychologique, écologique et éthique.
Nous pouvons nous rendre compte de l’importance de ce métal et de son importance dans la ressource documentaire intitulée « du sahel à Dubaï, les routes de l’or sale » sur la chaîne France 24. Si nous l’avons regardé à titre d’informations, nous avons choisi d’exploiter ce terme et cette expression à des fins humanistes car nous avons choisi la perspective philosophique qui l’associe à un concept de richesse. En effet, Philosophiquement, l’or est souvent lié à l’idée de richesse et de prospérité. Il est un symbole de ce qui est précieux et désirable dans de nombreuses traditions et cultures. Philosophiquement, l’or est bien plus qu’un simple métal précieux. Il incarne des valeurs et des idéaux, soulève des questions éthiques et métaphysiques, et possède une signification esthétique et socio-économique profonde. En tant que tel, l’or est un prisme à travers lequel on peut explorer des questions fondamentales sur la nature de la valeur, de la beauté, de la justice et du pouvoir.
La question que nous nous sommes d’abord posées est la suivante : Sous quel angle peut-on tenter une analogie entre un homme avec un grand « H » et ce métal précieux ?
L’analogie entre l’homme et l’or souligne des aspects fondamentaux de la nature humaine et de la valeur de l’or : la pureté intrinsèque, la malléabilité et le potentiel de transformation, la brillance et l’influence, la rareté et la singularité précieuse, l’épreuve et la résilience, l’utilité et la contribution, ainsi que l’éthique et l’impact.
Nous choisissons pour le prototype de notre application « or en pépites » celui de la rareté et de la singularité pour les deux témoignages des volontaires. Pour notre témoignage, nous nous attacherons plutôt à l’épreuve et à la résilience voire à l’antifragilité.
Dans quel contexte un parcours singulier peut-il être comparé à de l’ « or »?
Pour essayer d’apporter quelques éléments de réponses, nous prenons le troisième témoignage de notre podcast « or en pépites » dans une rubrique nous avons nommé « talents en pépites ».
Nous rappelons qu’il y a trois témoignages sur le podcast : le nôtre, celui de la dame présentée dans la newsletter N° 73, et celui que nous allons présenter dans la n°74. Ils ont témoigné bénévolement car le prototype n’avait pas vocation à être commercialisé mais à montrer un produit pouvant être amélioré, en quelque sorte une hypothèse devant ou non être validée.
Il s’agit d’un homme alors âgé d’une cinquantaine d’années qui se trouve être le prêtre de deux paroisses dans notre ville. Nous l’avons rencontré comme la dame lors de nos activités extra-professionnelles décrites dans les newsletters n° 66 et n° 67 intitulés « service social et responsable, soft skills », soutien durable, soft skills, paix sociale ».
Pour revenir à notre volontaire, il est d’origine cubaine et porte un nom à consonnance espagnole J-c. Il vient de famille composée de sept enfants. Il a grandi dans son pays et se destinait à une carrière d’ingénieur informatique. Cependant après ses études, au lieu d’aller travailler, il a choisi grâce à une rencontre qui l’a impactée de rentrer dans les ordres pour se former et devenir prêtre. Cette formation a duré douze longues années qui lui ont permis de se déplacer dans plusieurs endroits : la république dominicaine, le brésil, les États-Unis, l’Espagne. Après avoir été ordonné en 2003, il a de nouveau été envoyé en Europe, l’Espagne d’abord et la France comme destination finale où il réside depuis l’année 2005. Dans notre pays il a exercé dans plusieurs villes du département comme Neuilly, Bécon, Issy les Moulineaux avant d’arriver dans la nôtre. Si ces années d’instructions ont été longues et certainement douloureuses, avec en plus l’apprentissage des langues étrangères, nous avons retenu qu’il y avait une quête de sens à travers tout ce cheminement qui a retenu notre attention et amené à lui demander de nous livrer son témoignage. N’ayant pas beaucoup de moyens financiers, il a obtenu des bourses et l’aide de sa congrégation pour pouvoir arriver à exercer sa vocation.
Bien qu’il ait précisé qu’il n’était pas de « l’or » en souriant lors de son interview, nous l’avons associé à ce podcast car nous avons considéré que la richesse de son parcours aussi bien en termes d’apprentissage pur qu’ en termes d’expériences humaines et multiculturelles, faisait de de son parcours jalonné de pépites ou poussières de pépites d’or à partager. Aussi, parce que ce parcours n’a pas été réalisé pour un objectif de gain financier bien que l’argent soit nécessaire pour vivre mais dans un but humaniste. Nous avons trouvé curieux qu’une personne puisse faire tout ce chemin pour gagner peu alors qu’habituellement les gens le font pour gagner le plus possible.
S’agit-il encore d’une émergence individuelle dans ce cas ? Comment pourrions -nous le nommer autrement ? Par quelle méthode rigoureuse pourrions-nous appréhender le concept d’émergence individuelle ?
Nous vous remercions de continuer à nous suivre sur notre page Zs Conseils.
Newsletter 74: Singularities, individual emergence, hard skills
We are finishing our mini-series of newsletters on hard skills and individual emergence. The individual emergence that we have strongly associated with human capital allows for economic and individual emancipation that can play a more general role in society. We therefore discussed the importance of the robustness of human capital for this individual emergence and tried to see how this could be done in certain cases. We added the concept of “hard skills” because although considered hard or technical skills, they are above all strategic and essential for development and economic empowerment. As with previous posts, we are mobilizing artificial intelligence that we have been experimenting with for around ten days, coupled for the hard skills series with documentary resources as we did before.
In this newsletter n°74, we choose to focus on the title of our application and podcast “gold in pieces” as a tool for revealing this human capital through shared life stories and experiences.
We remind you that hard skills are so-called hard, specific, measurable, quantifiable and evaluable skills. There are several types of hard skills: technical IT skills, scientific analytical skills, language skills, managerial and financial skills, technical and craft skills.
Likewise, individual emergence is a concept that can be interpreted from different angles: psychological, philosophical, sociological. It can also be seen in the fields of artificial intelligence and neuroscience as well as economics and entrepreneurship. It is a concept that can be seen as the process by which an individual develops and stands out in a given environment through skills, values and autonomy.
Placing ourselves in this newsletter 74 from a philosophical and values perspective, we would like to talk about the term “gold in pieces” in french “or en pépites” and explain what it means for us.
To begin with, gold has several kinds of values: economic and monetary, industrial and technological, aesthetic and cultural, philosophical and psychological, ecological and ethical.
We can realize the importance of this metal and its importance in the documentary resource entitled « from the Sahel to Dubai, the roads of dirty gold » on the France 24 channel. If we watched it as a information, we have chosen to exploit this term and this expression for humanist purposes because we have chosen the philosophical perspective which associates it with a concept of wealth. Indeed, Philosophically, gold is often linked to the idea of wealth and prosperity. It is a symbol of what is precious and desirable in many traditions and cultures. Philosophically, gold is much more than just a precious metal. It embodies values and ideals, raises ethical and metaphysical questions, and has deep aesthetic and socio-economic significance. As such, gold is a prism through which one can explore fundamental questions about the nature of value, beauty, justice and power.
The question we first asked ourselves is the following: From what angle can we attempt an analogy between a human with a capital “H” and this precious metal?
The analogy between man and gold highlights fundamental aspects of human nature and the value of gold: the intrinsic purity, malleability and transformative potential, brilliance and influence, rarity and valuable uniqueness, hardship and resilience, usefulness and contribution, as well as ethics and impact.
For the prototype of our “gold in pieces” application, we choose that of rarity and singularity for the two testimonies of the volunteers. For our testimony, we will focus more on hardship and resilience or even antifragility.
In what context can a unique journey be compared to “gold”?
To try to provide some answers, we take the third testimony from our podcast “gold in pieces” in a section we have called “talents in pieces” in french “talents en pepites”.
We remind you that there are three testimonials on the podcast: ours, that of the lady presented in newsletter No. 73, and the one that we will present in No. 74. They testified voluntarily because the prototype was not intended to be marketed but to show a product that could be improved, in a way a hypothesis that may or may not have to be validated.
This is a man then aged around fifty who happens to be the priest of two parishes in our town. We met him like the lady during our extra-professional activities described in newsletters n° 66 and n° 67 entitled “social and responsible service, soft skills”, sustainable support, soft skills, social peace”.
To return to our volunteer, he is of Cuban origin and has a Spanish-sounding name J-c. He comes from a family of seven children. He grew up in his country and was destined for a career as a computer engineer. However after his studies, instead of going to work, thanks to an encounter that had an impact on him, he chose to enter the orders to train and become a priest. This training lasted twelve long years which allowed him to travel to several places: the Dominican Republic, Brazil, the United States, Spain. After being ordained in 2003, he was sent again to Europe, Spain first and France as final destination where he has resided since 2005. In our country he practiced in several cities of the department such as Neuilly , Bécon, Issy les Moulineaux before arriving in ours. If these years of instruction were long and certainly painful, with the addition of learning foreign languages, we remembered that there was a quest for meaning throughout this entire journey which held our attention and led us to ask him to give us his testimony. Not having many financial means, he obtained scholarships and help from his congregation to be able to exercise his vocation.
Although he clarified that he was not « gold » while smiling during his interview, we associated him with this podcast because we considered that the richness of his career both in terms of pure learning in terms of human and multicultural experiences, made his journey punctuated with pieces of gold or dust of gold pieces to share. Also, because this journey was not carried out for the purpose of financial gain although money is necessary to live but for a humanist purpose. We found it curious that a person could come all this way to earn little when usually people do it to earn as much as possible.
Is it still an individual emergence in this case? What else could we call it? By what rigorous method could we understand the concept of individual emergence?
We thank you for continuing to follow us on our Zs Conseils page.
Boletín 74: Singularidades, emergencia individual, habilidades duras
Estamos terminando nuestra miniserie de boletines sobre habilidades duras y emergencia individual. El surgimiento individual que hemos asociado fuertemente con el capital humano permite una emancipación económica e individual que puede desempeñar un papel más general en la sociedad. Por lo tanto, discutimos la importancia de la solidez del capital humano para este surgimiento individual y tratamos de ver cómo esto podría hacerse en ciertos casos. Agregamos el concepto de “habilidades duras” porque, aunque se consideran habilidades duras o técnicas, son sobre todo estratégicas y esenciales para el desarrollo y el empoderamiento económico. Al igual que en publicaciones anteriores, estamos movilizando la inteligencia artificial con la que hemos estado experimentando durante unos diez días, junto con recursos documentales para la serie de habilidades duras como lo hicimos antes.
En este boletín n°74, decidimos centrarnos en el título de nuestra aplicación y podcast “oro en pepitas” como herramienta para revelar este capital humano a través de historias y experiencias de vida compartidas.
Te recordamos que las habilidades duras son las llamadas habilidades duras, específicas, medibles, cuantificables y evaluables. Hay varios tipos de habilidades duras: habilidades técnicas de TI, habilidades analíticas científicas, habilidades lingüísticas, habilidades de gestión y financieras, habilidades técnicas y artesanales.
Asimismo, el surgimiento individual es un concepto que puede interpretarse desde diferentes ángulos: psicológico, filosófico, sociológico. También se puede ver en los campos de la inteligencia artificial y la neurociencia, así como en la economía y el emprendimiento. Es un concepto que puede verse como el proceso por el cual un individuo se desarrolla y destaca en un entorno determinado a través de habilidades, valores y autonomía.
Situándonos en este boletín 74 desde una perspectiva filosófica y valorativa, nos gustaría hablaros del término “oro en pepitas” y explicar lo que significa para nosotros.
Para empezar, el oro tiene varios tipos de valores: económicos y monetarios, industriales y tecnológicos, estéticos y culturales, filosóficos y psicológicos, ecológicos y éticos.
Podemos darnos cuenta de la importancia de este metal y de su importancia en el recurso documental titulado « Del Sahel a Dubai, los caminos del oro sucio » del canal France 24. Si lo miramos a título informativo, hemos decidido explotar este término. y esta expresión con fines humanistas porque hemos elegido la perspectiva filosófica que la asocia a un concepto de riqueza. De hecho, filosóficamente, el oro suele estar vinculado a la idea de riqueza y prosperidad. Es un símbolo de lo que es precioso y deseable en muchas tradiciones y culturas. Filosóficamente, el oro es mucho más que un simple metal precioso. Encarna valores e ideales, plantea cuestiones éticas y metafísicas y tiene un profundo significado estético y socioeconómico. Como tal, el oro es un prisma a través del cual se pueden explorar cuestiones fundamentales sobre la naturaleza del valor, la belleza, la justicia y el poder.
La primera pregunta que nos hicimos es la siguiente: ¿Desde qué ángulo podemos intentar una analogía entre un hombre con “H” mayúscula y este metal precioso?
La analogía entre el hombre y el oro resalta aspectos fundamentales de la naturaleza humana y el valor del oro: la pureza intrínseca, la maleabilidad y el potencial transformador, la brillantez y la influencia, la rareza y la singularidad valiosa, las dificultades y la resiliencia, la utilidad y la contribución, así como la ética y el impacto. .
Para el prototipo de nuestra aplicación “oro en pepitas”, elegimos el de rareza y singularidad por los dos testimonios de los voluntarios. Para nuestro testimonio, nos centraremos más en las dificultades y la resiliencia o incluso en la antifragilidad.
¿En qué contexto se puede comparar un viaje único con el “oro”?
Para intentar dar algunas respuestas, recogemos el tercer testimonio de nuestro podcast “oro en pepitas” en una sección que hemos denominado “talentos en pepitas”.
Les recordamos que hay tres testimonios en el podcast: el nuestro, el de la señora presentado en el boletín N° 73, y el que presentaremos en el N° 74. Declararon voluntariamente porque el prototipo no estaba destinado a ser comercializado sino a mostrar un producto que podría mejorarse, en una hipótesis que puede o no tener que ser validada.
Se trata de un hombre de unos cincuenta años que resulta ser párroco de dos parroquias de nuestra ciudad. Lo conocimos como la dama durante nuestras actividades extraprofesionales descritas en los boletines n° 66 y n° 67 titulados “servicio social y responsable, soft skills”, apoyo sostenible, soft skills, paz social”.
Volviendo a nuestro voluntario, es de origen cubano y tiene un nombre que suena español J-c. Proviene de una familia de siete hijos. Creció en su país y estaba destinado a la carrera de ingeniero informático. Sin embargo, después de sus estudios, en lugar de ir a trabajar, gracias a un encuentro que lo impactó, optó por ingresar a las órdenes para formarse y convertirse en sacerdote. Esta formación duró doce largos años que le permitieron viajar a varios lugares: República Dominicana, Brasil, Estados Unidos, España. Tras ser ordenado sacerdote en 2003, fue enviado nuevamente a Europa, primero a España y como destino final a Francia donde reside desde 2005. En nuestro país ejerció en varias ciudades del departamento como Neuilly, Bécon, Issy les Moulineaux antes de llegar a nuestro. Si estos años de instrucción fueron largos y ciertamente dolorosos, con el añadido del aprendizaje de lenguas extranjeras, recordamos que hubo una búsqueda de sentido a lo largo de todo este camino que llamó nuestra atención y nos llevó a pedirle que nos diera su testimonio. Al no disponer de muchos medios económicos, obtuvo becas y ayuda de su congregación para poder ejercer su vocación.
Aunque aclaró que no era « oro » mientras sonreía durante su entrevista, lo asociamos a este podcast porque consideramos que la riqueza de su carrera tanto en términos de aprendizaje puro como de experiencias humanas y multiculturales, hizo que su viaje estuviera salpicado de pepitas o polvo de pepitas de oro para compartir. Además, porque este viaje no se realizó con el propósito de obtener ganancias económicas, aunque el dinero es necesario para vivir, sino con un propósito humanista. Nos pareció curioso que una persona pudiera venir hasta aquí para ganar poco cuando normalmente la gente lo hace para ganar lo máximo posible.
¿Se trata todavía en este caso de una emergencia individual? ¿Cómo más podríamos llamarlo? ¿Con qué método riguroso podríamos entender el concepto de emergencia individual?
Le agradecemos que siga siguiéndonos en nuestra página de Zs Conseils.